Sur les murs de ce temple était gravées de sublimes et magnifiques et extraordinaire et (je vais me chercher un chocolat chaud) et stupéfiantes et exceptionnelles et (vous en voulez un peu ?) et sensationnelles et grandioses et (merde, j’ai fait tomber le cacao par terre ... quelqu’un aurait une baleyette ?) et éblouissantes et stupéfiantes et exce... bon, voilà, je me répète, donc j’en connais pas d’autres.
« De quoi s’agit-il, Berro ? Que sont-ce ces expressions ? »
- Je ne sais pas ce qu’elles sonces.
- Hein ?
- En gros, j’ai pas compris la question.
- Ok, je reformule : « C’est quoi ces machins ? »
- Mmmmh, à mon avis, il s’agit des 7 fléaux capitaux de la société actuelle ... Oui ... Oui ...
Berro posa sa main sur le mur froid et chaud et tiède qui se trouvait à sa droite à sa gauche.
« Le premier fléau Capital ... sur M6. »
- Je vous demande pardon ?
- Capital, sur M6.
- Heu, ok ..., fit Tea-Time en retournant la phrase dans tous les sens.
Notre aventurier s’avança alors vers une estrade dorée, et, de ses doigts de fées, se gratta le nez.
« Voici le deuxième Fléau Capital ... Le langage SMS. Apparemment, le langage SMS a été inventé par Franck Essemmesse, qui en avait marre d’écrire son nom en entier.
Il inventa alors le portable, puis internet, puis les clavier.
- Il aurait pas pu juste couper une partie de son nom à la mairie ?, remarka sofie lol
- Wé tro mdr il été tro kon ce mk lol
- Wé mdr lol
Tea-Time, intrigué, s’approcha du mur et lisit ... livit ... lit les inscriptions gravées sur ce dernier.
« Le langage SMS naquit en 1789, année pourtant insignifiante de l’histoire. Il se fit très discret jusqu’à l’apparition des SMS (car sans ça le faisait pas trop), quelques années plus tard (deux siècles environs). Le fléau s’est installé de manière progressive mais sûre, atteignant plus particulièrement les jeunes arriérés consommateurs de la téléphonie mobile.
En quelques mois seulement, le « Essemesse », pour ne pas dire « SMS »(forme plus soutenue), est devenu le langage de référence dans les hautes sphères politiques, à part au Pentagone, puisque le Pentagone n’est pas une sphère (vous suivez ?). »
Sophie, de son côté, lisait les inscriptions concernant le quatrième fléau de la société actuelle :
« Le Taty
Flan
Code naquit en 2006, parce que son auteur n’avait strictement rien à foudre de son Mercredi après-midi et que franchement, ça l’emmerdait de réviser ses textes sur Rabelais ou ses poésies Arthur Rimbaudienne du 17e / 18e / 19e / 20e siècle. »
Tea-Time, lui, lisait les phrases concernant le septième fléau, le plus grand, le plus dévastateur, le plus omniprésent et omniscient et omnifemme :
« LES CHOUX BRUXELLE !!! »
Une mouche, elle, (parce que y a que trois personnage donc je peux difficilement en instaurer un quatrième et qu’un des personnages peut difficilement lire deux inscriptions à la fois, pigé ?), lisait la cinquième inscriptions.
Et vous saurez pas ce que c’est.
Car j’ai plus d’idées.
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« En poussant cette porte, mes amis, nous allons enfin découvrir le secret qui a poussé la Tante et ses alcooliques ... ses acolytes, pardon, à tuer Jacques Salière. »
- Mais ... qui y a-t-il derrière cette porte ?
- C’est ce que nous allons voir.
Berro ouvre la porte ....................................
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