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Premières impressions sur Nekogami Yaoyorozu
Mayu est une jeune déesse-chat qui fait peu de cas de la discipline. Pour la punir, sa mère décide de la déposséder de ses pouvoirs et de la bannir du domaine des Dieux. Sur Terre, Mayu est recueillie par Yuzu, une antiquaire dont les affaires ne sont pas très florissantes.
Il s'avère que d'autres divinités et assimilés vivent également dans la même ville et se regroupent autour de nos deux protagonistes pour vivre des situations abracadabrantes et usuellement sans intérêt.
Bizarrement cet anime me rappelle Kamichu pour son côté bestiaires de divinités toutes plus bariolées les unes que les autres. Le graphisme est agréable, l'animation n'en impose pas beaucoup mais suffit pour cette série qui se veut plus tranche de vie qu'autre chose. Une bonne connaissance du folklore japonais est cependant préférable pour mieux comprendre ce que représente les divinités ou les situations.
Impressions : sans plus. Une comédie/tranche de vie légère sans plus.
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Premières impressions sur Manyuu Hikenchou
Japon, ère Edo. Sous l'influence de la famille Manyuu la taille de poitrine est devenu le symbole du pouvoir. Celles qui sont pourvues d'une belle paire sont assurées gloire et richesse, les autres sont considérées comme inférieur aux humains. Dans le village d'origine des Manyuu, la protagoniste Dont-j'ai-pas-retenu-le-nom tente de s'échapper mais finit gravement blessée par sa grande sœur dont la poitrine trahit les ambitions.
Recueillie par une victime d'une "chasse aux seins", une pratique visant à faire subir à la personne l'humiliation ultime à savoir avoir ses seins tranchés, il s'avère que notre héroïne a été choisie comme successeur à la tête de la famille Manyuu et qu'elle s'est enfuie avec le parchemin des techniques secrètes familiale, ne supportant pas toute cette cruauté infligée aux femmes. Confrontée à nouveau par sa sœur, elle réveille son pouvoir secret qui consiste, en un coup de lame, à absorber la poitrine pour elle-même, elle défait et humilie son adversaire. Accompagnée de son amie Kaede (qui a aussi subit l'humiliation), notre héroïne décide de se dresser contre cette oppression plastique en révélant au monde les secrets du Manyuu.
Tout d'abord un peu d’étymologie, dans la classification japonaise des types de seins le Manyuu signifie "seins gigantesques", le genre de seins naturellement impossible à obtenir et qui n'a de limite que l'imagination. Ceci étant dit OH PUTAIN MAIS POURQUOI ENCORE UN CLONE DE SEIKON NO QWASER !?! Les deux animes sont tellement ressemblant dans leur approche gore-torture-porn que j'ai peine à les distinguer, si ça se trouve c'est le même auteur ou la même boîte de production... Au moins, à contrario de Qwaser, ici la mise en scène n'est pas haché menu par la censure, m'évitant ainsi des crises d'épilepsie... En creusant, très profondément, on peut éventuellement y voir un message s'élevant contre la dictature de la grosse poitrine (et l'apparence) mais franchement cet anime dessert plus que tout le quelconque message qu'il y avait là.
Impressions : malade ! Je ne sais pas si c'est le poisson de ce midi ou le temps détraqué mais depuis que j'ai vu cet anime je me sens malade et ballonné. Et un bon conseil, évitez cet anime et allez voir Basilisk à la place...
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Premières impressions sur R - 15
Takuto est un auteur de porno au génie rare, malheureusement cela ne lui a pas apporté une très bonne renommée au collège... Heureusement son talent lui a permit d'intégrer de lycée de l'Inspiration, un endroit dédié aux génies de toutes sortes et où les tabous et la morale de la société n'a pas prise pour développer sans contrainte le potentiel de l'élève. Enfin dans la théorie car dans la pratique, les filles lèvent toujours le bouclier face à notre héros à l'imagination très fertile.
Outre Takuto, le lycéen compte Raika la photographe, Ritsu le génie des mathématiques ambigument gay pour Takuto et Ran la programmeuse surdouée, lesbienne notoire et faux-cul au possible. Mais surtout Narukara, la joueuse de clarinette avec qui les relations n'ont pas très bien commencé avec notre protagoniste mais dont la présence produit un effet particulier sur lui. En effet d'ordinaire le subconscient de Takuto est toujours prompt à appliquer la règle 34 (si ça existe alors la version porno aussi) dès qu'un semblant de situation se présente mais avec elle c'est de la poésie que son subconscient produit. Se pourrait-il que ?
R-15 est le second anime que j'avais en ligne de mire pour cette saison, d'une part parce que j'aime bien les comédies un peu coquines et d'autres part par solidarité pour lutter contre l'amendement 156 (surnommée loi "anti-otaku" qui cible spécifiquement ce genre d’œuvre un peu libérale pour la censure. Néanmoins force est de constaté que ce premier épisode n'est pas aussi débridée qu'on aurait pu le penser (quel que soit l'angle abordé) néanmoins ça ne veut pas dire pour autant que c'est un déchet non plus.
Impressions : intéressé mais un peu déçu. Pas aussi bon que je l'aurai espéré mais je veux tout de même voir où va nous mener l'auteur. Et puis Narukara est trop mignonne autant que Ran est faux-cul.
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Premières impressions sur Itsuka Tenma No Kuro Usagi
Taito est plutôt endormi ces derniers temps, il rêve souvent d'une scène où enfant il est mordu par une petite fille, Saitohimea dont il est très amoureux, à l'apparence de vampire qui lui injecte un "poison". De retour neuf ans plus tard, Taito et son amie d'enfance Haruka (que toute la classe a officieusement mis en couple) passe un peu de bon temps ensemble.
Pendant ce temps, nous rencontrons également Gekkou, le président du conseil des élèves, un peu (beaucoup en fait) imbu de sa personne et le bellâtre du lycée accompagné de Mirai, une de ses suivantes apparemment plus privilégiée que les autres. L'occulte fait de nouveau son apparition lorsque les deux se débarrassent d'un démon. De son côté Taito subit un accident qui aurait dû lui être fatal mais par le biais d'une magie qui lui est inconnu survit à ses blessures. L'activation de ces pouvoirs tire alors Saitohimea de son emprisonnement et les deux se retrouve dans le parc où ils s'étaient quittés neuf ans auparavant. Les retrouvailles sont cependant écourtées lorsque Saitohimea est transpercée par la lame de Gekkou... mais est-ce réellement lui ?
Cette série m'évoque un étrange croisement entre 11eyes, Kore wa Zombi desu ka et un soupçons de hentai-tentacs. L'intrigue est accrocheuse mais sans plus, le chara-design semble un peu mal fagoté mais ça va dans l'ensemble. En revanche les pantyshot eux sont très remarquables et souvent très distractifs de l'histoire ce qui un peu gênant.
Impressions : intéressé mais sans plus.
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Premières impressions sur The iDOLM@STER
Aujourd'hui un reportage est fait sur les filles travaillant pour la modeste société de production audio-visuelle "765 Production". Ces douze jeunes filles sont des idols , des starlettes de la chanson versant également dans la danse, le mannequinat ainsi que les émissions de variété et les rôles pour la télé et le cinéma. Sans oublier bien sûr tout l'aspect promotion.
A la fin de ses séquences très déstructurées présentant les 12 personnalités très différentes de nos étoiles montantes (et qui imite fortement le style des reportages nippons) le président de la boîte de production révèle que le journaliste est en réalité leur nouveau manager et qu'il a choisie cette approche pour mieux connaître ses protégées.
Très connus et appréciés de la communauté Otaku, les jeux iDOLM@STER où l'on doit manager des idols trognones voient ici leur première adaptation en animé. La réalisation de l'épisode, très astucieux et approprié présente les différents rôles attendues d'une idol ainsi que la rangée de personnalité différentes passant de la timide au garçon manqué, la mystérieuse, la lunatique, l'amie des animaux, la feignante à grosse poitrine, la princesse (jouée par Kugimiya Rie, obligatoire) ou encore les jumelles agitées. Il y en a pour tous les goûts !
Impressions : intéressé. Je ne sais pas si l'anime développera une composante dramatique néanmoins les tribulations de nos starlettes promet de belles doses de filles sexy et de bonne humeur.
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Premières impressions sur Mawaru Penguindrum
Kanba, Shouma et Himari sont respectivement deux frères (jumeaux ?) et une sœur qui semble avoir perdu leurs parents. Les trois vivent dans une maison très bigarrée et tous semble heureux. Néanmoins un flashback nous apprends qu'Himari est attente d'une maladie cérébrale fatale qui l'emportera très bientôt. Pour lui faire plaisir Shouma l'emmène à un zoo où vive des pingouins et qu'ils avaient visités en famille étant plus petits. Pendant que Shouma lui achète un drôle de chapeau en forme de pingouin, Himari s'effondre et décède peu après.
Très attristés, les deux garçons voient soudain leur revenir à la vie, le fameux chapeau sur la tête en s'écriant "opération de survie". Plus tard on apprend que c'est une sorte de divinité pingouin ou quelque chose comme ça qui a ressuscité Himari mais qu'ils devront alors mener une mission pour elle. L'épisode se conclut alors sur Kanba, le frère le plus distant d'Himari, qui soudainement embrasse sa sœur assoupie avec passion.
J'ai rien compris de ce qu'il se passe dans cet anime. Je ne sais pas s'il s'agit d'une comédie, d'une romance interdite ou d'une histoire de SF. Les motivations de la divinité pingouin ne sont pas claire du tout et la scène incestueuse de la fin a parachevé mon incompréhension. Après j'ai lu qu'il s'agit du réalisateur d' Uténa et tout est devenu clair, cet anime semble bien partie dans la même veine que ce dernier.
Impressions : intrigué/confus. Je me demande vraiment de quoi il retourne dans cet anime, sans doute est-ce sa force pour nous inciter à continuer à regarder pour démêler les fils de cette histoire alambiquée.
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Premières impressions sur No.6.
No.6 est le nom donné à une des dernières cités de l'humanité qui c'est anéanti lors de la précédente guerre. Malgré cet situation d'apocalypse, la ville reste un fleuron de technologie dans lequel nous suivons notre protagoniste Shion, qui fête ses 12 ans aujourd'hui.
Quelle surprise alors pour lui de découvrir un garçon du même âge que lui, blessé, s'introduire dans sa chambre alors qu'un typhon fait rage dehors. Très nerveux, le garçon prénommé "Nezumi" (rat) le menace mais Shion décide de le cacher aux yeux de sa mère et de ceux qui recherche Nezumi ainsi que de le soigner (son intelligence supérieure lui permettant de soigner des blessures par balles apparemment). Le lendemain Nezumi a disparu, aussi furtivement qu'il était apparu, l'épisode se concluant sur un véhicule du "ministère de la paix" (qui traquent Nezumi) venant faire une visite au domicile de Shion...
Après deux essais, enfin un anime cette saison arrive à allier histoire sérieuse avec une pointe humour. En premier lieux les personnages sont très intéressants et loin des stéréotypes. Shion est dit très intelligent pourtant il semble très dans la lune, est très excité par les typhons au point de crier à pleins poumons au passage de ces derniers et est plus impressionné par les prouesses de Nezumi plutôt que le pourquoi on le pourchasse. De son côté Nezumi démarre comme la bête pourchassée et acculée, pour autant ce n'est pas pour ça qu'il se comporte en fou furieux (même s'il a quelques passages psychotiques) et est même enclin à rire du comportement "anormal" de Shion. Enfin mention spéciale pour la copine de Shion qui a la meilleure réplique de l'épisode à savoir "mon baiser (sur la joue) est la représentation physique de mon désir de reproduction qui..." avec notre génie dans la lune qui ne capte rien du tout.
Impressions : suspens ! Clairement, en un épisode cet anime a su installer une impression de mystère très forte sur cette fameuse cité numéro 6 tout en nous faisant s'attacher aux personnages. Un anime très prometteur !
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Premières impressions sur Mayo Chiki
Sakamachi Kinjirou souffre d'un drôle de problème, à chaque fois d'une fille le touche son nez se met à saigner ce qui le place dans des situations plutôt gênantes (en vertu du fait qu'un saignement de nez étant perçu, au Japon, comme de l'excitation sexuelle). Pas évident lorsqu'on a une sœur et une mère toujours prêtes à faire usage de leur invraisemblable talent aux sports de combat sur lui...
Pendant ce temps, Suzutsuki Kanade, une jeune fille de bonne famille à l'apparence de princesse, et son majordome Subaru étudient dans le même lycée qu Kinjirou. Tout bascule le jour où ce dernier découvre fortuitement que Subaru est en réalité une fille ! Après une scène de chasse, Kanade attrape nos deux protagonistes et décide de faire pression sur Kinjirou, en le malmenant via son "problème" avec les filles, pour que ce dernier garde le silence à propos de Subaru. En effet cette dernière ne sera totalement reconnue majordome que si elle parvient à conserver son secret pendant les trois ans de lycée.
Situations cocasses et coquines sont prévues pour cet anime. Je ne pense pas que le scénario va beaucoup se développer, proposant plutôt une comédie tranche-de-vie à la place. Le seul développement possible serait pour Kanade qui derrière son apparence (cachée) de sadique bien élevée tient beaucoup en réalité à son cher(e) majordome, voire en pince un peu.
Impressions : intéressé. La comédie et l'animation sont alléchantes, reste à voir si il tiendra ses promesses.
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Premières impressions sur Uta No Prince-Sama Maji Love 1000%
Le jour de l'examen d'admission à une prestigieuse faculté de pop-musique, Haruka se voit refoulée car elle est en retard après avoir aidé un enfant perdu. Deux adonis de l'école lui viennent alors en aide et Haruka peut finalement passer et réussit le concours.
Après un discours survolté du proviseur (alias l'Empereur Norio Wakamoto , loué soit son nom), Haruka retrouve sa colocataire ainsi que les différents protagonistes mâles de cet anime, y compris les deux jeunes hommes l'ayant aidé. Haruka, venant de la campagne, s'est sentie très oppressé par la ville mais a retrouvé courage après avoir entendu une chanson de Hayato, qui deviendra son idol favoris et lui inspirera l'envie de devenir auteur-compositeur de pop.
Bishonen et pop-music, définitivement cet anime s'adresse à la gente féminine ce qui n'est pas vraiment ma niche donc je vais éviter cet anime je pense. Dommage car l'Empereur Wakamoto nous donnes encore une prestation formidable digne de son grand talent de doubleur. Petit détail très important tout de même : nom de Dieu c'est quoi ce bazar avec la coloration des yeux d'Haruka qui lui donne un regard vitreux d'alien. Cela fout super les jetons pour un anime qui se veux romantique, glamour et sirupeux à souhait.
Impressions : mauvaise pioche. Heureusement pour nous les mâles en quête d'anime sur les idols , THE IDOLM@STER pointe le bout de son nez.
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Premières impressions sur Usagi Drop
Daikichi, la trentaine, est un solitaire endurcit. Un jour son grand-père maternel décède et alors qu'il se rend à l'enterrement il fait la connaissance de Rin, 6 ans, qu'il prend pour une de ses nièces. Sauf que la petite fille s'avère être la fille illégitime du grand-père reclus (et donc techniquement la tante de Daikichi), la mère de la petite ayant "disparue".
Rin a beaucoup de mal a communiquer avec cette famille qu'elle n'avait jamais connue jusqu'à présent. Sans parler du fait que tout le monde traite l'enfant caché comme un fardeau et personne ne veut la prendre chez lui, une situation qui révolte Daikichi qui décide, pour le meilleur comme pour le pire, de prendre la gamine sous son aile. Commence alors pour Rin sa nouvelle vie avec son drôle de père.
Cette saison deux animes de la lineup m'ont tapé dans l’œil, Usagi Drop étant l'un d'entre eux. Ayant complètement la sortie en librairie en France, j'attendais impatiemment de voir de quoi il retourne sur cette histoire promettant des moments forts. Ce premier épisode ne déçoit pas !
Impressions : KITAAAAAAAAAAAA━━(゜∀゜)━━!!!! Hier encore je me disais, ce serait bien si cet anime pouvait bénéficier du même rendu graphique que le somptueux Hourou Musuko et de la première scène de cet anime m'a fait croire que ce rêve deviendrait réalité ! Mais ce ne fut que pour la première scène... quoi qu'il en soit la réalité reste impeccable et c'est définitivement l'un des meilleurs animes de cet été pour moi.
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Aerie's Guard V 7.0 réalisé par Ertaï, designé par Ivaldir, illustré par Izual et Sophie Masure