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C'est la rentrée scolaire au Japon et des animes à la télévision
De la saison précédente , seule Phi Brain a droit à une deuxième saison, dans quel labyrinthe va encore ce fourrer ce cher Kaito ? Marika Kato et ses pirates de Moretsu Pirates continuent leurs aventures dans le vide l'espace. De son côté Gon et ses amis poursuivent leur aventures en tant que Hunter , enfin sauf Killua puisqu'il a échoué à l'examen...
Par ailleurs c'est le grand retour de Fate/Zero pour le bonheur des fans de TYPE-MOON, la quatrième guerre sainte se poursuit dans le sang des habitants de la ville de Fuyuki, qui remportera le saint Graal ? Comme l'année dernière, le site de vidéo nippon Nico Nico Douga propose gratuitement le visionnage de l'épisode avec des sous-titres français, c'est par ici .
Vous vous rappelez Kimi to boku , cette comédie lycéenne que je pourrais qualifier de barbante et entrecoupée d'images de chat ? Et bien les producteurs ont tellement aimé qu'une seconde saison est diffusée en ce moment. Des fois la vie est vraiment injuste sur qui a droit à un deuxième service et qui n'y a pas droit...
Kora wa zombi desu ka et son zombi magical girl/boy (oui) sont de retour pour une seconde saison OF THE DEAD . Humour et dérision sont toujours au programme et la réalisation toujours au top. Ça a du bon la vie !
Les diablement mignonnes divinités de Cthulu reviennent dans cette fois-ci une série en bon et du forme Haiyoru! Nyaruko-san . Apparemment les divinités du monde de Lovecraft sont en fait des extra-terrestres (tient je me demande si c'est là que Michael Bay a trouvé son idée pour le prochain film des tortues ninja ?) qui envahissent la Terre essentiellement parce que nous avons les meilleurs loisirs de toutes la galaxie. Nyaruko est envoyé sur place pour stopper des contrebandiers et rencontre alors Mahiro. Ledit Mahiro ne compte pas se laisser abuser par l'excentrique divinité et armé de sa fourchette même pas en argent punit inlassablement les déviances de notre policière de l'espace.
Honoka et son bébé des enfers, Mao, rempilent pour une seconde saison de Chibi☆Devi ! Cette description est aussi courte que sont les épisodes.
Le grand retour de Leiji Matsumoto qui peine quelque peu à sortir de ses carcans. En clair au lieu d'être dans l'espace la scène se situe dans un désert et la chose à trouver est une baleine des sables (aucun rapport avec GTO).
Difficile de se départir de l'idée que chaque personnage ressemble par son design à un autre des précédente œuvres de Matsumoto et occupe quasiment le même rôle, sauf Gido/Harlock qui se retrouve du côté des méchants mais bon il porte un masque alors la rédemption est encore possible (Matsumoto a du piquer l'idée à Tomino probablement).
Une série ciblant les plus jeunes mais qui pourra trouver un intérêt auprès du public occidental puisque l'anime se propose de nous conter les diverses mythes et légendes du Japon ancien au travers de petites scénettes animées.
Deux frères se promettent de devenir astronautes après avoir vu un ovni passer près d'eux. Des années plus tard, le plus jeune réalise ce rêve tandis que l'aîné est designer en voiture...
Avec un synopsis pareil il allait falloir frapper fort pour me brancher sur cette série et c'est exactement ce qu'à fait ce premier épisode. Quand même introduire la série sur le coup de boule de Zidane en 2006 ça ne s'était pas vu jusqu'à présent ! Résolument bien soutenu par un humour fin, c'est avec plaisir que je vais suivre les aventures du frère aîné qui se retrouve avoir la chance de devenir astronaute à son tour et ainsi tenir leur promesse.
Le coup du nouvel élève transféré arrivant dans son nouveau lycée pour démarrer l'histoire c'est un classique du genre mais lorsque l'anime commence par la séparation dans l'ancien lycée cela attire ma curiosité !
Natsumi, Saki, Yuka et Rinko sont des amies d'enfance qui vive dans un village de campagne. Saki va bientôt déménager mais n'a rien dit à personne et commence à se distancer des autres ce qui génère de vive tension auprès de Natsumi qui déclare leur "amitié rompue". Dans un effort pour arranger la situation Yuka et Rinko organise une réunion autour d'une pierre magique qui aurait la possibilité de réaliser le rêve de quatre amis, c'est alors que l'improbable se produit...
Après Morita-san et Recorder to Randosell, voilà Shiba Inuko-san qui apparemment est canonique avec cet univers. Si je faisais des recherches peut-être que je découvrirais qu'elles sont du même auteur ou quelque chose comme ça mais honnêtement j'ai pas le courage. Je veux dire y'a une lycéenne qui a l'apparence d'un chien et personne ne semble s'en soucier... Autant avec la précédente et son mec de 20 piges sur les bancs de l'école primaire c'était déjà pas crédible mais là... ma santé mentale n'y tiendra pas...
Dans la série des auteurs qui ne se renouvellent pas, je joue Masami Kuramada l'auteur de Saint Seiya. Enfin j'ai presque menti, au lieu de faire une enième série/spin-off sur le passé de la série d'origine, cette fois-ci c'est la première série/spin-off a se placer après les évènements du chapitre Hadès. Et non je vous rassure ce n'est pas le (prétendu) chapitre Tenkai avec Zeus, ici c'est un truc avec la planète Mars ou quelque chose comme ça. Quelque pensées sur le tas :
Hum bref je crois que ça va être le plus grand flop de cette année.
On connaissait l'auteur de cette série, Masakazu Katsura, pour ces précédentes comédies romantiques très panpan cucul. Avec ce titre, oublié les minauderies ça cogne sec, ça cogne dur. Jin est un enfant des rues, vivant dans un bidonville avec son grand-père, il est très fort physiquement parlant mais ne s'en rend pas compte. Il est ami avec Kouga, l'héritier de la puissante famille Amagi, avec qui il partage une admiration pour les justiciers. Malheureusement tout bascule pour Jin lorsque son grand-père se fait tuer par un être inhumain tandis que la famille de Kouga lui refuse le droit de voir à nouveau son clochard d'ami.
Ce premier épisode est très riche tout en dévoilant d'emblée le passé qui va torturer nos héros pendant de longues années. La symbolique des justiciers est également très forte, pas étonnant lorsque l'on sait que Katsura est un grand fan de Batman et que ZET (Jin) est modelé après lui.
Un spin-off de Naruto mettant en scène la fameuse équipe de Gai-sensei à savoir Neji, Tenten et bien sûr Rock Lee dans situations comiques. Le principal défaut que je vois à cette série est que comme dans la série originale, ces fillers ne peuvent pas se séparer du héros titulaire de la série à savoir Naruto qui du coup occupe un tiers du temps d'écran...
Tôru est un jeune fille particulièrement intéressé par l'occulte et qui, lors d'une séance de spiritisme invoque par erreur une sorcière noire. Cette dernière entreprends alors d'éduquer Tôru à devenir une sorcière elle aussi, contre sa volonté, afin qu'elle puisse lutter contre les émanations psychiques résultant des petites agressions du quotidien.
Court mais avec la volonté de traiter de sujets sérieux, ce laisse regarder.
Dans un lycée atypique une partie du temps de classe est dédié au débat. Débat sur quoi me direz vous ? Certainement pas politique ou philosophique non des choses bien plus importante comme comment s'appelle la boule formé par le poignet. Bref bienvenue dans l'humour non-sensique comme savent le faire les nippons.
Panda fils se fait rabrouer par sa mère qui le presse de trouver un travail, pas évident lorsqu'on à une flemme de... panda. C'est alors qu'il fait la rencontre d'un ours polaire tenant un café ainsi que d'un pingouin faisant office de pilier de bar. Hilarité s'ensuit... ou pas ?
Encore une comédie/tranche de vie qui prend bien tout son temps pour étaler ses blagues dans cet univers qui ne sait pas se décider si les animaux font partie de la société humaine ou pas.
Lupin the third (plus connu en France sous le nom Edgar de la Cambriole ) est une série mythique des années 70-80 mettant en scène Lupin cambrioleur de génie et joli-cœur indécrotable surtout en présence de la sulfureuse voleuse Mine Fujiko. Ladite Fujiko est d'ailleurs un sexe-symbole très fort de la pop-culture japonaise. Assez fort en tout cas pour donner naissance à cette série qui va donc se concentrer sur la voleuse plus que sur le cambrioleur.
La première chose qui choque en premier lieu est le style graphique choisit, à mille année lumière de ce qui se fait habituellement des productions nipponnes et qui du coup ressemble plutôt à une production européenne en particulier les films de Sylvain Chomet . Ensuite si Monkey Punch savait se montrer irrévérencieux ici on ne se cache plus de rien et les femmes passent leur temps les seins à l'air (et non-censuré !) quand ce n'est pas le bas, y compris l'héroïne principale.
Medaka a tout pour elle, elle est glorieusement belle, elle est très forte physiquement et intellectuellement et en plus est complètement désintéressé d'elle-même. Cela l'amène à prendre les rênes du conseil des élèves qui cette année va faire tout son possible pour venir en aide aux élèves en détresse, quel que soit la requête il suffit qu'elle atterrisse dans la Medaka Box . Zenkichi, son ami d'enfance, de son côté ne sait pas s'il doit l'aimer ou être constamment irrité par l'attitude puérilement borné de Medaka qui ne lâche jamais l'affaire.
Je ne sais pas ce que va devenir cette série mais l'attitude très "je suis parfaite et meilleure que vous" de l'héroïne me court sur le haricot. Je dois noter aussi que c'est l'un des rares cas où le rôle de la tsundere est tenu par protagoniste masculin.
Oda Nobunaga et divers illustres personnages de l'ère Sengoku se retrouvent téléportés dans le Japon présent. Si Oda compte revenir à son époque il lui faudra réunir tous ces voyageurs du temps. Oh j'ai oublié de précisé que tout ce petit monde est de sexe féminin et bien roulé désormais.
Pas grand chose à attendre de cette série dont la simplicité scénaristique semble au même niveau que la simplicité graphique.
Rea Sanka est la riche héritière de la famille Sanka qui vit une vie confinée par son obsessif de père et voudrait se libérer de ses chaînes. Les choses sont plus funky du côté de Chihiro qui adore les zombies et rêve d'une relation amoureuse avec une fille-zombie. Lorsque le chat qu'il avait adopté se fait écraser, Chihiro décide d'étudier un vieux manuscrit familial pour ressusciter le pauvre chat. C'est alors qu'il rencontre Rea venue littéralement crier son désespoir dans un endroit qu'elle pensait vide de toute âme...
Voila une entrée en matière assez originale qui se conclut par cliffhanger terrible qui pousse à aller voir la suite de cette série.
Cette série nous propose de suivre les (més)aventures au quotidien de 5 amis au lycée (2 garçons et 3 filles) chacun ayant son petit caractère et ses défauts. Ceux qui auront vu Lucky Star ne seront pas dépaysés d'autant que le design de l'héroïne principale est quasiment une copie conforme de celui de Konata. A propos de Lucky Star, la doubleuse de Tsukasa joue également un personnage ici quasiment identique.
Bref une bonne dynamique et un design ultra-moé.
Une série de courts mettant en scène Yurume, une fille de 18 ans venue de la province pour passer des examens d'entrée à l'université... du moins si ses voisins de dortoir lui laissent la possibilité d'étudier. Avec un peu d'imagination on pourrait presque croire à un remake de Maison Ikkoku (Juliette je t'aimes)... ok avec BEAUCOUP d'imagination. A propos le 3D c'est juste un jeu de mot, la série est en bonne 2D des familles.
Un professeur intègre un collège pour filles un peu particulier. En effet toutes les donzelles sont en réalité des fusils d'assauts venant de tous les pays.
...
J'ai rien compris de comment ce concept fonctionne mais en tout cas ces filles sont capable de faire apparaître leur contrepartie mécanique et faire feu à tout bout de champs. Bref, jeu de mots d'armurier et fétichisme militaire abondent ici.
Cette année-là 5 collégiens avaient fait tellement forte impression qu'on les avait appelés la "génération des miracles". Aujourd'hui cette génération est au lycée mais ce que peu savent c'est qu'il y avait un sixième joueur fantôme. Ledit joueur c'est Kuroko, il ne brille ni par son adresse ni par son physique mais sa capacité à s'effacer du jeu et à faire des passes décisives sont impressionnantes. Cependant Kuroko n'étant qu'une ombre il a besoin d'une lumière pour révéler tout son potentiel et cette lumière apparaît sous la forme de Taiga, un lycéen élevé aux États-Unis et qui est décidé à tailler en pièce tout ses adversaires.
Je suis très loin d'être un fan de mangas ou d'animes de sports (sauf s'ils ne parlent que peu de sport) néanmoins je dois dire que l'entrée en matière de celui-ci est plutôt intéressant. A noter que le manga est édité en France chez Kazé.
Mikoto Urabe est pleine de surprise derrière sa touffe de cheveux. Ayant fait une entrée remarquée dans son nouveau lycée en se roulant littéralement par terre de rire, elle se retrouve catégorisé "la zarbie". Néanmoins les étrangetés continuent lorsque sa salive, sucrée, semble être hautement addictive comme l'apprend à ses dépend Akira, un jeune garçon qui a goûté au fruit défendu.
Voila une série qui a décidé de ne pas faire les choses comme les autres, en particulier le fait de mettre en couple les deux protagonistes dès le premier épisode au lieu d'être le couronnement de la fin de série habituellement.
Spin-off de la série Saki qui voyait évoluer des joueuses de Mah-Jong lesbiennes (ce détail est important pour l'audimat), ce spin-off repart sur le même principe en présentant des amies d'enfance de Nodoka (l'une des protagonistes de Saki) qui après avoir vu ses exploits à la télé décident de reformer un groupe de joueuse pour l'affronter lors du prochain tournoi inter-scolaire national, et cela en toute amitié.
Mais pour moi la question reste : est-ce qu'ils arriveront à faire encore pire que la ridicule fin mal-faggotée de la série d'origine ?
Les japonais adorent les histoires de fantômes, c'est comme une seconde nature chez eux de se faire peur ainsi. Cependant quand on peut en voir toute la journée comme Teiichi on finit par s'y habituer... ou pas vu comment le fantôme en question, prénommé Yuuko, est malicieuse au possible. Mais ce n'est pas tout car elle aussi amnésique et sa mort reste un mystère que ce doit de découvrir le club des détectives du lycée.
Jonah est un enfant-soldat qui voue une haine pour les armes et leurs vendeurs. C'est pourquoi il décide de s'acoquiner avec Koko Hekmatyar, une jeune vendeuse d'arme aussi barrée que son groupe de mercenaires/gardes du corps. Infiltrer des armes et éliminer des rivaux fait partie de son quotidien désormais mais il pense pouvoir s'intégrer dans cette nouvelle "famille".
Amateurs de Black Lagoon & co ne passez pas à côté de cette série qui mélange guérilla et insanité dans un monde des plus noir et en même temps des plus coloré. En plus la série est simulcastée sur la chaîne Dailymotion de Dybex .
En 2040, la réalité augmentée est devenue vraiment une réalité avec l'avancée de la technologie de neuro-synchronisation. Pour autant les brimades n'ont pas disparu comme le constate durement Haruyuki, notre protagoniste très petit et très gros. Seule la présence de ses amis Chiuri et Takumu l'empêche de se réfugier dans le monde virtuel néanmoins chaque jour qui passe rend l'idée plus tentante, du moins jusqu'à ce qu'il fasse la rencontre de la présidente du conseil des élèves "Princesse Noire-Neige" qui lui procure un logiciel secret, le Brain Burst, qui lui permet d'accéder au "monde accéléré".
La série est simulcastée sur Wakanim .
Rick a de la chance, il sait faire du merveilleux pain et côtoie chaque jour trois jolies jeunes filles qui l'aide à tenir la boulangerie. Et en plus ils vivent dans un monde type fantasy avec elfes et compagnie. Vraiment beaucoup trop de chances, j'en suis jaloux. Cependant une violente tempête s'annonce sur leur tranquille île de Wyndaria, quel mauvais présage va leur apporter le vent déchaîné ?
Par une nuit d'orage un petit cabri se réfugie dans une maison abandonnée bientôt rejoint par une seconde personne. Bien qu'ils ne puissent pas voir leurs visages, ils se trouvent d'emblée beaucoup de points communs et décident de se retrouver le lendemain pour s'amuser. Seulement voila il s'avère que le second interlocuteur est en réalité un loup ! Comment les deux vont-ils arriver à continuer leur amitié malgré l'instinct et leur société respectives ?
L'équipe junior des Momotaro Predators c'est taillé un nom lors du précédent tournoi de football mais ses membres se sont dispersés pour différentes raisons et seul reste Shou qui jusque là astiquait les bancs de touches. Alors qu'il apprend que le club va être dissout il fait la connaissance d'Erika, une joueuse très douée mais qui se heurte à un machisme certain qui l'empêche d'intégrer une équipe. Quelque peu désappointé, leur rencontre inopinée avec une joueuse professionnelle va leur redonner courage.
Une série assez simple qui transpire la passion et les bons sentiments. Je crois que c'est la formule qui marche le mieux pour les animes de sport après tout.
Yuki a un problème, lorsqu'il est en stress son visage se déforme attirant d'autant plus l'attention et augmentant son stress. Cela ne va pas s'arranger lorsqu'il fait la connaissance de Haru, auto-proclamé extra-terrestre, excentrique au possible et apparemment capable de contrôler temporairement les gens s'il les asperge avec son pistolet à eau.
Couleur flashy et ambiance psychédélique, pas de doutes nous sommes de nouveau dans une production sans queue ni tête (du moins en apparence) et dont il faudra s'accrocher (ou être amateur) pour la suivre.
La série est simulcastée chez Wakanim .
Kaoru a un problème, lorsqu'il est en stress la nausée le prend. Cependant il a découvert qu'être sur le toit du lycée l'apaise dans ces situations. C'est alors qu'il fait la connaissance de Sentarô un voyou de sa classe qui va plus ou moins l'aider à récupérer les clés dudit toit monopolisés par des 3 ème années. Sur ces entre-faits l'éternelle souriante Ritsuko embarque les deux jeunes à la boutique de disque tenue par son père. Kaoru est lui-même un pianiste classique tandis que Sentarô est batteur et ne jure que par le jazz.
Après le rock (Beck, K-ON), la pop (Idolm@ster, AKB0048) ou encore le death metal (DMC) c'est cette fois-ci au jazz d'avoir droit à sa bande de jeune mélomanes. Par ailleurs la série se situant dans le milieu des années 60, cela légitime plus cet engouement de la jeunesse tout en apportant un certain côté rétro dans les décors ou les costumes des personnages.
La série est disponible gratuitement sur la page Dailymotion de Dybex .
Houtarô espérait ne rien faire de sa fraîche vie lycéenne, sa grande sœur a décidé du contraire en le forçant à intégrer son ancien club sous peine de répercussions physiques, étant une spécialiste en aïkido et clé de bras (les filles de nos jours j'vous jure...). Cet adepte de l'attitude molle va néanmoins rencontrer sa Némésis en la personne de Eru, une jeune fille à la curiosité insatiable. Adieu paresse et monotonie...
Bien qu'assez différent, je ne peux m'empêcher de faire la comparaison avec la mélancolie de Suzumiya Haruhi dont l'accroche est assez similaire bien qu'ici "Kyon" soit beaucoup plus calculateur et feignant tandis que "Haruhi" est moins excitée et pénible. On notera d'ailleurs que les deux séries partagent une plastique et une qualité technique indéniablement impressionnante.
Dans un futur proche ou lointain, le divertissement a été bannit de la société humaine. Partout ? Non car un groupe de jeune fille a repris le flambeau du groupe AKB48 et vient apporter chansons et baume au cœur à la population écrasée par le travail.
Ma première réaction lorsque j'ai lu ce synopsis : Idolm@ster IN SPAAAAAAAAAACE ! Même si l'on peut sentir que la réalisation c'est donnée du mal, certaines choses sonnent faux pour nous faire croire à ces starlettes de l'espace qui luttent contre les fachos anti-divertissement. A noter que le groupe des "apprenties" est doublé par des vraies membres de l'AKB48 alors que le groupe des "seniors" (qui endossent les vrais noms des AKB48) sont jouées par des stars du doublage comme Yukari Tamura, Mamiko Noto, Yui Horie ou encore Mai Nakahara.
kasabian aime cet article
posté par Aka Guymelef il y a plus de 12 ans , édité par Aka Guymelef il y a plus de 11 ans
Je viens de finir de tout lire, intéressant, même si je pense que j'en regarderais pas un seul...
Pas le temps, je dois d'abord finir Tengen Toppen Guren Lagann ! :-3
Sinon, l'absence d'images pour mettre des couleurs entre les pavés de texte, c'est voulu où c'est par manque de temps ?
Aka Guymelef il y a plus de 11 ans
A l'heure où j'écris ces lignes, je penses n'avoir couvert qu'une bonne moitié des nouvelles séries donc d'autres à venir
Du coup agrémenter d'une image me prend effectivement plus de temps mais c'est surtout que je n'arrives généralement pas à me décider sur laquelle choisir.
Aka Guymelef il y a plus de 11 ans
Soit 37 séries chroniquées ici si j'ai bien compté. Et encore d'après mes tablettes il reste encore quelques séries de cette saison qui ne sont pas encore lancées.
SpiceGuid il y a plus de 11 ans
Mise à jour de l'article avec pas moins de 9 nouvelles séries
SpiceGuid il y a plus de 12 ans , modifié il y a plus de 12 ans
putain
geisha
@Aka
Spoiler (Sélectionnez le texte dans le cadre pointillé pour le faire apparaître)
Si tu en as marres que je spam AG avec des articles illisibles tu peux soutenir mon incarcération sur DVP :
Aka Guymelef il y a plus de 11 ans
putain => shôfu ; escorteuse => geisha
Spoiler (Sélectionnez le texte dans le cadre pointillé pour le faire apparaître)
Je ne vois pas pourquoi tu dis que j'en ai "marres", après tout je fais la même chose avec mes billets sur mon décompilateur 16bits ? Quoi qu'il en soit je n'ai pas accès à la section privée de ton projet (vu que je ne suis plus modérateur sur ce forum).
Sbirematqui il y a plus de 11 ans
Spoiler (Sélectionnez le texte dans le cadre pointillé pour le faire apparaître)
Pourquoi tu pense spammer AG avec des choses hors de propos ? Tu es sur la création de ton ERIC, c'est légitime d'en parler sur le "refuge des créateurs", non ?
*S'en va*
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Sbirematqui il y a plus de 11 ans