10 375 AG : Récession

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Mon économie s'effondre, les nouvelles conquêtes, la création d'une plus grande armée, tout cela fait qu'il me faut assigner de plus en plus de budget à la maintenance et de moins en moins aux recherches. Heureusement, la découverte de la lois d'arrakis me permet, en même temps que les espions, de construire des selamlik, bureaux de contrôle et d'application de la loi impériale, qui me permettrons de contrôler les frais tout autant que le mécontentement en cas de guerre.

Mais ce qui me manque vraiment, maintenant, c'est une bonne récolte d'épice. D'autant que les harkonnens sont passé en doctrine arrakis spice, ce qui implique de leur part une récolte très performante. (19 moissonneuses alors que je n'en ai que 3 ! les harkonnens représentent actuellement les deux tiers de la récolte totale ! )

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La situation semble stable, il n'y a aucune guerre depuis le début, bien que certaines factions se détestent. Je suppose que c'est parce qu'il reste encore un peu de place libre sur les surfaces colonisables. Ou alors, c'est parce que les factions ennemies n'ont pas encore les moyens technologiques de s'atteindre mutuellement (il faut de nombreux engins de transports pour débarquer de grandes armées au travers du désert).

De mon côté, j'ai fais de la maison corrino la plus puissante faction. Malgré une récolte d'épice faible, le meilleur développement de mes villes me donne l'avantage. Cependant je reste militairement assez moyens. Sans apparaitre comme une proie facile, mon armée ne fait peur à personne.

Mes espions ont commencé le lent travail de sape des relations de mes adversaires entre eux. Ils peuvent briser la culture d'un voisin, mais ça ne me sert à rien pour le moment, et créer des incidents diplomatiques qui attisent la haine entre les factions. Pour le moment, je m'emploie à ruiner la réputation d'Ecaz auprès des ordos. J'ai du mettre fin à l'ouverture de mes frontières avec les harkonnens pour faire plaisir tant aux atréides qu'aux fremen, donc il ne me reste plus que les atreides et les ordos qui m'accordent un droit de passage. Je suis solidement allié avec les atréides et ils sont déjà convertis à imperial, donc je ne peux agir que sur les ordos. L'objectif premier est de briser leurs bonnes relations avec Ecaz, le second sera de les convertir à imperium, et enfin d'en faire mes alliés. Normalement, le seul fait de briser leurs bonnes relations avec leurs voisins proches devrait suffire à ce qu'ils finissent par s'affronter (ce qui m'économisera le travail pour en faire mes alliés).

Je n'ai pas trop d'autres relations à briser, car toutes les factions ont déjà de solides haines envers plusieurs de leurs voisins. Le problème c'est qu'ils me haïssent aussi presque tous ! Je finis de redresser mon économie, je produit une vraie armée d'invasion, et j'attaquerai avant que ce soit eux qui le fassent. (enfin ça, ce serait l'idéal)

Les graphiques montrent que je suis globalement le plus puissant (score), que je suis le plus riche (GNP) ce qui vu mon ridicule trésor signifie en fait que personne n'a d'argent, que j'ai la productivité la plus élevée (MfG goods) c'est à dire que mes villes sont mieux développées, que moi et le Duc leto produisons le plus d'eau (crop yield) c'est à dire que nos territoires sont le mieux aménagés, que mon armée est moyenne (power) et environ 2x plus faible que celle des harkonnens, que ma culture écrase totalement toute les autres (culture), et enfin qu'en espionnage, je suis la deuxième puissance, assez loin derrière les harkonnens.
Pas besoin d'être un mentat pour voir sur ces analyse qui est mon plus dangereux adversaire.

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J'ai pu entrainer mes trois mentats, ces puissants administrateurs sont un bon moyen de booster certaines caractéristiques des villes. J'ai opté pour un mentat industriel, un militaire et un espion. Les deux derniers me permettent d'entrainer des troupes et espions plus expérimentés, le premier me sert pour accélérer la production de bâtiments coûteux : on peut déplacer un mentat d'une ville a une autre a gré des besoins.
J'ai également découvert le commerce interplanétaire, ce qui me reconnecte enfin avec Kaitan ma planète mère. Je peux désormais acheter des troupes produits là-bas et les faire transporter instantanément dans n'importe quelle de mes villes par la guilde spatiale. Je dois maintenant construire les spatioports pour pouvoir directement importer via des contrats exclusifs. On ne peut en avoir que deux par faction, mon premier sera de récupérer le commandement sardaukar, ce qui me permettra d'enfin entrainer des vraies troupes impériales, et le second je pourrais choisir un produit d'importation qui n'existe pas sur arrakis, je verrais bien ce qui me sera le plus utile quand le moment sera venu.

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Feyd rautha a déclaré la guerre aux fremen, voilà qui est parfait : ces deux puissantes factions vont s'affaiblir l'une l'autre, et les harkonnens vont récupérer un malus diplomatique envers les quatre autres factions croyantes en shai hulud. ça me laissera les coudées franches pour faire un sort aux tleilaxus.
Pendant ce temps mon espion qui a réussi à causer pas moins de trois incidents diplomatiques successifs entre les ordos et Ecaz s'est fait inexplicablement capturé. C'est étrange et dommage car il avait acquis une expérience vraiment importante : en général les espions ne survivent pas à leur première mission.

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Tsss... les ordos m'ont déclaré la guerre. C'était bien la peine de faire autant d'efforts pour les retourner contre les ecazi. Ils se sont évidement aperçu que je les ai manipulé, mais tout de même je trouve ça étrange qu'ils aient décidé de m'attaquer alors qu'ils n'ont manifestement aucune chance d'obtenir autre chose qu'une cuisante défaite Mais peut-être est-ce une bonne occasion d'en faire mes vassaux ?

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Les ordos ont débarqué leur armée aux portes de garundah ridge et... ont tout perdu. Leurs ridicules mercenaires n'ont pas eu une chance face à l'attaque menée de main de maître par mon général. Alors que mes tigres laza achevaient d'exterminer leurs spadassins blessés, les troupes de défense de la ville firent une sortie pour éliminer sans pitié les fuyards qui tentaient d'échapper au massacre. Et tout ça au prix d'une seule compagnie de mortier perdue de mon côté.

Comme leurs transports à suspenseurs ont également été détruits dans la bataille, je ne pense pas les revoir de si tôt. Cette formidable victoire a inspiré mes généraux et fait apparaitre un général illustre.

Les ordos sont sans doute mûr pour être cueillis, seulement je n'ai toujours pas construit un seul engin de transport et me retrouve donc dans l'incapacité de les envahir

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Mon espions infiltré chez les ordos m'indique qu'il reste tout de même de très nombreuses troupes dans leurs villes, l'attaque ne sera pas si facile. Je décide donc de poursuivre mes recherches sur la supériorité aérienne et puis ensuite sur les boucliers personnel (qui me permettront d’entrainer enfin des sardaukars ! ). Je les attaquerai ensuite seulement, en combinant du coup une supériorité numérique et une écrasante supériorité technique.

Pendant ce temps, je construit en masse des boucliers dans toutes mes villes, ainsi lorsque les autres factions auront elles aussi accès à l'aviation, mes villes ne les craindrons pas.