Aujourd'hui le monde est petit, surtout à New York où tu peux rencontrer à peu près le monde entier, riche ou pauvre, blanc ou noir, jaune ou rouge, amateur de rock ou de salsa. Le fait est que dans les rues, tout le monde est identique. Il y a beaucoup moins d'à priori sur l'apparence qu'à Paris par exemple. Dans le quartier où j'habite, se côtoient quotidiennement des juifs orthodoxes tout de noir vêtu et des couples homosexuels qui se tiennent la main en public sans heurts.
Exactement, sauf que ce n'est pas aussi simple que ça. Disons que New York est un pot-au-feu : il y a des gros morceaux qui ne se mélangent pas, mais le bouillon est homogène.