BONJOUR!
Ceci est mon profil, je vous serais reconnaissant de vous essuyer les portes sur le palier de avant d'ouvrir les pieds.
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(En ce moment, diamant au classement variable sur starcraft 2 (joueur occasionel, mp-moi pour jouer; je joue aussi à Starcraft, idem)
SUPPLEMENT DU 29/05/2012: Organisateur officiel de l'Aerie's Cup qui peut être vue ici, et fier de l'être)
Actuellement assez fou pour tenter d'organiser en même temps un playthrough de Jedi knight: Jedi Academy à raison d'un niveau par semaine (l'imbécile).
(Les informations obsolètes ont étés spoilerisées).
Un grand tournant s'est effectué dans la vie du petit Luminox. En effet, il est devenu moins petit que d'habitude, et c'est déjà une grande chose. Il s'est également mis à parler de lui à la troisième personne, et n'a que faire des accusations de folie qu'on pourrait lui jeter à la figure.
Quelle différence dans la posture de cet être étonnant qui, en 7 ans de membership sur ce forum, n'avait jamais changé d'avatar, à l'instar d'Ertaï jusqu'à ce qu'il se dote de lunettes de soleil, ou du Bashar qui avait tout de même un .gif dont il ne reste que l'image bouche close? Que de tension! De terreur et de joies promises! Que d'impatience jusqu'à la révélation!
La révélation, chers lecteurs, est toute simple. La révélation, en effet, c'est qu'il l'a vécue lui-même, un beau jour de novembre, lorsqu'il fit la découverte de nuit de cette chose magnifique qu'est le
discordianisme
. En effet, le petit séraphin qui jusque-là avait vécu dans l'athéisme le plus complet, reniant sa propre nature de créature céleste, seul, triste, bafoué par les plus petits des êtres, par les lépreux, les rats, pire même, les adolescents boutonneux qui traînaient sur le forum, oui, ce petit personnage triste a vu la lumière.
Et bordel, quand on s'les gèle dehors, ça fait du bien de rentrer se cramer les c****.
Maintenant Grand Pape de l'église du discordianisme (qui n'est pas une église) recherchant des fidèles pour vénérer Eris (qui n'est pas vénérienne) afin d'étendre la bonne parole (qui n'est pas une parole) et révéler aux infidèles la vérité ("Même les choses fausses sont vraies", il parcourt la terre avec son stand de hot-dogs sacrés qu'il n'a pas le droit de manger, sauf le vendredi pour insulter toutes les religions, y compris la sienne, comme le veut la coutume sacrée énoncée dans le Principia Discordia par Malaclypse le Jeune.
Et si vous n'êtes pas convaincus, rappelez-vous que le discordianisme est la seule religion qui considère le freepost comme un acte religieux, la dérision comme un sacrement, et le sacrement comme une dérision.
Pour toute information complémentaire, une seule adresse (anglophone) : http://www.principiadiscordia.com/
Voilà, c'était l'édit de la présentation du jour. Vous venez de gagner un cookie:
Suit une petite histoire inspirée par le très inspirant "quartier libre" marqué comme base de profil pour tous.
Maintenant avec 2x plus de spoilers!
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Quartier libre: un nom de code. Le capitaine l'utilisait toujours aux moments les plus tendus. Quartier libre, ça voulait dire: préparez-vous au pire. Soyez vigilants. Tout peut arriver. Ne prenez aucun risque.
Ca ne lui arrivait pas souvent de prononcer ces mots. Il fallait qu'il y ait une menace interne, il ne pouvait pas hurler "QUARTIER LIBRE!" en plein coeur des combats. Quand il le disait, c'était pour dire: il y a un espion parmi nous. Un espion du genre pouilleux, qui n'hésiterait pas à vous égorger dans vos toilettes, qui ne se ferait pas de souci pour vous trahir dans un moment de parfaite sécurité. Soyez vigilants. Soyez préparés.
C'est ce qu'il a dit ce matin. "Les gars, vous avez fait un bon boulot. Je vous laisse quartier libre". Le sourire qui décorait son visage n'était qu'un leurre, au cas où l'espion aurait été moins informé qu'il ne l'aurait dû, et qu'il relâche son attention. Auquel cas il serait abattu sur-le-champ.
J'ai vécu la fureur des batailles, la chair brûlée, les os calcinés. Les prisons aussi, c'est indispensable pour aller sous les ordres du capitaine: la torture, évidemment, la perte d'un membre aussi. Les exécutions, j'en ai vu des centaines, j'en ai ordonné, j'en ai moi-même fait. Parfois, elles sont propres, décentes: une balle dans le coeur, un cadavre s'écroule, un corps se vide. Le plus souvent, ce sont des boucheries: une rangée, une rafale, et une bouillie de chair s'étale. Le capitaine a toujours préféré la deuxième solution. Et c'est ce qui est arrivé à l'espion ce matin. Si nous n'étions pas désensibilisés, je crois que nous aurions vomis nos tripes, le régiment et moi.
(pas de suite ni prochainement ni plus tard, ni jamais, ni quand que ce soit. Pas même avant.)