Je n'ai jamais été très fort en mensonge. Au moins pas dans sa discipline la plus pure, celle de l'invention complète qui donne lieu à des oeuvres totalement originales. Mes mensonges n'en ont toujours été que des moitié. Une moitié vraie, une moitié fausse, ou une moitié omise. Et surtout, surtout, je n'ai jamais persévéré quand je sentais que mon bobard ne passait pas. Mieux vaut faire amende honorable quand on le peut encore, avant de se voir affubler définitivement le qualificatif peu flatteur de "menteur" !