Les contributions d'Ertaï

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Dans mon dossier sur la série des Civilization , je n'ai pas été tendre avec son dernier opus, Civilization V , et son extension Gods & Kings . Après deux parties franchement ennuyeuses, je croyais avoir fait le tour de ce que peut proposer ce jeu. Il apparaît qu'il n'en est rien, mais pour ça il faut jouer un peu avec les paramètres de partie.

Dans la rubrique rétro, après ces vieux jeux que l'on n'arrive pas à lâcher , je vous présente les vieux jeux que l'on n'aurait pas dû essayer de découvrir tant de temps après leur publication.

La version actuelle de Scrambled Nations ne comporte qu'une seule condition de fin de partie : une limite arbitraire de tour que j'ai souvent dû changer pour rallonger une partie qui allait se terminer trop vite, ou au contraire raccourcir une partie dont l'intérêt de la prolonger est faible (joueurs absents/partis, domination d'un joueur). Maintenant que le système de jeu produit des parties intéressantes, il est temps de fixer des conditions de victoires non arbitraires.

La question est réapparu alors que j'étalais mon ignorance crasse du scénario de Starcraft II : Heart of the Swarn à propos du retour d'Alexei Stukov sous forme infestée. Il est temps d'y mettre un point final.

Le magistral article sur la diplomatie par Le Bashar posait en filigrane une question importante : peut-on gagner en analysant simplement le comportement de chaque joueur pris séparément ? La réponse semble être négative, au moins dans Scrambled Nations , et la dernière partie en donne une bonne explication.

La partie commentée est un exercice de style qui permet de lier Jeux Vidéo et Littérature en proposant aux lecteurs une histoire basée sur une partie d'un jeu vidéo.