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Déjà trop froid pour mettre le nez dehors ? Rassurez-vous pleins d'animes arrivent pour vous réchauffer (ou pas).
Saki, la protagoniste, ainsi que ses quatre amis Satoru, Maria, Mamoru et Shun vivent dans un village que l'on pourrait décrire comme utopique bien que ressemblant au Japon féodal alors que l'on est supposé être un millénaire dans le futur. Les Hommes ne sont plus tout à fait pareils car ils sont désormais capables de télékinésie. Saki vient tout juste de s'éveiller à sa condition et rejoint enfin ses amis à "l'école" pour pratiquer ses pouvoirs. Néanmoins une part d'ombre rôde dans cette nouvelle société à commencer par ses origines.
Comme il se doit (?) la saison d'automne commence avec un thriller/horreur. L'atmosphère de la série se veut particulièrement oppressante avec des teintes très ocres qui contrastent avec l'aspect bucolique qu'est sensé avoir cette utopie. En tant que téléspectateur vous avez déjà quelques longueurs d'avances sur les héros concernant ce qui trame au sein de cette société mais pas tant que ça. Par contre la série vous submerge avec pleins de nouveaux termes et concepts sans trop prendre le temps de vous les expliquer donc mieux vaut être accroché.
Voici l'histoire d'amour peu banale d'un couple de lycéens peu banals. Shizuku est insensible au possible et se concentre uniquement sur ses études. De son côté Haru est un grand candide doté d'une force herculéenne et d'une intelligence dépassant celle de Shizuku pour son plus grand déplaisir. Mais pour la première fois de sa vie son cœur a palpité lorsque ce garçon lui ouvert le sien (de manière banale).
Le grand classique des contraires qui s'attirent. Le premier épisode ne s'épargne pas en besogne et nous laisse avec le couple déjà quasi-formé même si les finitions restent à faire. Sans doutes que d'autres personnages viendront agrémenter le récit. L'animation et les décors sont particulièrement pauvre pour cette production mais le dessin reste correct sans plus. A voir pour passer le temps.
Ce court anime en 3D nous invite à suivre les tribulations, de Wooser, une étrange créature attiré par l'argent, les filles ou encore la ripaille.
La "chuunibyou" est le nom donné à une forme de crise d'adolescence durant laquelle l'ado s'invente une alter-ego grandiose et super-natuel et ne vit plus que par le prisme de cette illusion. Notre héros, Yuuta ~Dark Flame Master~, était gravement atteint dans ses années collège mais il a décidé de renoncer à tout ça pour sa nouvelle vie de lycéen. Mais comme un fumeur en cours de sevrage, tout lui rappelle son addiction en particulier sa nouvelle camarade de classe, et voisine, Rikka, complètement obnubilée par ses désillusions.
Alors que tout le monde attendait le studio Kyoto Animation au tournant pour l'adaptation de Little Busters (chez J.C. Staff finalement), c'est avec ce titre assez inconnu que la société kyotoïte enchaine après Hyouka. On sent la patte du fameux studio réputé pour son animation d'horloger, c'est vraiment impeccable. Maintenant reste à savoir si le sujet va s'avérer suffisamment intéressant. En tout cas ce premier épisode est bien plus prometteur que le mini-épisode preview sorti auparavant.
Quiconque a un peu de culture sur ce manga au nom rigolo sait qu'il commence en farce et se termine en boucherie. Aussi l'idée de voir ça animé me faisait quelque peu froid dans le dos. Heureusement il s'agit d'une adaptation "humoristique" alors ça devrait aller.
A noter que le manga en question est édité en France aux éditions IMHO.
Nanami aimait bien son ancienne vie, celle d'avant que son père soit criblé de dettes de jeu et s'enfuie de la maison, celle d'avant qu'elle soit expulsée de son appartement. Dans des situations aussi dramatique c'est le moment pour une divinité d'intervenir et c'est qu'il se passa... ou presque. En effet Nanami se voit confier la déité d'un temple shinto où réside notamment un démon-renard prénommé Tomoe. D'abord hostile face à la lycéenne, cette dernière parviendra néanmoins à regagner son contrat de servitude.
Bizarrement j'ai l'impression d'avoir un peu trop souvent vu ce scénario ces derniers temps. Par ailleurs la quantité de beaux gosses que nous promet le générique indique clairement que je ne suis pas la bonne démographie pour cette œuvre
"Rien n'a de sens" une phrase souvent répétée dans ce premier épisode et qui rend compte de la difficulté d'en écrire un résumé. Donc on a Yoshino, un relativement efféminé lycéen et son pote Mahiro ainsi que la sœur de ce dernier Aiko qui semble ne pas trop aimer Yoshino. Sauf qu'en fait ils sortent ensemble. Ou plutôt sortaient ensemble vu que Aika a été tuée un an auparavant et maintenant c'est Mahiro qui a disparu depuis un mois. Entre temps Hakaze, est abandonnée sur une île déserte par son méchant de frère. Ce dernier met en œuvre son plan d'utiliser une maladie magique transformant les gens en métal afin de réveiller une puissance en sommeil. Mais Hakaze, auto-consacrée la plus puissante magicienne au monde ne s'avoue pas vaincue et parvient à passer un pacte avec Mahiro dans l'espoir que la magicienne lui indique qui sont les meurtriers de sa sœur. Sur ces entrefaites Mahiro et Yoshino sont de nouveau réunit alors que la maladie est une nouvelle fois invoquée.
Assez difficile de recoller les morceaux dans cette densité d'informations combinée à des scènes de castagnes et d'autres d'introspections ou encore celles narrant les belles courbes de Hakaze... L'animation est plus que correcte par contre le chara-design semble un peu à côté compte tenu de l'aspect batailles magiques vers lesquelles semblent se diriger l'anime. Le spectre du BL semble aussi rôder.
Et dire que je me plaignais que l'anime ci-dessus était bordélique, c'était rien du tout en comparaison de celui-là. Difficile de tirer quoi que ce soit de cet épisode qui nous proposes des combats résolus hors caméra, des scènes de poursuites menant nulle part et un protagoniste plus débonnaire que ça tu meurs. Le motto semblant être que tout sera expliqué plus tard pour le moment place aux scènes spectaculaires. Et c'est vrai qu'il y a des scènes particulièrement bien animées et inventives mais bon j'aurai aimé avoir un peu de substance quand même.
Btooom! est le nom du dernier FPS en ligne à la mode. Son originalité vient du fait que les seules armes disponibles sont des bombes. Ryuuta est un joueur compulsif qui vient juste d'atteindre le top 10 mondial, son rêve est de pouvoir travailler pour la société qui développe Btooom! mais en attendant il ne fait rien à part jouer. C'est alors qu'il se réveille sur une île déserte sans aucun souvenirs de ce qu'il fait là ni pourquoi. Néanmoins l'île ne s'avère pas si déserte que ça lorsque quelqu'un tente de l'attaquer avec des bombes comme dans Btooom!
Dans la lignée des jeux de massacres façon Mirai Nikki, voila un anime qui s'annonce fun à regarder. A noter que le manga est publié en France.
JoJo's Bizarre Adventure est ce qu'on appelle un classique. Et comme tout les classiques, vous en avez sûrement sans doute entendu parlé mais jamais lu/vu pour autant (à commencer par moi). Bonne nouvelle, pour fêter les 25 ans du manga ce nouvel anime retracera tout l'ensemble de l'histoire de la famille Jostar et Dio Brando depuis le début (on rappellera que les seules OAV existantes se focalisaient uniquement sur la partie 3 du manga).
L'animation est plutôt fluctuante et certains plans vraiment bizarre (mais là c'est plus un hommage au style très particulier du manga). Ce qui me turlupine par contre c'est le chara-design des personnages qui tend à se rapprocher de celui de Ken le Survivant (comme les OAV) mais pas vraiment au final ce qui laisse le dessin un peu maigre.
Akiko est maintenant une lycéenne et rejoint son frère jumeau, Akito, qu'elle n'a pas vu depuis six ans et qui tient maintenant un dortoir pour filles. Tout irait bien sauf que Akiko annonce ouvertement vouloir faire de son frère son amant (bien qu'il soit pas d'accord). Et en moins de temps qu'il ne faut pour le dire, trois nouvelles pensionnaires arrivent et ont toutes des vues sur notre pauvre héros. Akito parviendrait-il à garder sa virginité intacte ? Vous le saurez au prochain épisode.
Encore une série à l'humour très particulier et dont on peut dénoter une certaine augmentation ces derniers temps (bien que généralement entre demi-frères et sœurs). Certains ont avancé le fait que la baisse de natalité et l'augmentation des familles recomposées rendent ces situations plus que jamais vraisemblables au quotidien mais il est possible aussi que ce soit juste un effet de mode.
Notre protagoniste (dont je n'ai pas retenu le nom) part à la recherche de son père en pleine jungle accompagné de ses deux meilleurs amis qui n'ont rien d'autre à faire je suppose. Arrivé au centre de recherche où est censé se trouver le disparu, nos amis ne trouvent qu'une étrange capsule qui s'avère renfermer un ADN d'origine extra-terrestre et qui est capable de fusionner avec d'autre ADN pour donner de nouvelles créatures. Sur ces entrefaites, l'armée privée STORM arrivent sur les lieux et tentent de récupérer le précieux objets mais nos amis ne l'entendent pas de cette oreille. Et pendant ce temps une autre organisation (tout de rouge vêtu) se rie de leur futurs méfaits.
Ce résumé ne le montre pas mais il s'agit d'un énième pokémon avec des animaux mutants qui s'entrechoquent, les capsules cylindriques ayant remplacés les pokéballs. En co-production avec les Etats-Unis pour 52 épisodes (rien que ça !) je peux voir comment a été distribué le budget en limitant au maximum le chara-design et l'animation. Mais même sans ça c'est surtout la mise en scène qui me fait grincer des dents, tout sonne tellement forcé et mal fichu qu'on dirait d'emblée une série abrégée. Les pauvres gosses qui vont regarder ça...
Les "Little Busters!" est un groupe de cinq garçons et filles qui se connaissent depuis tout petits et toujours fourrés dans les pires coups. Cependant avec l a fin des années lycée qui approchent, leurs routes vont bientôt se séparer... Dans la grande tradition de leurs plans foireux, Kyousuke décide monter une équipe de baseball pour marquer le coup et charge sa sœur Rin d'aller recruter les membres manquants.
Voila donc THE blockbuster de l'année que tout le monde attendait au tournant et je dois dire que je ne suis poil déçu. Tout le monde pensait que ce titre des studios Visuel Key allait être adapté par KyoAni comme les précédents qui sont tous devenu des chefs-d’œuvres mais finalement c'est le studio J.C. Staff qui se retrouve aux rennes aussi fatalement la comparaison entre les deux styles de production est inévitable même si c'est un peu injuste de ne pas laisser sa chance aux autres. L'animation et le chara-design sont surtout ce qui peut choquer à ce niveau-là, et malheureusement pas en faveur de J.C. Staff. Je n'ai pas lu le Visual Novel dont est tiré cet anime (bien que je connaisses les grandes lignes) et je dois dire que ce premier épisode pose bien ses bases tout en offrant pas mal de gags et autres situations burlesques. Loin d'être un catastrophe mais loin d'être au niveau de ce que les fans attendent depuis des années, je dirais qu'il ne faut pas jeter la pierre tout de suite à J.C. Staff (après tout ils ont bien produit les excellents blockbuster To Aru Majutsu No Index , Shakugan no Shana , etc.). Qui vivra verra.
Mei est ce qu'on pourrait appeler une solitaire, depuis ses seize ans d'existence elle ne s'est fait aucun ami encore moins de petit-ami. De son côté Yamato est classé comme le beau gosse du bahut mais semble peu intéressé par la horde de filles qui gravitent autour de lui. Néanmoins cela change lorsque Mei lui colle un high-kick dans la figure suite à un malentendu. Les choses se précipitent lorsque pour tirer Mei des griffes d'un stalker Yamato lui vole son premier baiser.
Kya revoilà un shojo qui pointe le bout de son nez. Je veux dire ils ont même recyclé la scène du lapin mourrut déjà vu dans Tonari no Kaibutsu-kun (voir plus haut). La réalisation technique est néanmoins supérieur à ce dernier.
Imaginez que la conduite de char d'assaut soit devenu un art martial pratiqué uniquement par les femmes. Miho était justement venu dans le lycée d'Ooarai pour oublier son passé avec les tanks mais la coupe du monde de blindés qui aura lieu au Japon cette année force le conseil des élèves à ressusciter les cours de panzers. Alors que Miho venait tout juste de se faire ses premières amies la voila forcée de participer à ces cours sous la menace d'exclusion fomentée par le despotique conseil des élèves.
Après "filles et flingues", le genre "filles et tanks" serait-il en train de naître. Quoi qu'il en soit je suis plutôt surpris par ce premier épisode. Avec un topic pareil je m'attendais à une grande bouffonnerie mais il n'en est rien. La série se veut plutôt sérieuse mettant l'emphase sur Miho et sa volonté de ne pas céder et revivre un passé que l'on devine traumatique... Même si au final elle finit par accepter (sinon pas de série mmmh). Par contre ces tanks en 3D me décollent la rétine...
Kon aime bien jouer au MMORPG bien qu'il ne soit pas très doué à ça. Un jour il est abordé sur le chat par une charmante jeune fille qui lui demande de l'aide IRL. Emballé, le jeune garçon accepte et aussitôt dit aussitôt fait, le voila téléporté dans un autre monde où il fait la rencontre d'un bretteur baraqué, d'un travestit pistolero et d'une princesse revêche de huit ans. Cette dernière est en danger lorsqu'une troupe armée tente de s'opposer à son mariage.
Apparemment c'est l'adaptation d'un jeu vidéo de Capcom dont je n'ai pas entendu parlé donc je ne peux juger sur cet angle-là. Une épopée un peu mou du genou je dois dire, pas forcement mal réalisée (mais pas très bien non plus) mais un sujet plus que rebattu.
Ali Baba fait un jour la rencontre d'un jeune gamin nommé Aladdin qui lui cause pas mal de soucis. Essentiellement parce qu'Aladdin agit comme un jeune candide dans ce monde où règne argent, esclavage et accessoirement monstres mythiques. Dans ce monde se trouve également des Dungeon , des tours renfermant des trésors et notamment des djinns mais dont personne n'a jamais réussit à ressortir vivant. Et un djinn c'est notamment ce que possède Aladdin en plus de pouvoirs magiques.
Empruntant aux 1001 nuits se laisse suivre avec fraîcheur et entrain. A noter que le manga est publié en France.
Un anime court à propos de filles jouant plus ou moins au tennis. Si vous aimez le style déjanté sans queue ni tête ce sera pour vous sinon passez votre chemin.
Le système Aikatsu permet aux jeunes filles de se transformer en idoles afin qu'elles puissent faire leur travail (essentiellement chanter et faire les belles). Impressionnée par l'idole Mitsuki Kanzaki, Ichigo et son amie Aoi tentent l'examen d'entrée de la Starlight Academy, l'école pour idole.
Développé avec Bandai pour promouvoir son jeu d'arcade basé sur des cartes à jouer (le système Aikatsu) cet anime fait un peu peur avec son univers à paillette et ses horribles séquences CGI lorsque les héroïnes sont transformées dont le rendu semble avoir été généré 10 ans auparavant. Qu'est-ce qu'ils font regarder aux petites filles de nos jours j'vous jures...
Pour Sorata la vie lycéenne c'est beaucoup animé depuis qu'il a été obligé de déménager à Sakurasou, le dortoir pour les "cas" de son lycée (comprendre tous les génies socialement inadaptés). Bref quasiment l'asile de fou et en plus une nouvelle résidente, prénommée Shiina, fait son entrée. Il s'avère que Shiina est complètement impotente dans la prise de décision, même au quotidien, de fait Sorata doit devenir son "maître" et lui dire tout ce qu'elle doit faire.
Comédie romantique ecchi nous revoilà. La réalisation est correcte et les personnages diablement impactant. Ça donne envie de continuer à regarder.
Dans le monde de Consome, le royaume de Segua et l'empire de Ninteldo se battent depuis des lustres pour la suprématie. Alors que Segua est sur le déclin un garçon nommé Gear apparaît, se targuant d'être l'homme le plus rapide au monde.
Si vous avez l'impression de lire une mauvaise fanfiction datant de l'ère de la guerre des consoles entre Nintendo et Sega c'est parce que le propos à demi-avoué. Je ne sais pas si ce premier épisode suit fidèlement le manga d'origine mais les personnages sont particulièrement 2D ici. Et la réalisation plus que médiocre n'aide pas beaucoup à s'attacher à notre héros/hérisson bleu.
En rentrant chez elle, Sakura Sakurakouji aperçoit des gens être consumés par une étrange flamme bleue mais lorsqu'elle se rend sur place plus rien ne subsiste à part quelques cendres. Quelle n'est pas sa surprise lorsque Rei Ôgami, un nouvel élève, arrive dans sa classe le lendemain et ressemble à l'étrange pyromane. Une confrontation avec le gang des G-Falcon et Sakura la nuit même lève le doute lorsque Rei consumes les voyous, appliquant la loi du talion.
Code: Breaker est édité depuis quelque temps en France et je m'y étais intéressé avant d'être blasé d'ennui. Ceci étant je vais donc faire l'impasse sur cet anime également. Néanmoins la réalisation et le chara-design sont solides donc si vous aimez bien les beau-gosses mystérieux cet anime sera pour vous assurément.
2019, Akiho et Kaito sont les deux derniers membres du club de robotique du lycée bien que ce dernier soit plus passionné par le jeu de combat Kill Ballad. L'objectif du club de robotique est de donner vie au robot géant Gunvarrel en hommage à un robot apparu dans un anime légendaire. Du moins si ils arrivent à récupérer des sous et des membres...
Troisième volet des aventures scientifiques de la société Nitroplus (après Chaos;Head et Steins;Gate ), l'univers futuriste se veut néanmoins réalistique, annonçant l'hégémonie des tablettes sur nos mobiles actuels. Par contre la trame narrative suit elle le très classique "protagonistes devant trouver des membres/fonds/idées/résultats pour sauver le club". Ce premier épisode traine un peu en longueur d'ailleurs même si on peut du coup mieux apprécier la qualité graphique.
2 réponses - il y a plus de 11 ans
Toi qui rigole de mon titre, viens lire mes écrits.
Il y a des objets très basiques qu'on utilise pas tous les jours mais qui se trouvent toujours dans une maison, comme un entonnoir par exemple. Ou bien peut-être que vous n'en avez pas mais que vous dites que c'est tellement commun comme objet que le moment venu vous irez dans n'importe quelle supérette pour vous le procurer.
A partir de ce moment là vous avez commis une lamentable erreur car ces objets qui semblent si commun peuvent se révéler une plaie à trouver finalement comme j'ai pu en faire l'amère expérience.
Après avoir tenté de me faire pour la première fois des tempura , je me suis retrouvé avec l'huile de friture sur les bras à reverser dans sa bouteille. Hors de question de reverser directement de la friteuse vers la bouteille, il me fallait un entonnoir pour diriger le flux et éviter de tout foutre à côté. Entonnoir que je n'avais pas bien sûr.
"Bah j'irais l'acheter demain à la supérette pendant le midi" me dis-je. Or si vous avez lu ce que j'ai écris auparavant vous savez que ça ne c'est pas passé aussi bien que ça. Au final j'ai fait quatre supérettes d'affiliation différentes sans trouver la trace d'entonnoir. Je commençais à me demander si je ne me faciliterais pas la vie en commandant sur Amazon directement... Finalement j'ai eu le temps de rendre au supermarché où j'ai pu enfin trouver deux sets d'entonnoirs. Un dans le rayon outillage et un dans le rayon ustensiles de cuisine.
La morale de cette histoire est que ces objets banals mais qu'on utilise assez peu sont finalement assez difficiles à trouver et acheter. Pensez à vous y prendre à l'avance si vous allez en avoir besoin.
4 réponses - il y a plus de 11 ans
Pas envie d'aller traîner sur la plage à bronzer ? Rassurez-vous pleins de nouveaux animes arrivent
En cette époque médiévale, la Chine est divisée entre plusieurs provinces et une fois de plus la guerre gronde. Deux orphelins jeunes Xin et Piao vivant dans la province de Qin, province actuellement étranglée politiquement par deux factions qui s'opposent. De leur côté nos deux protagonistes tentent de se libérer de leur servage en apprenant par eux-même la voie du sabre.
Un jour, un officiel apparaît pour faire travailler Piao pour lui à la capitale, laissant Xin derrière-lui mais avec la promesse qu'ils se retrouveraient. La seule chose que Piao ne sait pas encore, c'est qu'il a été choisit pour sa ressemblance avec le jeune roi de la province Qin et ainsi lui servir de kagemusha . Malheureusement, son rôle le rattrape et c'est un Piao mourant qui vient supplier Xin de poursuivre la lutte à sa place et protéger le jeune roi de son demi-frère avide de reprendre le trône.
La première chose qui m'a frappé le visage avec cet anime est le procédé d'animation : de la 3D cell-shadowing qui sur des plans fixes peut faire illusion mais dès que ça commence à bouger le masque perd de sa superbe. Ironiquement, l'épisode est entrecoupée de scènes animées en 2D qui sont de bien meilleures factures que celles en 3D... Un choix qui aggrave d'autant plus mon ressenti négatif sur l'esthétique de cet anime.
Godô passe des vacances un peu particulières en Sardaigne puisqu'il doit en réalité remettre une tablette à une connaissance de son grand-père. Apparaît alors Erica Brandelli, jeune et pulpeuse italienne au caractère bien trempé et qui tente de récupérer la tablette sans ménagements. Néanmoins le couple est interrompu lorsqu'un Dieu Hérétique fait son apparition et commence à ravager la ville. Godô plonge alors tête baissée dans le monde de la magie et affrontements entre divinités, armé de sa tablette de Prométhée qui lui donne la capacité de voler une aptitude divine.
Une série pas trop prise de tête et qui se laisse regarder. La réalisation est plutôt même si pour le coup l'attaque spéciale du héros à coup de milliers d'épée d'or sortant du néant sent un peu le copier/coller de, au choix, Gilgamesh et son Gates of Babylon ou Archer et son Unlimited Blade Works de la série Fate/stay night .
La "famille Arcana", plus une organisation qu'une famille de sang, assure la protection de l'île de Regalo contre l'extérieur. La puissance de ses membres résident dans leur pacte avec des cartes de tarots leur donnant des pouvoir en accord. "Papa", le chef de l'organisation décide qu'il est temps de prendre sa retraite et décide d'organiser un Arcana Duello, un duel entre les possesseurs d'Arcana pour décider qui sera son successeur... et accessoirement le droit de marier sa fille, Felicità. Cette dernière ne l'entend pas de cette oreille et décide de lutter pour sa libertée avec son ami d'enfance Libertà et son cousin Nova dans le Arcana Duello.
Ambiance feutrée et combat pyrotechniques en perspective. C'est le deuxième anime à consonance italienne pour cette saison, visiblement avec le succès de Thermae Romae l'Italie a la cote auprès des japonais semble-t-il.
Chitose 11 ans, exprime ouvertement son amour insensé envers un homme plus âgé, exaspérant sa maitresse. Hum de l'humour bien à la japonaise qui n'a aucune chance de traverser les frontières
"L'humanité a décliné" (traduction littérale du titre) et de fait la population est retournée à un mode de vie plus rural. De leur côté le peuple des fées est en plein expansion grâce à leur intelligence et leur technologie et notre protagoniste (qui restera anonyme) sert de médiateur entre les deux races. Elle, son grand-père et leur assistant muet vont alors commencer à enquêter sur différents phénomènes étranges.
Une série à l'humour particulièrement noir pour un graphisme aussi mignon. On surprend d'ailleurs l'héroïne à analyser finement le comportement humain en société ce qui est assez inattendu vu le ton supposé-psychédélique de départ.
Que ce soit Sakai qui vient de perdre sa mère, "Wien" qui revient au pays après 12 ans d'absence, Miyamoto qui adore le chant et la musique, Tanaka l'unique joueur de badminton toujours en retard ou Okita qui alterne archerie, gothic lolita et équitation, rien ne semblait rassembler ces élèves pourtant dans la même classe. Pourtant quand Miyamoto se voit dénier la possibilité de chanter dans la célèbre chorale du lycée, le destin va faire que ces 5 adolescents vont se rapprocher dans une nouvelle chorale.
J'ai été impressionné par cet anime. Non pas par la plastique, le jeu d'acteur ou la mise en scène mais parce que c'est la première fois que j'ai pu voir une classe dépeinte de manière quasi-réaliste. D'ailleurs tout sonne juste dans ce premier épisode, tellement qu'on meurt d'impatience de connaître la suite à la fin de ce trop court moment de bonheur animée.
En 1967 l'Humanité fait sa première rencontre du troisième type avec ce qu'on appellera BETA ("Beings of the Extra Terrestrial origin which is Adversary of human race" ). En 1997 les BETA ont commencé à envahir la planète bleue et le destin s'assombrit de jour en jour pour ses habitants originels. La situation est telle que les jeunes lycéens sont enrôlés pour piloter les armures de combat servant à lutter contre l'envahisseur y compris les filles. Yui Takamura est l'une d'entre elles, bien qu'excitée à l'idée de piloter l'un de ces robots produit par sa famille elle ne sait pas encore réellement ce qui l'attend.
La franchise Muv-Luv est bien connue des aficionados de la culture Otaku. Notamment pour ces héroïnes en combinaisons extra-moulante (voire transparente suivant la version du jeu que vous jouez ) et ses combats bien trash et gore. Deux éléments qu'on peut déjà sentir dans ce premier épisode même si le gore est probablement prévu pour le deuxième.
Akari, Kyouko, Yui et Chinatsu ainsi que tout le reste du petit monde de Yuru Yuri rempilent pour une seconde saison. La série est toujours aussi humouristiquement cruelle envers Akari qui tente toujours désespérément d'être un personnage principal en bon et du forme mais se fait toujours piquer la vedette par les autres. Que du bonheur en perspective.
A 15 ans, Ichiko a tout pour elle : un corps de déesse, une immense fortune et une bonne partie du lycée à ses pieds. Apparaît alors Momiji, une déesse de la malchance. En effet il s'avère que Ichiko possède non seulement une chance bien trop élevée mais qu'elle suce également celle des autres et Momiji doit donc rétablir l'équilibre. Difficile tâche en perspective vu que Ichiko n'a pas l'intention de laisser partir sa baraqua.
Une comédie bien drôle avec un soupçon de finesse. En effet car même avec toute la chance du monde, on a toujours une partie de nous malchanceuse d'une façon ou d'une autre.
Hazuki a la vue basse, mais ça ne l'empêche pas de lorgner sur la belle fleuriste du coin nommée Rokka. Il finit par être embauché dans son magasin de fleurs mais un petit problème s'annonce face à ses plans d'idylle. En effet il s'avère que Rokka est veuve et que son mari habite toujours la boutique (bien que seul Hazuki puisse le voir). Et le fantôme est loin de vouloir laisser sa femme à ce nouveau parvenu.
Un bon vieux shojo qui a l'originalité de ne pas se passer dans un cadre scolaire pour une fois.
Notre groupe de protagonistes forme le club des pâtisseries au sein d'un lycée huppé néanmoins il ne font rien d'autre que de manger gâteaux et autres sucreries. Néanmoins leur vie insouciante se trouve menacée alors qu'approche l'élection du nouveau président du conseil des élèves. En effet la meilleure candidate en vue, Satsuki, prévoit de destituer tous les clubs "inutiles" ce qui inclut bien sûr celui nos protagonistes qui n'ont d'autre choix que de se présenter également dans la compétition. Néanmoins dans les coulisses, une sombre affaire de corruption se trame au sein du corps étudiant.
Beaucoup de personnages pour cette série qui se veut comédie mais qui pourtant commence avec une scène digne d'un polar avec l'un des personnages finissant dans le coma. Au passage l'héroïne à cheveux orange et aux reflets verts foncé c'est... original comme choix graphique.
Beaucoup de jeunes ont été attirés dans des mondes parallèles et ont acquis puissance et pouvoirs magiques et lorsqu'ils reviennent sur "Terre" ils sont pris en charge par l'institut BABEL qui pourvoit à leur développement. Akatsuki est l'un d'eux, il vient d'en finir avec " last boss " du monde où il était tombé et est rentré chez lui, contre la volonté de la princesse en détresse. Cependant il n'est pas rentré les mains vides puisqu'il a rapporté une jeune fille toute nue dans sa besace qui devra dorénavant se faire passer pour sa sœur longtemps disparue mais qui est en réalité la fille que le " last boss " a confié à notre puissant héros.
Beaucoup de boobs et de castagne à prévoir dans cet anime, je suis sûr que certains apprécieront
Shougo, fils du magnat Mikadono qui vient récemment de décéder est devenu le meilleur parti de tout le lycée d'autant plus qu'il n'héritera que si il parvient à trouver l'amour et se marier avant la fin de ses études. Seulement voila il fait la découverte qu'une des filles de son lycée est sa sœur dont il ignorait l’existence jusqu'à présent, bien que cette dernière veuille rester dans l'anonymat pour le moment.
C'est le même réalisateur que Kiss x Sis , Nawa Munenori qui s'y colle, on peut dire qu'il ne change pas beaucoup de registre A savoir le coup du jeune étalon collé de force dans une relation amoureuse avec sa(es) demi-sœur(s).
Ryosuke ne pense qu'à sa libido mais contrairement à beaucoup il ne s'en cache pas vraiment même si ça lui pose des problèmes. Voila qu'un jour il fait la connaissance d'une rousse sexy et l'invite chez lui. Sauf que la dénommée Lisarah, a en réalité décidé d'aspirer l'énergie de notre héros afin de pouvoir lutter contre un ennemi pas encore clairement définit. L'appétit sexuel de notre protagoniste s'avère cependant être une source d'énergie formidable bien que éphémère du point de vue de Lisarah car d'après elle; Ryosuke n'aurait plus que trois mois à vivre.
Et une comédie sexy pour la table 12, une ! Le design de Lisarah une fois transformée me fait penser à Shana de Shakugan no Shana ... si cette dernière avait eu de la poitrine *pérît dans les flammes de la chasseuse aux yeux ardent*
En 2022, la réalité virtuelle est enfin possible grâce aux Nerve Gear et prend la forme d'un grand MMORPG. C'est enfin le jour du lancement pour 10 000 veinards et tout se passe bien jusqu'à que nos protagonistes découvrent qu'il n'y a pas de fonctions pour pouvoir se déconnecter du jeu. Apparaît alors le créateur du jeu, Akihiko Kayaba, qui leur annonce que ce n'est pas un bug mais une fonctionnalité et que dorénavant si l'avatar vient à perdre tout ses HP ou si quelqu'un de l'extérieur tente de déconnecter les Nerve Gear alors ces derniers feront littéralement frire la cervelle des pauvres jours. Déjà 212 joueurs ont été éliminés de la partie...
L'auteur du light novel semble adorer les mondes virtuels vu qu'il a auparavant écrit Accel World également adapté en anime cette année. On pourra noter que la série est actuellement simulcastée gratuitement sur Wakanim (comme Accel World).
Sagara en a de la chance, lui qui est fan de Oda Nobunaga se retrouve transporté dans le passé à son époque ! Sauf que dans cet univers parallèle, le chef de famille revient au premier né qu'il soit garçon ou fille. Dès lors tous les personnages historiques ou presque de cette période du Japon féodal se retrouve changé en fille y compris Nobunaga (renommée Nobuna), pour autant leurs caractères restent les mêmes en particulier Nobuna et son rêve d'unifier le Japon.
Encore une série de fan-service exploitant le filon consistant à inverser le sexe des grands guerriers du Japon d'antan. Les amateurs seront aux anges, surtout que la réalisation est loin d'être mauvaise.
Le petit port de pêche de Kamogawa est devenu l'objet de toutes les attentions depuis qu'il est devenu la plaque tournante des échanges avec les extra-terrestres. Pour sa part Madoka se languit de ses deux amies qui sont reparties dans les étoiles. Néanmoins les affaires reprennent lorsque Ran et Muginami sont enfin de retour... sauf que ces dernières veulent maintenant s'étriper à bord de leurs Vox. Madoka et son Vox Aura parviendra-t-elle à réconcilier tout le monde ?
Madoka, Ran et Muginami rempilent pour une seconde saison de Rinne no Lagrange. Espérons que cette fois nous aurons un peu plus de réponses qu'à la fin de la première saison où rien ne semblait conclu.
Cet anime se propose de suivre cinq jeunes filles pratiquant le Rakugo , une forme de stand-up inversé puisque l'humoriste se tient assis tout du long. Dans la grande tradition de cet art, les grandes tirades sans queues ni tête se suivent pour aboutir à des chutes absconses.
Dans le système scolaire japonais, les élèves sont invités à s'inscrire dans un club partageant les mêmes passions. Dans certaines écoles cela est même obligatoire c'est pourquoi nos cinq protagonistes (3 filles et 2 garçons) se retrouvent dans un club générique vu qu'ils n'ont pas pu intégrer leur club de prédilection. Cependant tout part de travers lorsqu'ils commencent à changer de corps avec les autres de manière aléatoire !
Malgré l'utilisation de la vielle ficelle de l'échange de corps, cette série semble malgré tout intéressante en cela qu'il est très apparent que certains personnages ont des problèmes personnels assez importants et que ce "vis ma vie" forcé va sûrement pousser les autres à aider à la résolution de ces problèmes.
1 réponses - il y a plus de 11 ans
Le cache c'est la vie ! Sans lui AG ne serait que brouette rhumatisante et utilisateurs barbés de devoir attendre autant de temps entre chaque page. Cependant les problèmes commencent dès que vous gérez une ferme de sites ou des applications hétérogènes qui doivent partager les mêmes données en cache. Mais rassurez-vous AppFabric est là pour ça.
Tout d'abord commençons par préciser que Windows Server AppFabric est le regroupement de deux projets Microsoft "Velocity" et "Dublin" qui sont devenus respectivement Caching Services et Hosting Services.
Hosting Services est dédié à améliorer le support pour l'hébergement de services WCF, en particulier ceux utilisant Workflow Fondation. Bien qu'intéressant ce module ne nous intéressera pas pour cet article.
En revanche Caching Services est la solution Microsoft pour répondre aux besoins d'infrastructure pour la mise en place de cache distribuée. Malheureusement vous l'aurez sans doute deviné mais cette solution n'est prévue que pour fonctionner avec les autres produits Microsoft, amis javaïstes et phpïstes passez votre chemin...
Un cluster est une entité logique du réseau regroupant plusieurs machines faisant le même travail. L'idée est que les applicatifs ne connaissent que la tête du cluster, cette dernière se chargeant de rediriger la demande sur la machine la plus appropriée et renvoyer l'information. L'avantage est que l'on peut ajouter ou retirer des machines au cluster tout en restant transparent pour les applicatifs consommateurs.
C'est la même idée qu'un répartiteur de charge pour les serveurs web sauf qu'ici il s'agit de renvoyer des informations en cache plutôt que des pages web. La fonction première de Caching Services est donc de pouvoir mettre en place ce cluster de cache mais pas que !
Outre l'architecture physique au travers du cluster, Caching Services vous permet également d'avoir une segmentation logique de votre cache sur deux niveaux.
Le premier niveau regroupe les caches nommés, configurés lors de la création du cluster. Si vous gérez une ferme de cache dont vous proposez les services à des clients différents, c'est une bonne idée de créer un cache nommé par client afin que chacun reste séparé des autres.
Le second niveau regroupe les régions au sein d'un cache nommé. Cette fois c'est l'applicatif qui a la charge de les créer ce qui lui permet d'avoir son propre découpage logique, particulièrement pratique pour pouvoir faire expirer en même temps les éléments d'un même groupe. A noter que ce second niveau est facultatif.
Il est également possible d'ajouter une ou plusieurs étiquettes à un objet mis en cache afin de pouvoir faire des recherches d'objets par étiquette via les API de Caching Services. L'inconvénient est qu'il faut placer l'objet à l'intérieur d'une région pour pouvoir lui adjoindre des étiquettes.
Outre les fonctionnalités d'ajout, récupération et retrait d'un objet en cache via une clé ainsi qu'une expiration absolue (mais pas glissante), Caching Services propose un ensemble de notifications assez complet auquel peut s'abonner une application le cache. Le système de dépendance introduit par "HTTP Cache" peut ici être reproduit par les régions, à ceci prêt que c'est à l'application de déterminer quand faire expirer tous les objets d'une région et non en scrutant si un fichier a été modifié.
Les API de Caching Services propose également des solutions pour gérer des mécanismes de verrouillage optimistes et pessimistes des objets mis en cache.
Enfin les applicatifs consommateurs peuvent également activer un cache client qui stocke localement les objets venant du cluster et ce de manière transparente... ou presque car un objet en cache local est du coup coupé de sa version sur le cluster qui peut éventuellement être amenée à être modifié.
Parce que évidemment il y a un "mais".
Ici le problème n'est pas vraiment Caching Services qui remplit son rôle de mettre en place le cluster et proposer de nombreuses API et fonctionnalités pour interroger le cache. Non le problème est que AppFabric arrive bien tardivement dans un écosystème de sites web utilisant massivement "HTTP Cache" qui était de toute façon la seulement façon de faire jusqu'à présent.
Cela ne serait pas problématique si AppFabric pouvait remplacer silencieusement HTTP Cache sans pour autant modifier le code mais ce n'est pas le cas. Utiliser AppFabric requiert d'utiliser un jeu d'objets et de méthodes complètement différents de ce que l'on utilisait jusqu'à présent.
Pire encore, avec le Framework .NET 4.0 une classe abstraite ObjetCache est apparue avec une implémentation, MemoryCache, avec pour objectif de servir de base pour toute les formes d'implémentation de cache sauf que outre le fait de ne pas supporter non plus "HTTP Cache", AppFabric non plus ne part pas de cette base pour son implémentation, un comble !
Si jusqu'à présent vous n'utilisiez que Output Cache ou la session alors vous êtes plutôt chanceux car pour le coup AppFabric vient avec un provider pour chacun des deux modules ce qui fait que cette fois l'utilisation d'AppFabric est vraiment transparente sur ces fonctionnalités là tout en amenant des avantages comme la conservation des sessions en cas de recyclage des données ou bien la mutualisation des rendus entre les serveurs web.
En outre la sécurité n'a pas été oubliée avec la possibilité de restreindre l'accès au cache qu'à certains comptes utilisateurs (i.e. l'identité du pool d'application de votre site web). De plus les données échangées peuvent être signées et/ou cryptées (les deux par défaut).
En outre si vos serveurs ont l'option "haute-disponibilité", les données en cache se répliqueront sur les différents serveurs afin de minimiser le risque d'indisponibilité des données en cas de défaillance d'un des serveurs du cluster.
3 réponses - il y a plus de 11 ans
C'est la rentrée scolaire au Japon et des animes à la télévision
De la saison précédente , seule Phi Brain a droit à une deuxième saison, dans quel labyrinthe va encore ce fourrer ce cher Kaito ? Marika Kato et ses pirates de Moretsu Pirates continuent leurs aventures dans le vide l'espace. De son côté Gon et ses amis poursuivent leur aventures en tant que Hunter , enfin sauf Killua puisqu'il a échoué à l'examen...
Par ailleurs c'est le grand retour de Fate/Zero pour le bonheur des fans de TYPE-MOON, la quatrième guerre sainte se poursuit dans le sang des habitants de la ville de Fuyuki, qui remportera le saint Graal ? Comme l'année dernière, le site de vidéo nippon Nico Nico Douga propose gratuitement le visionnage de l'épisode avec des sous-titres français, c'est par ici .
Vous vous rappelez Kimi to boku , cette comédie lycéenne que je pourrais qualifier de barbante et entrecoupée d'images de chat ? Et bien les producteurs ont tellement aimé qu'une seconde saison est diffusée en ce moment. Des fois la vie est vraiment injuste sur qui a droit à un deuxième service et qui n'y a pas droit...
Kora wa zombi desu ka et son zombi magical girl/boy (oui) sont de retour pour une seconde saison OF THE DEAD . Humour et dérision sont toujours au programme et la réalisation toujours au top. Ça a du bon la vie !
Les diablement mignonnes divinités de Cthulu reviennent dans cette fois-ci une série en bon et du forme Haiyoru! Nyaruko-san . Apparemment les divinités du monde de Lovecraft sont en fait des extra-terrestres (tient je me demande si c'est là que Michael Bay a trouvé son idée pour le prochain film des tortues ninja ?) qui envahissent la Terre essentiellement parce que nous avons les meilleurs loisirs de toutes la galaxie. Nyaruko est envoyé sur place pour stopper des contrebandiers et rencontre alors Mahiro. Ledit Mahiro ne compte pas se laisser abuser par l'excentrique divinité et armé de sa fourchette même pas en argent punit inlassablement les déviances de notre policière de l'espace.
Honoka et son bébé des enfers, Mao, rempilent pour une seconde saison de Chibi☆Devi ! Cette description est aussi courte que sont les épisodes.
Le grand retour de Leiji Matsumoto qui peine quelque peu à sortir de ses carcans. En clair au lieu d'être dans l'espace la scène se situe dans un désert et la chose à trouver est une baleine des sables (aucun rapport avec GTO).
Difficile de se départir de l'idée que chaque personnage ressemble par son design à un autre des précédente œuvres de Matsumoto et occupe quasiment le même rôle, sauf Gido/Harlock qui se retrouve du côté des méchants mais bon il porte un masque alors la rédemption est encore possible (Matsumoto a du piquer l'idée à Tomino probablement).
Une série ciblant les plus jeunes mais qui pourra trouver un intérêt auprès du public occidental puisque l'anime se propose de nous conter les diverses mythes et légendes du Japon ancien au travers de petites scénettes animées.
Deux frères se promettent de devenir astronautes après avoir vu un ovni passer près d'eux. Des années plus tard, le plus jeune réalise ce rêve tandis que l'aîné est designer en voiture...
Avec un synopsis pareil il allait falloir frapper fort pour me brancher sur cette série et c'est exactement ce qu'à fait ce premier épisode. Quand même introduire la série sur le coup de boule de Zidane en 2006 ça ne s'était pas vu jusqu'à présent ! Résolument bien soutenu par un humour fin, c'est avec plaisir que je vais suivre les aventures du frère aîné qui se retrouve avoir la chance de devenir astronaute à son tour et ainsi tenir leur promesse.
Le coup du nouvel élève transféré arrivant dans son nouveau lycée pour démarrer l'histoire c'est un classique du genre mais lorsque l'anime commence par la séparation dans l'ancien lycée cela attire ma curiosité !
Natsumi, Saki, Yuka et Rinko sont des amies d'enfance qui vive dans un village de campagne. Saki va bientôt déménager mais n'a rien dit à personne et commence à se distancer des autres ce qui génère de vive tension auprès de Natsumi qui déclare leur "amitié rompue". Dans un effort pour arranger la situation Yuka et Rinko organise une réunion autour d'une pierre magique qui aurait la possibilité de réaliser le rêve de quatre amis, c'est alors que l'improbable se produit...
Après Morita-san et Recorder to Randosell, voilà Shiba Inuko-san qui apparemment est canonique avec cet univers. Si je faisais des recherches peut-être que je découvrirais qu'elles sont du même auteur ou quelque chose comme ça mais honnêtement j'ai pas le courage. Je veux dire y'a une lycéenne qui a l'apparence d'un chien et personne ne semble s'en soucier... Autant avec la précédente et son mec de 20 piges sur les bancs de l'école primaire c'était déjà pas crédible mais là... ma santé mentale n'y tiendra pas...
Dans la série des auteurs qui ne se renouvellent pas, je joue Masami Kuramada l'auteur de Saint Seiya. Enfin j'ai presque menti, au lieu de faire une enième série/spin-off sur le passé de la série d'origine, cette fois-ci c'est la première série/spin-off a se placer après les évènements du chapitre Hadès. Et non je vous rassure ce n'est pas le (prétendu) chapitre Tenkai avec Zeus, ici c'est un truc avec la planète Mars ou quelque chose comme ça. Quelque pensées sur le tas :
Hum bref je crois que ça va être le plus grand flop de cette année.
On connaissait l'auteur de cette série, Masakazu Katsura, pour ces précédentes comédies romantiques très panpan cucul. Avec ce titre, oublié les minauderies ça cogne sec, ça cogne dur. Jin est un enfant des rues, vivant dans un bidonville avec son grand-père, il est très fort physiquement parlant mais ne s'en rend pas compte. Il est ami avec Kouga, l'héritier de la puissante famille Amagi, avec qui il partage une admiration pour les justiciers. Malheureusement tout bascule pour Jin lorsque son grand-père se fait tuer par un être inhumain tandis que la famille de Kouga lui refuse le droit de voir à nouveau son clochard d'ami.
Ce premier épisode est très riche tout en dévoilant d'emblée le passé qui va torturer nos héros pendant de longues années. La symbolique des justiciers est également très forte, pas étonnant lorsque l'on sait que Katsura est un grand fan de Batman et que ZET (Jin) est modelé après lui.
Un spin-off de Naruto mettant en scène la fameuse équipe de Gai-sensei à savoir Neji, Tenten et bien sûr Rock Lee dans situations comiques. Le principal défaut que je vois à cette série est que comme dans la série originale, ces fillers ne peuvent pas se séparer du héros titulaire de la série à savoir Naruto qui du coup occupe un tiers du temps d'écran...
Tôru est un jeune fille particulièrement intéressé par l'occulte et qui, lors d'une séance de spiritisme invoque par erreur une sorcière noire. Cette dernière entreprends alors d'éduquer Tôru à devenir une sorcière elle aussi, contre sa volonté, afin qu'elle puisse lutter contre les émanations psychiques résultant des petites agressions du quotidien.
Court mais avec la volonté de traiter de sujets sérieux, ce laisse regarder.
Dans un lycée atypique une partie du temps de classe est dédié au débat. Débat sur quoi me direz vous ? Certainement pas politique ou philosophique non des choses bien plus importante comme comment s'appelle la boule formé par le poignet. Bref bienvenue dans l'humour non-sensique comme savent le faire les nippons.
Panda fils se fait rabrouer par sa mère qui le presse de trouver un travail, pas évident lorsqu'on à une flemme de... panda. C'est alors qu'il fait la rencontre d'un ours polaire tenant un café ainsi que d'un pingouin faisant office de pilier de bar. Hilarité s'ensuit... ou pas ?
Encore une comédie/tranche de vie qui prend bien tout son temps pour étaler ses blagues dans cet univers qui ne sait pas se décider si les animaux font partie de la société humaine ou pas.
Lupin the third (plus connu en France sous le nom Edgar de la Cambriole ) est une série mythique des années 70-80 mettant en scène Lupin cambrioleur de génie et joli-cœur indécrotable surtout en présence de la sulfureuse voleuse Mine Fujiko. Ladite Fujiko est d'ailleurs un sexe-symbole très fort de la pop-culture japonaise. Assez fort en tout cas pour donner naissance à cette série qui va donc se concentrer sur la voleuse plus que sur le cambrioleur.
La première chose qui choque en premier lieu est le style graphique choisit, à mille année lumière de ce qui se fait habituellement des productions nipponnes et qui du coup ressemble plutôt à une production européenne en particulier les films de Sylvain Chomet . Ensuite si Monkey Punch savait se montrer irrévérencieux ici on ne se cache plus de rien et les femmes passent leur temps les seins à l'air (et non-censuré !) quand ce n'est pas le bas, y compris l'héroïne principale.
Medaka a tout pour elle, elle est glorieusement belle, elle est très forte physiquement et intellectuellement et en plus est complètement désintéressé d'elle-même. Cela l'amène à prendre les rênes du conseil des élèves qui cette année va faire tout son possible pour venir en aide aux élèves en détresse, quel que soit la requête il suffit qu'elle atterrisse dans la Medaka Box . Zenkichi, son ami d'enfance, de son côté ne sait pas s'il doit l'aimer ou être constamment irrité par l'attitude puérilement borné de Medaka qui ne lâche jamais l'affaire.
Je ne sais pas ce que va devenir cette série mais l'attitude très "je suis parfaite et meilleure que vous" de l'héroïne me court sur le haricot. Je dois noter aussi que c'est l'un des rares cas où le rôle de la tsundere est tenu par protagoniste masculin.
Oda Nobunaga et divers illustres personnages de l'ère Sengoku se retrouvent téléportés dans le Japon présent. Si Oda compte revenir à son époque il lui faudra réunir tous ces voyageurs du temps. Oh j'ai oublié de précisé que tout ce petit monde est de sexe féminin et bien roulé désormais.
Pas grand chose à attendre de cette série dont la simplicité scénaristique semble au même niveau que la simplicité graphique.
Rea Sanka est la riche héritière de la famille Sanka qui vit une vie confinée par son obsessif de père et voudrait se libérer de ses chaînes. Les choses sont plus funky du côté de Chihiro qui adore les zombies et rêve d'une relation amoureuse avec une fille-zombie. Lorsque le chat qu'il avait adopté se fait écraser, Chihiro décide d'étudier un vieux manuscrit familial pour ressusciter le pauvre chat. C'est alors qu'il rencontre Rea venue littéralement crier son désespoir dans un endroit qu'elle pensait vide de toute âme...
Voila une entrée en matière assez originale qui se conclut par cliffhanger terrible qui pousse à aller voir la suite de cette série.
Cette série nous propose de suivre les (més)aventures au quotidien de 5 amis au lycée (2 garçons et 3 filles) chacun ayant son petit caractère et ses défauts. Ceux qui auront vu Lucky Star ne seront pas dépaysés d'autant que le design de l'héroïne principale est quasiment une copie conforme de celui de Konata. A propos de Lucky Star, la doubleuse de Tsukasa joue également un personnage ici quasiment identique.
Bref une bonne dynamique et un design ultra-moé.
Une série de courts mettant en scène Yurume, une fille de 18 ans venue de la province pour passer des examens d'entrée à l'université... du moins si ses voisins de dortoir lui laissent la possibilité d'étudier. Avec un peu d'imagination on pourrait presque croire à un remake de Maison Ikkoku (Juliette je t'aimes)... ok avec BEAUCOUP d'imagination. A propos le 3D c'est juste un jeu de mot, la série est en bonne 2D des familles.
Un professeur intègre un collège pour filles un peu particulier. En effet toutes les donzelles sont en réalité des fusils d'assauts venant de tous les pays.
...
J'ai rien compris de comment ce concept fonctionne mais en tout cas ces filles sont capable de faire apparaître leur contrepartie mécanique et faire feu à tout bout de champs. Bref, jeu de mots d'armurier et fétichisme militaire abondent ici.
Cette année-là 5 collégiens avaient fait tellement forte impression qu'on les avait appelés la "génération des miracles". Aujourd'hui cette génération est au lycée mais ce que peu savent c'est qu'il y avait un sixième joueur fantôme. Ledit joueur c'est Kuroko, il ne brille ni par son adresse ni par son physique mais sa capacité à s'effacer du jeu et à faire des passes décisives sont impressionnantes. Cependant Kuroko n'étant qu'une ombre il a besoin d'une lumière pour révéler tout son potentiel et cette lumière apparaît sous la forme de Taiga, un lycéen élevé aux États-Unis et qui est décidé à tailler en pièce tout ses adversaires.
Je suis très loin d'être un fan de mangas ou d'animes de sports (sauf s'ils ne parlent que peu de sport) néanmoins je dois dire que l'entrée en matière de celui-ci est plutôt intéressant. A noter que le manga est édité en France chez Kazé.
Mikoto Urabe est pleine de surprise derrière sa touffe de cheveux. Ayant fait une entrée remarquée dans son nouveau lycée en se roulant littéralement par terre de rire, elle se retrouve catégorisé "la zarbie". Néanmoins les étrangetés continuent lorsque sa salive, sucrée, semble être hautement addictive comme l'apprend à ses dépend Akira, un jeune garçon qui a goûté au fruit défendu.
Voila une série qui a décidé de ne pas faire les choses comme les autres, en particulier le fait de mettre en couple les deux protagonistes dès le premier épisode au lieu d'être le couronnement de la fin de série habituellement.
Spin-off de la série Saki qui voyait évoluer des joueuses de Mah-Jong lesbiennes (ce détail est important pour l'audimat), ce spin-off repart sur le même principe en présentant des amies d'enfance de Nodoka (l'une des protagonistes de Saki) qui après avoir vu ses exploits à la télé décident de reformer un groupe de joueuse pour l'affronter lors du prochain tournoi inter-scolaire national, et cela en toute amitié.
Mais pour moi la question reste : est-ce qu'ils arriveront à faire encore pire que la ridicule fin mal-faggotée de la série d'origine ?
Les japonais adorent les histoires de fantômes, c'est comme une seconde nature chez eux de se faire peur ainsi. Cependant quand on peut en voir toute la journée comme Teiichi on finit par s'y habituer... ou pas vu comment le fantôme en question, prénommé Yuuko, est malicieuse au possible. Mais ce n'est pas tout car elle aussi amnésique et sa mort reste un mystère que ce doit de découvrir le club des détectives du lycée.
Jonah est un enfant-soldat qui voue une haine pour les armes et leurs vendeurs. C'est pourquoi il décide de s'acoquiner avec Koko Hekmatyar, une jeune vendeuse d'arme aussi barrée que son groupe de mercenaires/gardes du corps. Infiltrer des armes et éliminer des rivaux fait partie de son quotidien désormais mais il pense pouvoir s'intégrer dans cette nouvelle "famille".
Amateurs de Black Lagoon & co ne passez pas à côté de cette série qui mélange guérilla et insanité dans un monde des plus noir et en même temps des plus coloré. En plus la série est simulcastée sur la chaîne Dailymotion de Dybex .
En 2040, la réalité augmentée est devenue vraiment une réalité avec l'avancée de la technologie de neuro-synchronisation. Pour autant les brimades n'ont pas disparu comme le constate durement Haruyuki, notre protagoniste très petit et très gros. Seule la présence de ses amis Chiuri et Takumu l'empêche de se réfugier dans le monde virtuel néanmoins chaque jour qui passe rend l'idée plus tentante, du moins jusqu'à ce qu'il fasse la rencontre de la présidente du conseil des élèves "Princesse Noire-Neige" qui lui procure un logiciel secret, le Brain Burst, qui lui permet d'accéder au "monde accéléré".
La série est simulcastée sur Wakanim .
Rick a de la chance, il sait faire du merveilleux pain et côtoie chaque jour trois jolies jeunes filles qui l'aide à tenir la boulangerie. Et en plus ils vivent dans un monde type fantasy avec elfes et compagnie. Vraiment beaucoup trop de chances, j'en suis jaloux. Cependant une violente tempête s'annonce sur leur tranquille île de Wyndaria, quel mauvais présage va leur apporter le vent déchaîné ?
Par une nuit d'orage un petit cabri se réfugie dans une maison abandonnée bientôt rejoint par une seconde personne. Bien qu'ils ne puissent pas voir leurs visages, ils se trouvent d'emblée beaucoup de points communs et décident de se retrouver le lendemain pour s'amuser. Seulement voila il s'avère que le second interlocuteur est en réalité un loup ! Comment les deux vont-ils arriver à continuer leur amitié malgré l'instinct et leur société respectives ?
L'équipe junior des Momotaro Predators c'est taillé un nom lors du précédent tournoi de football mais ses membres se sont dispersés pour différentes raisons et seul reste Shou qui jusque là astiquait les bancs de touches. Alors qu'il apprend que le club va être dissout il fait la connaissance d'Erika, une joueuse très douée mais qui se heurte à un machisme certain qui l'empêche d'intégrer une équipe. Quelque peu désappointé, leur rencontre inopinée avec une joueuse professionnelle va leur redonner courage.
Une série assez simple qui transpire la passion et les bons sentiments. Je crois que c'est la formule qui marche le mieux pour les animes de sport après tout.
Yuki a un problème, lorsqu'il est en stress son visage se déforme attirant d'autant plus l'attention et augmentant son stress. Cela ne va pas s'arranger lorsqu'il fait la connaissance de Haru, auto-proclamé extra-terrestre, excentrique au possible et apparemment capable de contrôler temporairement les gens s'il les asperge avec son pistolet à eau.
Couleur flashy et ambiance psychédélique, pas de doutes nous sommes de nouveau dans une production sans queue ni tête (du moins en apparence) et dont il faudra s'accrocher (ou être amateur) pour la suivre.
La série est simulcastée chez Wakanim .
Kaoru a un problème, lorsqu'il est en stress la nausée le prend. Cependant il a découvert qu'être sur le toit du lycée l'apaise dans ces situations. C'est alors qu'il fait la connaissance de Sentarô un voyou de sa classe qui va plus ou moins l'aider à récupérer les clés dudit toit monopolisés par des 3 ème années. Sur ces entre-faits l'éternelle souriante Ritsuko embarque les deux jeunes à la boutique de disque tenue par son père. Kaoru est lui-même un pianiste classique tandis que Sentarô est batteur et ne jure que par le jazz.
Après le rock (Beck, K-ON), la pop (Idolm@ster, AKB0048) ou encore le death metal (DMC) c'est cette fois-ci au jazz d'avoir droit à sa bande de jeune mélomanes. Par ailleurs la série se situant dans le milieu des années 60, cela légitime plus cet engouement de la jeunesse tout en apportant un certain côté rétro dans les décors ou les costumes des personnages.
La série est disponible gratuitement sur la page Dailymotion de Dybex .
Houtarô espérait ne rien faire de sa fraîche vie lycéenne, sa grande sœur a décidé du contraire en le forçant à intégrer son ancien club sous peine de répercussions physiques, étant une spécialiste en aïkido et clé de bras (les filles de nos jours j'vous jure...). Cet adepte de l'attitude molle va néanmoins rencontrer sa Némésis en la personne de Eru, une jeune fille à la curiosité insatiable. Adieu paresse et monotonie...
Bien qu'assez différent, je ne peux m'empêcher de faire la comparaison avec la mélancolie de Suzumiya Haruhi dont l'accroche est assez similaire bien qu'ici "Kyon" soit beaucoup plus calculateur et feignant tandis que "Haruhi" est moins excitée et pénible. On notera d'ailleurs que les deux séries partagent une plastique et une qualité technique indéniablement impressionnante.
Dans un futur proche ou lointain, le divertissement a été bannit de la société humaine. Partout ? Non car un groupe de jeune fille a repris le flambeau du groupe AKB48 et vient apporter chansons et baume au cœur à la population écrasée par le travail.
Ma première réaction lorsque j'ai lu ce synopsis : Idolm@ster IN SPAAAAAAAAAACE ! Même si l'on peut sentir que la réalisation c'est donnée du mal, certaines choses sonnent faux pour nous faire croire à ces starlettes de l'espace qui luttent contre les fachos anti-divertissement. A noter que le groupe des "apprenties" est doublé par des vraies membres de l'AKB48 alors que le groupe des "seniors" (qui endossent les vrais noms des AKB48) sont jouées par des stars du doublage comme Yukari Tamura, Mamiko Noto, Yui Horie ou encore Mai Nakahara.
3 réponses - il y a plus de 12 ans
Voyons voir ce que Santa-san nous a apporté du pays du Soleil Levant.
Certaines séries démarrées lors de la saison précédente continuent leur diffusion pour notre plus grand plaisir Ceci concerne :
Difficile de résumer cette série qui se focalise sur une variété de personnages beaux-gosses narcissiques débiles et détestables au possible. Normalement la série devrait prendre en contre-pied ce genre de personnages pour un effet comique mais des fois la mise en scène me fait tirer la moue et des fois c'est l'hilarité générale.
Madaoka, lycéenne énergique de sa ville portuaire de Kamogawa, fait partie du club des survêtements ; un club dédié à venir en aide à n'importe qui pour n'importe quoi. Évidemment cette position de bon samaritain corvéable à souhait n'est pas enviée du reste de ses camarades aussi est-elle la seule membre du groupe. Tout bascule le jour où elle rencontre une autre fille qui s’autoproclame extraterrestre et lui demande de piloter un engin mi-robot mi-chasseur contre d'autres visiteurs de l'espace.
Un graphisme agréable pour cette série de mecha qui semble en avoir un peu plus sous le capot qu'une simple invasion de robots extraterrestres notamment au travers du personnage de la sœur de Madoka qui semble opposé corps et âme à ce que cette dernière pilote ledit robot. A noter que les mecha-design ont conçu par une équipe de la société automobile Nissan ce qui marque, à ma connaissance, la deuxième collaboration entre un voiturier et un anime (la première ayant été Subaru).
Cette série, qui peut se traduire par "flute à bec et cartable", narre les mésaventures de Atsushi un écolier avec une carrure d'adulte et sa sœur Atsumi une lycéenne de 17 ans à la carrure d'écolière. Chacun d'entre eux ayant du mal à s'intégrer dans leurs univers respectifs à cause de leur physionomie.
Juste quand je pensais en avoir terminé avec Morita-san wa mukuchi , voila qu'elle se permet de faire un caméo dès la première scène... mauvais départ pour cet anime un peu borderline. Petit plus quand même, la voix de Rie Kugimiya -qui double Atsumi- est quasi-méconnaissable, une performance intéressante pour quelqu'un qui semble enfermée dans ses rôles de petites filles aux voies irritantes au possible.
Cette comédie suit Yasuna, une lycéenne normale qui a bien du mal à être amie avec ses deux autres camarades de classes Sonya, une tueuse professionnelle, et Agiri, une ninja. Essentiellement parce que Sonya est particulièrement paranoïaque et réagit violemment à toute preuve d'amitié de Yasuna. Ces dernières ne sont pas mieux loties avec Agiri dont la personnalité nonchalante et manipulatrice est en réalité l'écran de fumée qui masque ses réelles capacités de ninja.
J'ai bien aimé les personnalités un peu barrées de nos héroïnes qui se complètent harmonieusement pour nous faire rire. Une série simple mais qui a son petit charme.
Un fléau frappe l'humanité sous la forme d'attaque d'êtres appelés Noise capables de réduire en cendre toute forme de vie à leur contact. Kanade et Tsubasa sont une paire d' idol formant le groupe Zwei Wing et qui accessoirement sont capable de revêtir des armures Symphogear qui leur permettent de lutter contre les envahisseurs. Néanmoins tout bascule lorsque Kanade se sacrifie pour sauver Hibiki, une jeune fille qui était venue voir leur concert. Deux ans plus tard, les Noise font toujours des ravages et alors qu'Hibiki se retrouve à nouveau face à eux elle arrive à déployer son armure Symphogear sans vraiment trop comprendre ce qu'il lui arrive.
Un peu bordélique se premier épisode qui semble user et abuser de spoilers pour mettre en place une ambiance assez dramatique. Néanmoins difficile de faire abstraction de certaines choses comme par exemple le fait que malgré la calamité que sont les Noise qui attaquent constamment, l'humanité semble encore avoir le temps et l'envie d'aller à des concerts ou même entretenir des écoles de chants et musique. Mais bon certains autres côté font que l'anime reste tout de même intéressant et intriguant. A noter que Nana Mizuki tient le rôle de Tsubasa.
Le "Chevalier de la surface (de réparation)" c'est ainsi que l'on surnomme Suguru, le champion de son collège et qui fait partie de la sélection des jeunes joueurs. Kakeru, son jeune frère, est tout aussi talentueux mais se dévalorise pour certaines raisons et décide d'assumer le simple rôle d'assistant du club ce qui rend son ainé fou de rage et d'incompréhension. Sur ces entrefaites réapparait Nana, une fille avec qui les deux frangins formaient un trio d'enfer sur les terrains pendant l'école primaire.
Pas de montée de colline ou de tir improbable de la feuille en vue pour le moment dans cet anime ce qui n'est pas plus mal. D'ailleurs j'ai plus l'impression qu'ici le football est secondaire par rapport à l'intrigue et la psychologie des personnages principaux. Un peu à l'instar de Ro-Kyu-Bu mais sans le côté ecchi.
Issei et ses deux amis intègrent un lycée pour fille récemment devenu mixte dans l'espoir de se constituer un harem de jeunes filles en fleur. Peu couronné de succès pour le moment, la chance semble enfin lui sourire lorsqu'une inconnue lui propose spontanément de devenir sa petite amie et les voila embarquer dans un rencart. Mauvaise pioche cependant pour Issei qui se fait poignarder le cœur par la charmante demoiselle (épitaphe : "quitte à me tuer, tu aurais au moins pu me laisser te peloter" ). Intervient alors Rias Gremory (tour de poitrine 99), démone de son état, qui lui sauve la vie et fait alors de lui son serviteur mais dans quel but ?
Rien qu'avec ce premier épisode je pense que j'ai fait le plein de fille à poil pour la saison je pense. Dans cette débauche de ecchi à tout va on peut néanmoins trouver des débuts de scénario intéressant mais qui n’atteindront pas des sommets de profondeurs je pense.
Dans le futur, la planète coloniale "Océan de l'étoile du matin" voulut s'émanciper du gouvernement fédéral et légalisa la profession de pirate que ces derniers les aident dans sa lutte armée. Enfin tout ceci fait partie du passé maintenant pour Mariko lycéenne de son état et pilote spatial à ses heures perdues. Du moins le pensait-elle jusqu'à ce qu'un jour des membres d'équipage du Bentenmaru l'abordent en lui faisant la révélation fracassante qu'elle était la fille d'un capitaine pirate et que, ce dernier étant décédé, elle devait prendre la relève (parce qu'apparemment la position de capitaine pirate est héréditaire, c'est nouveau dans le code de la piraterie).
Je sens venir la grande farce intergalactique mélangée à des moments plus sérieux et action. Une recette qui avait déjà fait ses preuves dans la série Vandread et le fringuant équipage du Nirvana. J'augure le meilleur pour cette série.
Yuuta est un jeune étudiant à la fac de lettre (ça change des éternels lycéens) et qui fait la rencontre d'une autre belle étudiante bien qu'un peu barrée dans son genre. Un jour la frangine de Yuuta lui demande de venir garder ses trois filles pour le week-end. Si ses nièces sont ravies (surtout l'ainée qui en pince pour lui) Yuuta n'est pas aussi enchanté vu que dans le passé il s'était fortement opposé au mariage de sa sœur avec un homme bien plus âgé qu'elle et qui amenait deux enfants d'un précédent mariage. Le destin va faire que les quatre vont devoir cohabiter plus longtemps qu'un week-end...
Je suis très surpris par ce premier épisode d'une série qui, je le pensais, serais plus fan-service que ça. Pourtant les 3 héroïnes sont introduites assez tardivement et les pantsu gardés au strict minimum. Par ailleurs la situation compliquée entre Yuuta et sa sœur, qui se reporte fatalement sur les filles de cette dernière, donne une bonne intrigue de départ pour un anime qui aura peut-être plus de chose à dire que ce qu'il laissait présager.
Un drôle de chat tout rond nommé Poyo intègre une famille, ce court anime nous narre ses (més)aventures du quotidien. Vous vous souvenez de Paya-chan, le chat mutant de Mashiroiro Symphony ben apparemment il s'est trouvé un nouveau boulot brrrrr...
Pelotage de plates (ou pas) poitrines, "chien" en chaleur et crises de jalousie destructrices : pas de doutes nous revoilà sur les terres de Zero no tsukaima . Cette quatrième saison (longtemps attendu, comme Shakugan no Shana ) devrait être la dernière et conclure les aventures de notre Harry(iette) Potter orientale et de son obsédé de son familier. Soyez prévenus cependant que la série embraye tambour battant et ne prend pas le temps d'expliquer quoi que ce soit aux nouveaux venus donc il est nécessaire de regarder les trois autres saisons précédentes pour bien tout comprendre.
Isanami, une prêtresse de la région sacrée d'Izumo, est obligée de fuir lorsque son temple est détruit par un groupe de ninja et tente de trouver refuge auprès du daimiyo Yukimura Sanada . En chemin elle fait la connaissance du ronin Saizou Kimgakure qui la protège, bon gré mal gré, d'un groupe de poursuivants. D'abord peu enclin à aider Isanami, Sanada l'utilisera comme appât pour révéler l'identité du maître des agresseurs, dévoilant son intention d'aider la jeune prêtresse finalement. Cependant au cours de la bataille Isanami déclenche un pouvoir particulièrement destructeur...
Cet anime, qui n'a rien à voir avec Ben 10, reprends à son compte la légende des 10 héros de Yukimura Sanada. Le graphisme est agréable et l'histoire réserves sûrement d'autres personnages haut en couleur. Par contre on regrettera la mise en scène un peu poussive ainsi que le doubleur qui joue Sarutobi Sasuke, le leader des 10, dont la performance est médiocre et très effacé par rapport au reste du casting.
Le genre de la comédie/tranche de vie semble réservé à des personnages féminins exclusivement. Pourtant quelques exceptions masculines émergent comme par exemple Kimi to boku diffusé lors de la saison dernière. Néanmoins si vous avez trouvé que Kimi to boku était lente et chiante pas de panique voici Danshi koukousei ni nichijo dont la réalisation à cent à l'heure et ses blagues tantôt grasse tantôt non-sensique vous empêchera de vous ennuyer. Une bonne tranche de rigolade en vue.
Kouichi commence mal l'année scolaire avec un pneumothorax qui le cloue à l'hôpital. Peu avant sa réhabilitation, les deux délégués de sa classe ainsi que la préposée aux contremesures (?) viennent lui rendre une visite intrigante. Plus tard il croise une camarade de classe, Mei Misaki, qui semble avoir à faire du côté de la morgue. Enfin remis sur pied, Kouichi rejoint la classe 3-3 où tout le monde semble l'accueillir chaudement et en même temps ignorer complètement la présence de Mei. Cette dernière lui annonce que les autres élèves lui cachent quelque chose, notamment le fait qu'il y a 26 ans, une certaine Misaki de la classe 3-3, égérie du collège, avait trouvé la mort brutalement.
Intriguant, oppressant et carrément flippant. Les animes d'horreur sont assez rare mais la quantité est généralement inversement proportionnelle à leur qualité et cet anime ne semble pas y faire exception. Le jeu d'acteur, la réalisation et la photographie sont particulièrement réussit et créé une ambiance pesante et mystérieuse au possible. Assurément le meilleur de ce début d'année 2012.
Cet anime est diffusé en simulcast sur la page Dailymotion de Dybex ainsi qu'à la TV sur No-Life.
Ririchiya a une mauvaise habitude : répondre aux gens avec condescendance. Certains diraient que c'est le fait de venir de l'une des familles les plus anciennes et riches du Japon mais la vraie raison est plus complexe. Pour s'isoler elle décide de venir habiter dans la prestigieuse Maison Ayakashi, un complexe immobilier habité seulement par des personnes exceptionnelles et assistées par un membre des SS (Services Secrets). Cependant alors que Ririchiya ne veut personne auprès d'elle, un membre des SS et insiste pour rester auprès d'elle avec une persévérance digne d'un chien. Ou plus exactement d'un kitsune , renard qu'elle avait sauvé précédemment et qui, par cette preuve de bonté, lui voue une fidélité infaillible désormais.
Intéressante série bien que la révélation comme quoi tout les résidents portent des pouvoirs divers et variés (y compris l'héroïne) m'a semblé quelque peu superflu. Aussi le fan-service, bien qu'assez inventif et sensuel, distrait des problèmes psychologiques que tente d'exposer l'anime.
S'il fallait associer le Japon avec dix mots, le "bain" en ferait partie. Cet import point culturel nippon est au cœur de cette série qui veut nous le faire découvrir avec humour. Licius est un architecte en bains de la Rome antique sous l'ère de l'empereur Hadrien . S'étant fait traiter de has-been , il tente de se consoler dans un bain mais est entrainé par un drain pour ressortir dans un bain public japonais, à l'ère moderne. Ayant ainsi la capacité d'aller et venir d'une époque à l'autre il va s'évertuer à intégrer les rîtes et technologies de ces "esclaves à visage plat" dans les thermes romains.
Cet anime est disponible en simulcast gratuit sur Wakanim.
Kaito est un réalisateur de film en herbe, armé de sa caméra 8mm (!?) il faisait des repérages la nuit près d'un barrage lorsque quelque chose tombe du ciel et lui fait faire une chute mortelle. Plus important le lendemain, une fille aux cheveux rouges flamboyant fait son apparition dans le lycée de Kaito. Prénommée Ichika, tout le monde s'aperçoit qu'elle n'a pas "l'air d'ici" mais elle accepte néanmoins de faire partie du film que Kaito voudrait réaliser pendant les vacances d'été. Plus important, il s'avère que Ichika est une extra-terrestre, que Kaito semble bien mort ou grièvement blessé et qu'il a été "réparé" par la belle alien et qu'à la fin de l'épisode les deux sont retrouvés dans une position compromettante.
Vous connaissez Onegai Teacher ? Et bien ça ressemble un peu, dans le fond comme dans la forme. Ce qui est relativement normal puisque le scénariste et le chara-deisgner ont participé aux deux animes. Quoi qu'il en soit la série sent le frais, le fan-service est très légèrement présent et ne gâche rien et on ne peut qu'être impatient de connaître la suite des péripéties de notre jeune couple. A noter que Yukari Tamura nous offre encore une performance prometteuse bien qu'elle ne double pas l'un des personnages principaux.
Cet anime est disponible en simulcast gratuit sur Wakanim.
Ce court anime arrivé un peu en retard et qui visiblement va prendre son temps entre chaque épisode n'a rien à voir avec le Basket malgré son titre. Huit stéréotypes issus d'animes de drama scolaire se retrouvent dans une situation où ils vont devoir se battre contre l'armée pour sauver leur vies ainsi qu'une boîte qui représente l'espoir du Japon.
Anime intriguant je dois dire qui par son format inhabituel pour ce type d'histoire et certaines images assez crues. Et en même temps des personnages dont la description ressemble pas mal à celle des protagonistes de Valkyria Chronicles 2 faite par Ragnarok, soit des caricatures sur pattes qui n'aide pas forcemment à garder un ton sérieux.
Aya n'est pas facile à avoir comme amie. Elle est grossière, abrutie, imbu de sa personne (chaine en or égotiste et tout !) et aussi pas mal foutue. Bref le genre de fille bien jusqu'à ce qu'elle ouvre la bouche.
Ce court anime nous propose de suivre les mésaventures d'Aya et surtout de son entourage qui doit la supporter. Un titre un peu similaire à High Score, le côté halluciné en moins.
Mato fait sa rentrée au collège. Un jour elle se découvre un point commun fort avec Yomi, une autre fille de sa classe que jusque là tout séparait. Yomi de son côté est particulièrement renfermé, son attitude aggravée par la possessive Kagari qui refuse catégoriquement que nos héroïnes se lient d'amitié. Pendant ce temps dans une dimension parallèle des êtres ayant les traits des personnages principaux se livrent une lutte sans merci pour une raison inconnue.
Black Rock Shooter nous reviens à la télé après son OAV de 2010 et les divers jeux et mangas qui ont suivi. Pas besoin de s'appeler Freud pour comprendre que les batailles dans le monde parallèle reflète les luttes des sentiments entre les différents personnages de la série. Ces séquences sont par ailleurs particulièrement impressionnante visuellement parlant (mention spéciale pour le char-araignée et son canon à macarons) mais certainement très onéreuse à produire ce qui explique le faible nombre d'épisode prévu (huit). Néanmoins la courte durée annoncée fait que la narration se fait tambour battant les temps de contemplations étant astucieusement remplacés par les combats homériques pendant lesquels aucun mot n'est prononcé.
Cette série a le bon goût d'être simulcastée sur la chaîne Dailymotion de Dybex ET AUSSI le vendredi à 19h30 sur la chaîne TV No-Life.
1 réponses - il y a plus de 12 ans
Le mois de décembre, c'est le moment des récap'
Galerie d'images de toutes les séries que j'ai vu cette année
9 réponses - il y a plus de 12 ans
Mes premières impressions sur les nouveaux animes sortant pour la saison automne 2011.
Tous les animes de la saison n'ont pas encore été diffusés donc ce billet risque d'être modifié assez fréquemment.
L'un des deux blockbuster les plus attendu de cette saison (l'autre étant bien sûr la troisième et dernière partie de Shakugan no Shana), Persona 4 est l'adaptation en anime du célèbre jeu du même nom sorti en 2009 (en France) sur PS2.
Autant dire que cet anime est attendu au tournant par les nombreux fans du jeu et les premières images ne déçoivent pas. J'apprécie particulièrement le travail sur les textures qui sont de toutes beauté. Par contre lorsque le héros a invoqué sa Persona pour se battre j'ai eu un fort relent de JoJo Bizarre Adventures et ses Stands mais bon.
En tout cas tout ceci est très prometteur, j'espère juste que cet anime ne sera pas une mini-série de 12 épisodes seulement auquel cas beaucoup de substance risque de passer à la trappe.
Cet anime dont le titre signifie "je n'arrives pas à me faire d'amis" possède un graphisme particulièrement fin et soigné ressemblant beaucoup à Denpa onna to seishun otoko (probablement même chara designer). Et en plus de cela le sujet de l'anime, révélé dans son titre, me plait particulièrement.
Kodoka vit un grand malentendu depuis son arrivée au lycée, ses cheveux blonds naturels lui ayant valu l'étiquette de racaille (un lieu-commun japonais) et donc aucun ami. Un soir il surprend une de ses camarades de classe, Yozora, en train de parler avec son ami imaginaire. De fil en aguille Yozora décide de créer un club dédié à se faire des amis mais voila que Sena, une blonde à forte poitrine, pose sa candidature pour faire partie du club. Hilarité et joute verbale s'ensuit.
Trois ans maintenant que les fans attendaient cela et enfin la voila : la troisième et dernière partie des aventures de Shana, la chasseuse aux yeux de feu. La réalisation technique est assez comparable aux deux précédentes saison ce qui est un régal pour les yeux.
Dans un twist révélé depuis un an par le trailer, Yûji a disparu laissant Shana et Kazumi sans réponse quand à leurs problèmes de cœur. Néanmoins dans un vrai twist (sauf pour ceux qui ont lu le visual novel) il s'avère que Yûji a retourné sa veste et s’apprête à livrer bataille contre nos chères Flame Haze (bon ok il est probablement juste possédé par Silver mais bon).
Pitié, pitié, pitié, pas douze épisodes, pitié, pitié, pitié...
Une situation et un humour assez décalé, un chara-design et une animation accrocheur ainsi qu'un fan-service assez présent mais juste ce qu'il faut. Néanmoins je dois qu'il y a un petit je ne sais quoi qui m'a complètement conquis et me fait placer cette série aussi haut.
Satou est un étudiant fauché qui ne se nourrit que de bento, paniers repas, tout fait acheté à la supérette du coin. Il pense avoir de la chance en trouvant un bento à moitié prix mais se retrouve aussi sec à l'hosto sans avoir trop compris ce qu'il c'est passé. Il s'avère que d'autres jeunes fauchés comme lui se livrent une lutte sans merci pour profité de ces raretés moitié-prix et qu'il se trouve notamment sur le territoire d'une combattante hors pair, la Reine de Glace... qui accessoirement va au même lycée que lui et l'invite à rejoindre son club dédié au bento à moitié prix.
Je sais pas vous mais j'ai faim soudainement.
Le Saint Graal apparait de nouveau et 7 magiciens accompagnés de 7 servants vont s'entredéchirer pour sa possession dans une bataille sans mercis. Fate/Zero est une préquelle à Fate/Stay Night, de fait certains personnages reviennent (en particulier les servants) alors que d'autres font juste des caméo.
Néanmoins la série reste très accessible pour les néophytes de la saga, la série étant assez dense et autonome voire glauque par certains moments. Complétée par une réalisation toujours aussi magistrale, Fate/Zero est un blockbuster à ne pas manquer.
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Yukiteru est un adolescent en proie à une solitude extrême qui s'est inventé des amis imaginaires dont Deus Ex Machina. Imaginaire jusqu'à ce que Deus lui donne un mobile capable de prédire l'avenir. Oui mais voila il n'est pas le seul à en posséder un et bientôt Deus annonce une grande bataille royale entre les possesseurs et dont le vainqueur le remplacera au poste de Dieu de l'espace et du temps.
Le manga, sorti en France depuis un moment, avait fait grand bruit pour sa qualité et sa capacité à nous prendre aux tripes. L'auteur s'amuse à nous présenter toute la petitesse et la bassesse humaine de même que la folie brutale et subtile à travers ses personnages tous plus torturés les uns que les autres. Flippant !
Intersecter beaux gosses avec mathématiques, cela ne semble pas faire partie des nombres réels pourtant c'est ce que tente de faire cette série. Bien sûr la série ne traite que très superficiellement le comment résoudre mathématiquement les divers puzzle proposés (les héros étant soit des bêtes de calcul, soit dotés d'une capacité d'observation impressionnante, soit utilisateurs de deus ex machina ) néanmoins il s'avère assez dynamique et sur un sujet particulièrement rare pour un shônen.
Kaito, lycéen avec la cool attitude, c'est fixé un but : résoudre tout les puzzles insolvables (parce qu'il n'y a rien de plus dépressif qu'un puzzle dont personne ne trouve la solution), ces puzzles peuvent prendre diverses formes : sudoku, labyrinthes, etc... Un jour il reçoit une invitation pour résoudre un des ces puzzle qui s'avère être un labyrinthe grandeur nature sous terre (et juste à côté de son lycée, pratique !) qui s'avère être particulièrement dangereux.
Pour fêter le retour aux pinceaux du mangaka Yoshihiro Togashi, après des soucis de santé très graves, son manga phare Hunter X Hunter a droit à un remake total (ce qui laisse l'espoir de voir les derniers volumes paru adaptés également). Je n'ai pas beaucoup regardé l'anime d'origine néanmoins il ne m'a pas beaucoup semblé différent de celui-ci, en revanche les voix ont toutes été renouvelées donc soyez prévenus.
Gon, Kurapika et Leorio font connaissance sur un navire qui les emmènent vers un centre d'examen pour devenir Hunter, des chasseurs de trésor/primes/animaux dotés d'une force surhumaine. Chacun veut devenir Hunter pour des raisons différentes mais ils se trouvent rapidement des points communs et deviennent amis. Une amitié qui ne sera pas de trop face aux difficultés immenses pour devenir Hunter.
Par une nuit pluvieuse, Shingo tente de retrouver sa sœur qui a "un peu de mal" et passe son temps à se perdre. Intervient alors Airi qui aide les deux frères et sœurs à se retrouver. Le lendemain les deux se rendent à leur nouvelle école qui s'avère être un ancien lycée pour fille devenu très récemment mixte. Là ils rencontrent quelques autres filles ainsi que Airi qui manifeste une certaine animosité envers le fait que l'école soit devenue mixte et de fait envers Shingo.
Servie par un graphisme particulièrement agréable et dont la réalisation veut plus jouer sur l'atmosphère que les petites culottes. Cette adaptation d'un eroge part sur de bonnes bases et promet de bons moments.
Takeru est de retour dans sa ville natale après avoir passé le collège dans une grande ville. Il est plus qu'excité de revoir son amie d'enfance qui a bien grandi ainsi que son nouveau lycée, anciennement pour filles exclusivement. Néanmoins il a oublié de lire les petites lignes précisant qu'ici tout le monde se frittent à coup d'épées, d'arts martiaux et de pouvoirs magiques. A la fin de la journée il parvient quand même à accueillir dans sa chambre son amie d'enfance, une fille qui s'est auto-proclamée sa fiancée ainsi qu'une blondinette qui a secrètement jurée de le tuer.
J'ai un bon feeling avec cette série comédie-baston-ecchi, un peu comme avec Mayo Chiki. De plus ça faisait un moment que je n'avais pas vu de héros aussi ouvertement pervers et bon à rien à part se constituer un harem.
Je n'ai pas eu beaucoup de chance jusqu'à présent avec les animes mini-format (même si une "vieillerie" m'a prouvé le contraire) du coup j'ai un peu appréhendé cette série malgré l'histoire qui était assez attirante. Je ne suis pas complètement rassuré mais je vois quand même un potentiel.
Honoka, 14 ans, est bien malheureuse. Elle vit toute seule dans son appartement et ses camarades de classe lui mènent la vie dure. La solitude commence à l'emporter lorsqu'elle soumet une ultime prière à Dieu, dont jusqu'à présent elle avait renié l'existence. Ce dernier lui envoie alors un bébé, prénommé Mao (soit "diable" en japonais), commence alors de nouveaux ennuis pour Honoka. Dieu n'est peut-être pas si gentil que ça finalement...
Dans un Japon uchronique ayant subit une guerre de l'ombre face à des terroristes, le pays est maintenant privée de souveraineté par une force armée internationale venue à l'origine pour ramener la paix et qui estime que le Japon ne peut plus se gérer seul.
C'est dans cette société tantôt aveugle tantôt subissant la brutalité de l'occupant que vit Shu, un jeune lycéen qui tient absolument à continuer à vivre sa petite vie tranquille mais les évènements vont s'acharner à l'en empêcher lorsqu'il entrera en contact avec un virus lui donnant la "capacité des rois", un pouvoir lui permettant d'extraire des armes et des outils du corps d'autre personne. Il est alors pressé pour entrer dans un groupe de résistance.
Intéressant point de départ même si certaines contrastent sévèrement avec le ton sérieux adopté par la série. La réalisation est correcte et les effets visuels sont plutôt réussit, à voir...
Kakeru est un jeune garçon qui a la particularité d'être plus passionné par les mystères que par les B-Daman, de petites figurines capable de lancer des billes. Mais voila qu'un jour il fait l'acquisition d'un B-Daman un peu particulier qui lui permet d'accéder au mystérieux Cross Fight, un tournoi secret légendaire. Le mystère ne fait que s'épaissir.
B-Daman est une gamme de figurines produites par Takara-Tomy, ce qui fait que l'un des objectif de cet anime est de les promouvoir. Pour le reste je pense que la série tient toutes les promesses de ce genre d'animes (un garçon sympathique mais un peu nounouille, un rival hautain, des combats de billes à foison en perspective, etc...) juste que je ne suis clairement plus dans la tranche d'âge qui joue aux billes justement.
Depuis 14 l'humanité qui a suffisamment progressé pour vivre dans des colonies spatiales est en proie à des attaques aussi violentes qu'inopinées de la part d'un ennemi inconnu. Flit Asuno est le témoin d'une de ces attaques et reçoit de sa mère mourante les plans d'un Mobile Suit légendaire : le Gundam. Quelques années plus tard, l'ennemi inconnu remet ça mais cette fois-ci Flit est, plus ou moins, avec son Gundam construit avec l'aide de l'armée.
De toute la longue et glorieuse histoire des séries Gundam, il me semble que celle-ci est de loin la plus enfantine de toute, en tout cas par son design. La mise en scène tend à nous rappeler de temps à autres qu'on est dans une série sérieuse mais vraiment le chara-deisgn fait vraiment passer à ces séries mal fagotées de la Sunrise mettant en scène un gamin seul capable de contrôler un robot géant sorti de nulle part.
Un jour notre protagoniste reçoit de son père, qui voyage aux quatre coins du monde, un cube noir particulièrement lourd. Quelle n'est pas sa surprise quand le cube se transforme en jeune fille, plutôt farouche et complètement nue. Fear, comme elle se prénomme, nous annonce qu'elle est maudite et qu'elle est venue dans cette ville pour trouver un remède. Commence alors une nouvelle vie mouvementée pour nos deux jeunes héros.
Bizarrement j'ai des relents de Denpa onna to seishun otoko (probablement à cause de la couleur de cheveux similaire des héroïnes) qui m'empêchent d'apprécier pleinement cette série j'ai l'impression. En tout cas Fear n'y va pas de main morte en détruisant allègrement la maison du protagoniste alors qu'elle pensait bien faire.
Lucky Star, Yuru Yuri, Azumanga Daioh, les animes "tranche de vie" ont la côté ces dernières années mais vous remarquerez que c'est toujours un cast exclusivement féminin qui joue dans ce genre d'animes. Kimi to boku nous propose également de suivre la vie plus ou moins banale de quelques lycéens mais décidé cette fois de n'avoir que des garçons (et sans connotation homosexuelles en plus !).
Presque un gender bender du genre, le premier épisode pars sur un ton particulièrement lent, un peu trop selon moi. J'espère que, pour le bien de la série, les épisodes suivants soient un peu plus dynamiques que celui-là.
Qu'est-ce que je disais à propos des animes "tranche de vie" entièrement féminin ? Et bien en voici un autre fraichement sorti des planches à dessins.
Pas grand chose à dire sur cette série, Fu une lycéenne tout fraîche retourne dans la ville natale de son père, photographe de profession, et qui est décédé. Pas particulièrement dramatique ou comique, je ne sais pas ce que va donner cette série.
Pour bien aborder cette série, il faut vous expliquer un peu la notion de Karuta , le karuta regroupe tout les jeux de cartes traditionnels japonais comme le hanafuda ou encore les 100 poètes. Dans ce dernier jeu les cartes comportent la fin d'un vers tiré de poèmes écrits par 100 des plus grand poètes japonais; un lecteur lit la première partie du vers et les joueurs doivent s'emparer le plus rapidement de la carte correspondant à la fin du vers.
Chihaya vient d'entrer au lycée, néanmoins une bonne partie du récit est racontée sous forme de flash-back du temps de l'école primaire où Chihaya se lie d'amitié avec un garçon ostracisé par le reste de la classe et dont la passion est le karuta.
Dans un Japon situé après la seconde guerre mondiale (bien que complètement anachronique) nous suivons les enquêtes de Shinjuurou accompagné par Inaga qui a la capacité à obligé une personne à répondre à une et une seule question.
Une série à l'ambiance un peu étrange mais qui ne m'a pas vraiment convaincu.
Généralement les adaptations d'eroge ne sont pas terribles, il semble que cet anime ne fera pas plus exception...
Dans un lycée où les classes font entre 300 et 500 élèves (!), la participation à un art martial est obligatoire et l'on règle les différent en livrant bataille avec des répliques d'armes qui ne tuent-pas-mais-très-mal-quand-même (...). Aujourd'hui la classe des prolétaires (F) fait face à la classe des aristocrates (S) pour la suprématie. Les premiers, moins nombreux, font confiance à leur grand stratège et quelques combattants de grande valeur mais dans les rangs se trouvent une adversaire de taille briguant le titre de "fille la plus puissante de la planète" et pour qui notre ami stratège brûle une passion sans borne.
Une quantité beaucoup trop importante de personnages, à forte poitrine pour la plupart, improbables et un aspect stratégie de bas étage, cet anime n'est définitivement pas les héros de la galaxie .
Si je vous parles d'un lycée où tout les élèves pratiquent un art de combat vous allez sûrement me dire "attends c'était pas l'anime d'avant ça ?" et bien non je parle bien d'ici d'un autre anime.
Ravagé par la guerre, la planète bleue est devenue inhospitalière pour les hommes sauf dans les quelques cités célestes où se rassemble ce qu'il reste de l'humanité. Cela n'a pourtant pas amoindries les ardeurs guerrières des hommes à l'image des écoles où les étudiants pratiquent tous des arts martiaux et sont même plutôt bons à cela, sauf notre héros au look "plus gay tu meurs".
Un cast encore plus bariolé et improbable que l'anime exposé précédemment, et des filles avec seins plus gros que leur tête, je me vois dans l'obligation de faire l'impasse là-dessus.
7 réponses - il y a plus de 12 ans
La saison été 2011 s'achève aussi c'est l'heure de mon classement personnel des séries que j'ai regardées jusqu'au bout.
Néanmoins commençons tout d'abord par une mention honorable, en effet cette série n'étant pas terminée et se prolongeant sur automne 2011 :
On nous avait promis de jeunes chanteuses, danseuses pleines de charme et bonne humeur et c'est ce que l'on a obtenu, voire un petit peu plus.
On vit la vie au quotidien de nos jeunes starlettes, l'épisode se focalisant sur l'une d'entre elles. Tantôt mignonne, tantôt pétillante et tantôt chipie, elles vous en feront voir de toutes les couleurs.
Et maintenant les séries terminées :
Je continue de regarder cette série dans l'espoir de pouvoir tirer un sens à cette dernière mais pour le moment je suis dans l'échec total.
Les très courts épisodes sont monotones au possible mais surtout je ne trouve pas où est la comédie dans tout cela. Là où l'on s'attend à trouver un chute ou une morale à la fin de l'épisode, ne reste qu'un cheveu sur la soupe...
Et pour enfoncer le clou, voila que j'apprends que cette série est automatiquement reconduite pour une saison deux, ça me fout un peu les boules je dois dire...
Et bien quel ennui profond et quel manque d'originalité ce fut ! Un comble pourtant au vu de la distribution impressionnante des comédiennes de doublage.
Comme quoi dépenser tout l'argent pour embaucher des voix célèbres, ça ne suffit pas à produire un succès. Je crois qu'il aurait mieux valu en mettre un peu beaucoup plus du côté de la réalisation...
La dernière série en date de la Gainax ne restera, hélas, pas dans les mémoires. Autant la mise en scène et un travail important sur les couleurs donnent une atmosphère très particulière à la série, autant cette dernière souffre d'une histoire qui n'avance pas du tout et d'un rythme particulièrement cassé.
En effet la structure narrative forme des histoires auto-conclusives autour d'un seul livre-fantôme, mais là où certaines histoires prennent plusieurs épisodes, d'autres ne durent qu'à peine la moitié d'un... Le plus gênant est la non-avancée du fil rouge de l'histoire, ça n'aurait pas été grave si la série avait pris le tournant de ne pas trop s'en soucier mais force est de constater qu'en plusieurs endroits nous sommes taquinés sans pour autant entrer dans les détails.
Reste les personnages. Hugh est assez plaisant à regarder, très gentleman comme il se dot, en revanche Dalian pourra énerver certains surtout avec son attitude lunatique dès qu'il s'agit de livres ou de sucreries.
Après le premier épisode j'avais placé de forts espoirs en cet anime, l'espoir d'avoir une critique sur la société japonaise moderne à travers ses personnages jeunes et appartenant à cette frange spécifique que sont les NEET. Force est de constater que ce n'était pas l'objectif de la série.
Ici on suit plus le quotidien d'un groupe de jeunes japonais un peu en marge sur plus ou moins un fond d'enquêtes (suivant les épisodes). Je me suis un peu ennuyé par moment, et par d'autres la tension montant crescendo faisait son effet. Oh et je ne me lasse pas de la voix d'Alice.
Que ce soit côté ecchi , côté comédie ou côté personnages, R-15 se distingue en étant particulièrement peu original. Ce qui n'est pas vraiment un compliment considérant le sujet de départ : suivre le quotidien de notre jeune génie du roman pornographique !
Affublé d'un graphisme correct sans plus et d'une censure particulièrement envahissante, la série détend mais ne laisse pas un souvenir impérissable. Ne reste que Fukune-chan, qui est la mignonne incarnée, pour sauver le navire.
Cette dystopie qui partait sur les chapeaux de roues c'est malheureusement essoufflée sur la fin. Dommage car je trouvais le postulat de départ intéressant, de même que ce triangle amoureux mâle-mâle-femelle surprenant et bienvenu.
Malheureusement les seulement douze épisodes alloués à la série l'ont obligé à précipiter la fin et jeter un deux ex machina sorti de derrière les fagots...
L'oscar de l'actrice la plus non-intentionnellement drôle revenant à Safu pour sa prestation dans les deux premiers épisodes.
Certains animes brillent plus par leur atmosphère que leur histoire, néanmoins construire une atmosphère nécessite généralement pas mal de temps (épisode) pour ce faire. Ikoku Meiro no Croisée est typiquement une victime de cette tendance à ne faire que des séries de 12 épisodes au lieu de 26 auparavant.
De fait autant les premiers épisodes de cette séries se déroulent un peu lentement (sans pour autant devenir barbant) autant les derniers passent la vitesse supérieure et nous abondent d'information sur le passé des deux protagonistes Claude et Yune.
Autant l'histoire de la sœur de Yune vous tirera probablement une larme autant j'aurai apprécié que ce soit distillé plus subtilement et pas tout balancé d'un coup... Et comme d'habitude, rien n'est résolu et la série nous abandonne au moment où les développements allaient se profiler. Malgré tout cette série restera un souvenir plaisant, notamment grâce à sa plastique sans faille.
On nous avait promis du gore, il a mit un peu de temps à venir mais on a bien eu du gore (culminant avec le dernier épisode), finalement c'est bien la première fois où j'ai trouvé les bandes de censure la bienvenue Et comme Ikoku Meiro no Croisée, la série se termine au moment où tout le monde veut connaître la suite...
Certains ont probablement été assez décontenancés avec les premiers épisodes d'une lenteur (voir d'un gnan-gnan) assez inhabituel pour une licence comme Blood ainsi que la présence de séquences de combat sans but particulier. Cet état de fait trouve son explication à la fin de la série mais ne donne pas la réponse à la question principale : pourquoi toute cette mascarade ?
Des fois une bonne comédie romantique qui prend pas trop la tête c'est juste ce qu'il faut pour décompresser le soir après le boulot.
L'histoire se développe plus ou moins mais c'est surtout la galerie de personnages qui font vivre la série à travers leurs travers et leurs lubies. Vivement une autre saison !
Petit moins cependant sur le dernier épisode qui bizarrement ne faisait pas du tout dernier épisode...
Une belle réussite pour cette petite production qui a monté en puissance au fil des épisodes de manière assez spectaculaire.
En effet si faire rigoler le spectateur est le but premier de toute comédie, le réel achèvement c'est d'avoir des scènes qui marqueront à jamais le spectateur et Yuru Yuri en possèdent quelques unes en particulier la fameuse scène du baiser forcé entre Chinatsu et Akari.
Petite déception quand même car la sœur d'Akari n'a pas fait d'apparition alors que je l'espérais hautement mais bon la série compense avec d'autres bons moments
En regardant mes premières impressions sur cette série, je me rend compte que je fus plutôt sévère à l'époque car finalement ce fut plutôt un bon moment. J'aurai dû d'ailleurs porter un peu plus d'attention aux premiers épisodes, je pense que de toutes les séries que j'ai vu c'est celle qui mériteraient le plus un re-visionnage.
L'anime alterne assez bien les passages comiques et dramatiques, et si le ton est parfois sombre le graphisme assez léché permet d'apprécier la série en toutes circonstances. De plus la série réussit le coup de plaire aussi bien aux deux sexes, les garçons avec sa palette de filles mignonnes mais aussi les filles avec ses protagonistes masculins qui sont tous des bishonnen en puissance !
En outre c'est la seule série que j'ai vue jusqu'à présent qui a su gérer sa censure correctement, à vrai dire je comprends même pas pourquoi les autres séries ne font pas de même plutôt que de rendre les trois quart de l'écran blanc dès qu'une petite culotte surgit à l'écran...
J'ai éprouvé un grand plaisir en regardant cette série, d'une part parce que les dessins, les couleurs et mêmes les textures sont particulièrement magnifiques. L'animation en pâtit un peu mais c'est loin d'être dramatique au contraire !
D'autre part, ceux qui ont vu cet anime savent qu'il s'accompagne d'une forte controverse. Faisons simple : des écolières en short moulant ou en maillot de bain saupoudrées de blagues tendancieuses... je pense que vous avez compris. Néanmoins s'il est vrai que l'anime s'acquitte d'un certain "quota" de fanservice, il y a plus à tirer de cet anime. J'ai particulièrement apprécié le fait que la série présente de manière assez fine des personnages mal dans leur peau (chacun et chacune avec ses raisons) et les voir se reconstruire petit à petit à travers un sport collectif (ici le basket).
Le vainqueur sans conteste de cette saison c'est bien sûr Usagi drop.
Si vous n'avez pas fondu face à la petite Rin, peut-être vous êtes vous reconnu dans le rôle de Daikichi ou encore le quotidien de cette famille pas comme les autres.
Servie par un graphisme épuré mais accrocheur et une mise en scène parfaite, cet anime ne vous laissera pas indifférent. La question étant maintenant de savoir s'ils vont adapter la seconde partie du manga.
2 réponses - il y a plus de 12 ans
Premières impressions sur Dantalian no shoka
Hugh est un ancien pilote de chasse qui revient au manoir de son grand-père après que ce dernier ait été assassiné par des voleurs. Le grand-père en question était un passionné de livres et possédait une bibliothèque imposante, avec certains tomes maléfiques disait-on. Quelle n'est pas la surprise de Hugh (en réalité pas très surpris en fait) de constater que les rumeurs semblent fondées lorsqu'il fait la connaissance de Dentalian, une jeune fille étrange qui vit au manoir entourée des livres.
Il s'avère que le grand-père ne fut pas assassiné par des voleurs mais par son rival qui voulait s'approprier un livre qui n'aurait pas dû exister, un "livre fantôme". Ce livre s'avère posséder des pouvoirs magiques qui échappent au contrôle des non-initiés. Hugh et Dantalian parviennent néanmoins à sceller le fameux livre devenu hors de contrôle dans la Bibliothèque Mystique de Dantalian dont la jeune fille fait office de porte et dont Hugh en possède la clé.
Un peu confus de prime abord, cet anime installe une bonne ambiance sombre lorsque les pouvoirs des livres fantômes se déchainent. Néanmoins ce premier épisode ne définit par clairement les orientations que va prendre l'histoire néanmoins avec GAINAX aux commandes on peut s'attendre à des développements intéressants.
Impression : intéressé. Un travail graphique intéressant est fournit pour cet anime qui promet beaucoup, affaire à suivre.
Avec ceci se termine, normalement, mes courtes présentation sur tous les nouveaux animes de la saison été 2011. J'espère vous avoir aidé à vous décider sur quoi voir ou ne pas voir.
0 réponses - il y a plus de 12 ans
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