Version d'archive
Seul mai(t)re à bord.
Description rapide
La séries des SimCity à donné naissance à divers jeux de gestions avec d'un coté les « SimCity » dans lesquels on construit, gère (et détruit) des villes et de l'autre, les « Sim's » qui permet de gérer un famille lente et de se débarrasser de ses membres quand on en a assez (en leurs demandant de réparer le grille pain pendant la douche, par exemple).
Nous parlerons ici des quatre premiers jeux sortie, c'est à dire :
Mis à part SimCity Classic, les trois autres volets et leurs extensions sont encore payant, mais trouvable pour une bouchée de pain.
Le code source du jeu ayant été rendu libre en 2011 et le jeu disponible depuis sous le nom de Micropolis, il ne vous est plus nécessaire de vous embêter à essayer de faire fonctionner la version originale. Seul les musiques seront sont absentes.
Pour installer la version libre, il vous suffit de vous rendre sur le site du projet Micropolis et de télécharger la version correspondant à votre système d'exploitation :
Si cette solution ne vous conviens pas, il vous reste possible de jouer à la version Super Nintendo de SimCity via un émulateur, la meilleure, selon moi.
Cette version pose deux problèmes, premièrement, l'installateur utilise du code 16 bits, et ne fonctionne donc pas sous les Windows 64 bits, et, sous les versions de Windows supérieures à XP, le jeu plante lors du chargement ou de l'enregistrement d'une partie.
L'installation peut se faire sur un Windows 32 bit et être déployée sur un Windows 64 bits via une archive contenant les fichiers du répertoire d'installation et un fichier .reg pour enregistrer le jeu danse le registre de Windows, reste le problème des crashs.
Pour simplifier, je vous met à disposition une version française patchée, pour l'installer, faites comme suit :
Le jeu utilisant des musiques en MIDI, il est possible de leurs donner un aspect moins casserolesque .
Archive du jeu
Le fichier de .reg permettant d'enregistrer dans le registre une version compressée du jeu est le suivant :
Windows Registry Editor Version 5.00 [HKEY_CURRENT_USER\Software\Maxis] [HKEY_CURRENT_USER\Software\Maxis\SimCity 2000] [HKEY_CURRENT_USER\Software\Maxis\SimCity 2000\Localize] "Language"="FRE" [HKEY_CURRENT_USER\Software\Maxis\SimCity 2000\Options] "Speed"=dword:00000000 "Sound"=dword:00000001 "Music"=dword:00000001 "AutoGoto"=dword:00000001 "AutoBudget"=dword:00000001 "Disasters"=dword:00000000 "AutoSave"=dword:00000000 [HKEY_CURRENT_USER\Software\Maxis\SimCity 2000\Paths] "Home"="C:\\Program Files (x86)\\Maxis\\SimCity 2000" "Graphics"="C:\\Program Files (x86)\\Maxis\\SimCity 2000\\Bitmaps" "Music"="C:\\Program Files (x86)\\Maxis\\SimCity 2000\\Sounds" "Data"="C:\\Program Files (x86)\\Maxis\\SimCity 2000\\Data" "Cities"="C:\\Program Files (x86)\\Maxis\\SimCity 2000\\Cities" "SaveGame"="C:\\Program Files (x86)\\Maxis\\SimCity 2000\\Cities" "TileSets"="C:\\Program Files (x86)\\Maxis\\SimCity 2000\\ScurkArt" "Scenarios"="C:\\Program Files (x86)\\Maxis\\SimCity 2000\\Scenario" [HKEY_CURRENT_USER\Software\Maxis\SimCity 2000\Registration] "Mayor Name"="NomDuMaire" "Company Name"="NomCompagnie" [HKEY_CURRENT_USER\Software\Maxis\SimCity 2000\SCURK] "CycleColors"=dword:00000001 "GridHeight"=dword:00000002 "GridWidth"=dword:00000002 "ShowClipRegion"=dword:00000000 "ShowDrawGrid"=dword:00000000 "SnapToGrid"=dword:00000000 "Sound"=dword:00000001 [HKEY_CURRENT_USER\Software\Maxis\SimCity 2000\Version] "SimCity 2000"=dword:00000100 "SCURK"=dword:00000100 [HKEY_CURRENT_USER\Software\Maxis\SimCity 2000\Windows] "Display"="8 1" "Color Check"=dword:00000000 "Last Color Depth"=dword:00000020 [HKEY_LOCAL_MACHINE\SOFTWARE\Microsoft\Windows\CurrentVersion\App Paths\WinScurk.exe] @="C:\\Program Files (x86)\\Maxis\\SimCity 2000\\WinScurk.exe" "Path"="C:\\Program Files (x86)\\Maxis\\SimCity 2000" [HKEY_LOCAL_MACHINE\SOFTWARE\Microsoft\Windows\CurrentVersion\App Paths\SimCity.exe] "Path"="C:\\Program Files (x86)\\Maxis\\SimCity 2000" @="C:\\Program Files (x86)\\Maxis\\SimCity 2000\\SimCity.exe" [HKEY_LOCAL_MACHINE\SOFTWARE\Maxis\SimCity 2000® Collection CD] [HKEY_LOCAL_MACHINE\SOFTWARE\Maxis\SimCity 2000® Collection CD\1.0] [HKEY_CLASSES_ROOT\SimCity2000.Document.TileSet] @="SimCity 2000 Graphics Set" [HKEY_CLASSES_ROOT\SimCity2000.Document.TileSet\DefaultIcon] @="C:\\Program Files (x86)\\Maxis\\SimCity 2000\\WinScurk.exe,1" [HKEY_CLASSES_ROOT\SimCity2000.Document.TileSet\shell] [HKEY_CLASSES_ROOT\SimCity2000.Document.TileSet\shell\open] [HKEY_CLASSES_ROOT\SimCity2000.Document.TileSet\shell\open\command] @="C:\\Program Files (x86)\\Maxis\\SimCity 2000\\WinScurk.exe %1" [HKEY_CLASSES_ROOT\SimCity2000.Document.Scenario] @="SimCity 2000 Scenario" [HKEY_CLASSES_ROOT\SimCity2000.Document.Scenario\DefaultIcon] @="C:\\Program Files (x86)\\Maxis\\SimCity 2000\\SimCity.exe,2" [HKEY_CLASSES_ROOT\SimCity2000.Document.Scenario\shell] [HKEY_CLASSES_ROOT\SimCity2000.Document.Scenario\shell\open] [HKEY_CLASSES_ROOT\SimCity2000.Document.Scenario\shell\open\command] @="C:\\Program Files (x86)\\Maxis\\SimCity 2000\\SimCity.exe %1" [HKEY_CLASSES_ROOT\SimCity2000.Document.City] @="SimCity 2000 City" [HKEY_CLASSES_ROOT\SimCity2000.Document.City\DefaultIcon] @="C:\\Program Files (x86)\\Maxis\\SimCity 2000\\SimCity.exe,1" [HKEY_CLASSES_ROOT\SimCity2000.Document.City\shell] [HKEY_CLASSES_ROOT\SimCity2000.Document.City\shell\open] [HKEY_CLASSES_ROOT\SimCity2000.Document.City\shell\open\command] @="C:\\Program Files (x86)\\Maxis\\SimCity 2000\\SimCity.exe %1"
Il vous faudra modifier :
Pour le problème de crach un patch existe 1 afin de modifier le fichier « SIMCITY.EXE », lui permettant de fonctionner correctement sur Windows Vista et supérieur, mais uniquement pour la version anglaise dudit fichier.
Comme j'avais du temps à perdre, j'ai testé ce patch et réussi à faire une version patchée entièrement française de la façon suivante :
C:\Program Files (x86)\SimCity2000EN>bspatch SIMCITY.exe SIMCITY_EN_PATCHED.exe SIMCITY.patch
Tout comme SimCity 2000, l'installateur de la version 3000 ne fonctionne pas sous les Windows 64 bits, utilisez un Windows 32 bits pour l'installer, puis, compressez le dossier d'installation du jeu, ensuite copier le fichier compressé sur votre ordinateur et décompressez-le où vous souhaiter installer le jeux.
Une fois ceci fait, créez un raccourci pour y jouer, cliquez-droit dessus et activez la compatibilité en mode « Windows XP ».
Une version GNU/Linux de SimCity 3000 existe, portée par feu Loki Softwares . Cette version datant de 2000, elle utilise d'anciennes librairies logiciels et ne fonctionne plus d'office.
Pour l'installer, vous aurez besoin de :
Montez tout d'abord le CD-ROM ou l'image ISO du jeu dans « /media/cdrom », puis démarrez l'installateur :
# bash ./sc3u_2.0a-multilingual_x86.mojo.run
La fenêtre de l'installateur devrait apparaître, vous permettant de mettre en place le jeu.
A noter que le CD-ROM n'est pas utile pour jouer, de plus cette version ne réclame pas de clef de licence.
Si vous n'avez pas de son, installez le paquet nécessaire à la rétrocompatibilité avec l'ancien système son OSS utilisé par le jeu. Sous les distributions Debian et dérivées (Ubuntu, Mint, Crunshbang, etc…), le paquet se nomme « alse-oss ».
# aptitude install alsa-oss
Afin de pouvoir enregistrer une partie sans démarrer le jeu en tant qu'utilisateur « root », il est conseillé d'ajouter les comptes utilisateurs y jouant au groupe « games » et de modifier les droits sur le dossier du jeu.
Par exemple, si vous avez installé le jeu dans « /opt/simcity3000/ » :
# adduser blabla games # chgrp -R /opt/simcity3000 # chmod -R g+w /opt/simcity3000
Si vous avez du ajouter votre compte utilisateur au groupe « games », il vous faudra vous déconnecter et vous reconnecter.
Installateur
Aucun problème à signaler, l'installateur et le jeu fonctionnent correctement.
SimCity 4 supporte quelques résolutions d'écran (jusqu'au 1600×1200 pixels), mais ne prend en compte que les résolution au format 4:3. Si vous jouez avec un écran au format 16:9 ou 16:10, il est possible d'imposer un résolution spécifique au jeu.
Pour cela, cliquez-droit sur le raccourci du jeu, et, dans l'onglet « Raccourci », ajoutez au champs « Cible » la suite de caractères suivant :
-CustomResolution:enabled -rRESXxRESYxCD -f -intro:off
Avec :
Par exemple, pour jouer en 1920×1200 avec des couleurs 32 bits, ajouter :
-CustomResolution:enabled -r1920x1200x32 -f -intro:off
1 Vous aurez besoin de télécharger bspatch pour patcher le jeu.
9 réponses - il y a plus de 10 ans
For mother Russia !
La séries des Command & Conquer est une suite de jeux de stratégie en temps réel partagé en deux branche, avec, d'un coté la branche « Tiberium », opposant le GDI et le NOD dans un univers plus ou moins futuriste, et de l'autre la branche « Alerte Rouge » se faisant combattre Européens et Soviétiques dans un univers uchronique.
Nous parlerons ici des quatre premiers jeux sortie, c'est à dire :
Mis à part Alerte Rouge 2, les trois premiers volets et leurs extensions peuvent être gratuitement téléchargé.
Le plus ancien et sans doute le plus embêtant à installer, premièrement, l'installation doit se faire avec la version Gold du jeu, l'installateur du jeu original ne fonctionnant que sous DOS, ensuite, l'installateur de cette version Gold ne fonctionne que sur les Windows 32 bits.
Le meilleur moyen est de l'installer sur un ordinateur ou une machine virtuelle disposant d'un Windows de ce type (un Windows 2000 ou XP fera l'affaire)
Une fois le jeu installé, appliquez le patch 1.06c crée par NyerGuds, celui-ci n'est certes pas officiel mais il mettra le jeu à jour et lui permettra sur les Windows les plus récents.
Une fois ceci fait, le jeu devrait fonctionner sans problème, pour le mettre en place sur votre Windows dernier cris (32 ou 64 bits), il vous suffit de compresser le dossier d'installation du jeu, de la faire passer sur votre ordinateur principal par clef USB, réseau local ou autre moyen et de le décompresser au bon endroit.
Gardez ce fichier compressé sous le bras, il vous évitera de refaire cette fastidieuse procédure la prochaine fois.
Le jeu devrait normalement fonctionner d'office une fois installé, mode LAN inclus, cependant voici quelques trucs :
L'installateur propose bien un mode haute résolution, mais après essai les tests n'ont pas été concluants chez moi. Si le mode plein écran en 640×480 ne vous satisfait pas, surtout sur les écrans LCD qui ne donnent pas de très bon résultats en résolutions non natives, vous pouvez jouer en mode fenêtré.
Pour ce faire, allez dans le répertoire d'installation du jeu, et éditez en tant qu'administrateur le fichier « ddraw.ini » et passez la variable « windowed » a « true », puis, enregistrez.
Images CD
Patch
L'astuce est simple, un internaute nommé FunkyFr3sh a créé un installateur qui va extraire les données des différents CD et les installer où il faut.
Une fois démarré et la langue choisie, il vous demandera dans quel lecteur se trouve l'un de CD du jeu d'origine. L'un ou l'autre des CD fonctionne, les images ISO également.
Indiquez le bon lecteur et cliquez sur « Suivant » pour continuer.
La suite est classique avec le choix de répertoire d'installation.
L'écran suivant vous permet de choisir divers options, parmi les plus importantes on retiendra :
Comme indiqué, l'installateur met également en place un pack de cartes supplémentaires.
Si vous avez demandé à installer les extensions, l'installateur vous demandera où leurs CD ou images ISO se situent, un fois choisie, l'extraction des données débute et demande quelques minutes.
Un fois terminé, vous pourrez jouer.
Testé avec succès avec le jeu en français et ses deux extensions. Notez que l'installateur en profite en même temps pour appliquer le dernier patch au jeu (version 3.03)
Le jeu devrait normalement fonctionner d'office une fois installé, mode LAN inclus, cependant voici quelques trucs :
L'astuce est exactement la même que pour Command & Conquer : Conflit du Tiberium.
Si vous rencontrez des problèmes avec le son, exécutez le script BAT « Settings.bat » se trouvant dans le répertoire d'installation, celui vous proposera d'y remédier.
Ce script permet aussi de résoudre d'autres problèmes.
Images CD
Patch
Ces deux épisode se mettent en place de la même façon.
Installer les jeux et leur extensions de la façon standard et patchez-les, une fois ceci fait, cliquez-droit sur les raccourcie permettant d'y jouer et activez la compatibilité en mode « Windows XP ».
Originellement créer pour fonctionner en 640×480 pixels, il est possible de les faire fonctionner en résolution supérieur facilement.
[Video] ScreenWidth=1920 ScreenHeight=1200 StretchMovies=no
Une fois le jeu et son extension installé et patché, remplacez le fichier « Game.exe » se trouvant dans le répertoire d'installation du jeu par fourni plus bas, puis copier les fichiers suivants des CD ou ISO dans le répertoire d'installation.
CD GDI
CD NOD
Images CD
Patchs
Clef CD
2 réponses - il y a plus de 11 ans
Pour que vos vieux jeux sonnent toujours juste.
Il fut un temps où les jeux-vidéos utilisaient le MIDI pour jouer de la musique, malheureusement, la plus-part des cartes-son intégrées ne disposent pas de synthétiseur MIDI matériel, et le synthétiseur logiciel de Windows a un son de casserole.
Voici comment y remédier.
Si vous êtes sous Windows Vista ou 7, vous remarquerez qu'il n'est plus possible de gérer le MIDI via le panneau de configuration du son.
Pour remédier à cela, téléchargez Putzlowitschs Vista MIDI Mapper et installez-le en copiant le fichier PLWMidiMap.cpl dans :
Une fois la copie effectuée, vous devriez avoir une icône de ce type dans le panneau de configuration de Windows.
Le synthétiseur logiciel de Windows fonctionne sans efforts, mais est simpliste, pour avoir un meilleur son en MIDI, nous allons nous devoir nous passer de lui.
Nous opterons pour le pilote MIDI virtuel LoopBe1 , celui-ci vous permettra de remplacer celui de Windows. Téléchargez-le et installez-le, une fois ceci fait, une icône dans la zone de notification de Windows témoignera de son fonctionnement.
Revenez dans le Panneau de configuration et utilisez Putzlowitschs Vista-MIDIMapper (ou la gestion du son si vous êtes sous Windows XP) pour changer de synthétiseur MIDI et utiliser LoopBe1.
Cliquez sur « Appliquer » puis « OK » pour confirmer votre choix.
Nous nous sommes débarrassé du synthétiseur de Windows, mais le problème est que LoopBe1 ne sort aucun son si vous essayez de lire un fichier MIDI, celui-ci ne dispose en effet d'aucun fichier SoundFont pour la définition de ses instruments.
Pour choisir un SoundFont et le faire utiliser à LoopBe1, nous utiliserons un dernier programme, SynFonOne , comme toujours, téléchargez et installez, une seconde icône dans la zone de notification de la barre des tâche témoignera de son fonctionnement.
Démarrez SynFonOne via cette icône et cliquez sur « Options », vous aurez la fenêtre suivante :
Pour changer de fichier SoundFont, allez dans la zone « SoundFont File » et cliquez sur « Change », puis choisissez votre fichier.
Ajoutez un raccourcie vers SynFonOne dans le dossier « Démarrage » de tout les utilisateurs pour le démarrer avec Windows.
Cliquez sur « OK » pour sortir des options et sur « Hide » pour que SynFonOne disparaisse dans la zone de notification.
Parmi les SoundFonts conseillés, citons Unison et Fluid R3, bien sûr, d'autres existent.
Bien entendu d'autres SoundFonts d'une qualité sans doute meilleure et tout aussi gratuits existent.
Notez que SynFonOne n'accepte que le format SoundFont décompressé (extension .SF2), si vous téléchargez un SoundFont compressé au format SfArk (extension .SFARK), vous pouvez le décompresser avec SfArk .
Et voila, une fois le SoundFont chargé dans SynFonOne, vos anciens jeux devraient sonner mieux.
3 réponses - il y a plus de 11 ans
Il y a quelques jours, les derniers blocs d'adresses IP v4 ont été attribués. Avant de paniquer sur la fin d'internet, essayons d'y voir plus clair.
Afin de communiquer sur un réseau, les ordinateurs et logiciels utilisent des protocoles et des normes, ceux-ci vont de la forme que doit avoir le connecteur de la carte réseau à la fréquence des ondes Wi-Fi en passant par la taille d'une requête et la façon d'envoyer des données.
Parmi ces protocoles de communication, l'un des plus utilisé est le protocole IP (pour « Internet Protocol »), celui-ci fait utilisation d'adresses dites IP afin que les équipements l'utilisant puissent se contacter, comme les adresses physiques permettant à une lettre d'arriver à destination.
Une adresse IP désigne donc un équipement sur un réseau informatique, celle-ci peux être assignée manuellement ou automatiquement par un service DHCP.
Il existe actuellement deux protocoles IP, l'IP version 4 (ci-après « IP v4 ») et l'IP version 6 (ci-après « IP v6 »). Le premier à été créé au début des années 1980; le second date des années 2000.
Actuellement, IP v4 est encore très massivement utilisé, que ce soit sur internet ou sur votre réseau local si vous en avez un. Une adresse IP v4 est codée sur 32 bits et prend la forme suivante :
AAA.BBB.CCC.DDD
Où AAA, BBB, CCC et DDD peuvent varier de 0 à 255 (notation décimale de mots de 8 bits), on obtient donc 2 32 adresses possible en théorie, soit 4 294 967 296.
IP v6 est son successeur, en plus d'apporter de multiples améliorations, il modifie totalement le système d'adressage ; à présent les adresses sont codées sur 128 bits et prennent cette forme :
aaaa:bbbb:cccc:dddd:eeee:ffff:gggg:hhhh
Où les blocs, séparés par le signe deux points « : », varient de 0 à ffff (notation hexadécimal de mots de 16 bits), on obtient 2 128 adresses possibles théoriquement, c'est à dire… heu… beaucoup.
340 282 366 920 938 463 463 374 607 431 768 211 456 pour être plus précis.
Pour simplifier la notation d'une adresse IP v6, on a établi la méthode suivante, prenons l'IP v6 2001:0db8:0000:85a3:0000:0000:ac1f:8001 :
Dans la suite de cet article, j'utiliserai très souvent la notation dite CIDR. Celle-ci est une méthode de notation du masque de sous-réseau.
Un masque de sous réseau késako ? Il s'agit d'un masque binaire appliqué sur une adresse IP v4 ou IP v6 pour savoir si elle fait partie du même réseau qu'une autre. Ils font la séparation entre les bits de l'adresse IP qui désignent le réseau et ceux qui désignent les machines de ce réseau.
Prenons un exemple : Nous avons deux ordinateurs connectés physiquement au même réseau IP v4, ils utilisent les adresses IP v4 192.168.5.4 et 192.168.5.78 et utilisent tous deux le masque de sous-réseau 255.255.255.128.
Traduisons ces IP v4 en binaire :
IP v4 décimale PC1 : 192.168.5.4 Masque décimal PC1 : 255.255.255.128 IP v4 décimale PC2 : 192.168.5.78 Masque décimal PC2 : 255.255.255.128 IP v4 binaire PC1 : 11000000.10101000.00001001.00000100 Masque binaire PC1 : 11111111.11111111.11111111.10000000 IP v4 binaire PC2 : 11000000.10101000.00001001.01001110 Masque binaire PC2 : 11111111.11111111.11111111.10000000
Tout les bits d'adresse IP ayant le même poids qu'un bit de masque de sous-réseau à 1 est dit masqué et désigne le réseau, dans notre cas, nous avons donc les 25 premiers bits en partant du poids fort qui sont assignés au réseau, les 7 autres sont utilisés pour désigner les machines de ce réseau.
__________________________ / \ IP v4 binaire PC1 : 11000000.10101000.00001001.00000100 Masque binaire PC1 : 11111111.11111111.11111111.10000000 IP v4 binaire PC2 : 11000000.10101000.00001001.01001110 Masque binaire PC2 : 11111111.11111111.11111111.10000000 \__________________________/ Bits réseau
Les bits désignant le réseau doivent être identiques pour que les deux ordinateurs se voient comme faisant partie du même réseau. Dans notre exemple, c'est le cas.
La notation CIDR est une forme raccourcie qui indique le nombre de bits du masque de sous-réseau d'une adresse IP qui sont assignés à la désignation du réseau. Dans notre exemple, la notation CIDR des adresses des ordinateurs PC1 et PC2 est :
Si en IP v4 la notation de masque de sous réseau décimal est très utilisée, elle a été abandonné en IP v6, non seulement parce qu'il n'y a plus de notation décimale en IP v6, mais aussi pour raccourcir la notation.
IP v6 apporte diverses améliorations comme la simplification des trames réseau qu'il utilise, l'intégration d'IPSEC qui était une fonctionnalités externe de IP v4 ou la possibilité de joindre une machine plutôt qu'une autre en fonction de ses meilleurs performances réseau (voir Anycast ) et la disparition pur et simple de la diffusion (ou broadcast).
Petit aparté sur les broadcast, anycast, multicast et tout :
Cependant, dans cet article, nous verrons d'avantage le second problème que IP v6 règle : Le manque d'adresses IP v4.
Quand IP v4 à été créé dans les années 80, on pensait qu'il y aurait assez d'adresses pour tout le monde ; personne n'avait vraiment vu venir le succès du réseau Internet qui n'était réservé qu'aux universités et structures gouvernementales à l'époque. De plus, on ne pensait pas qu'arriverait un jour des hordes de téléphones portables pouvant s'y connecter.
Vous allez me dire que 4 milliard d'adresses devraient suffire, mais pour être franc, les 2 32 adresses ne sont que théoriques, certaines plages d'adresses ne sont pas utilisables sur Internet, voici lesquelles :
Bref, seules 3 707 435 775 adresses sont réellement utilisables.
Il fût un temps, il suffisait de faire une demande pour se voir attribuer une grosse plage d'adresse d'adresses, regarder la cartographie des adresse IP v4 (carte de 2006) vous montrera que nombre de gros emplacements ont été attribués directement à des entreprises ou à des administrations des États-Unis. Cela date des années 1980, quand on ne pensait pas en voir le bout.
Cependant, avec le temps, on s'est rendu compte qu'on ne pourrait pas continuer à gaspiller ainsi et on s'est mis à rationaliser, ceci à mené à la création de l' IANA au niveau mondial et de divers bureaux d'attribution au niveau continental et national nommés Registre Internet Régionaux (ci-après « RIR »).
Actuellement, les plages d'adresses IP, qu'elles soient en v4 ou en v6, sont détenues par l'IANA, elles sont ensuite fournies aux RIR continentaux en fonction de leurs besoins. Une fois entre les mains des RIR continentaux, elles sont fournies aux RIR nationaux, puis enfin, aux entreprises, ou administrations.
Non, tout simplement car les adresses IP ne sont pas du pétrole , même s'il n'y en a plus en réserve, elles ne s'usent pas, de la même façon, il est possible de remettre dans le pot commun les plages d'adresses non utilisées. Enfin, si l'IANA n'a plus une adresse IP v4 en réserve, les RIR en disposent encore un peu par effet de transmission.
Au pire, Internet aura du mal à croître
Mais heureusement, si vous avez suivi, IP v6 va pouvoir prendre la relève et supprimer ce petit problème.
Malheureusement, le changement ne se fera pas d'un claquement de doigt, nombre d'entreprises et de Fournisseurs d'Accès à Internet (ci-après « FAI ») ont traîné les pieds pour y passer, et puisque c'est au pied du mur que l'on voit mieux le mur, peut-être le tarissement des adresses IP v4 au niveau de l'IANA va les pousser à se rendre compatibles IP v6 en vitesse .
Avant tout, répondons à quelques bêtises que l'on trouve régulièrement.
C'est faux, il est possible d'avoir ce que l'on appel une double pile IP, c'est-à-dire que votre carte réseau aura à la fois une adresse IP v4 et une adresse IP v6, par exemple, voici ce que ça donne chez le FAI auquel je suis abonné .
Sous GNU/Linux
ppp0 Link encap: Protocole Point-à-Point inet adr:80.67.176.144 P-t-P:62.4.16.41 Masque:255.255.255.255 adr inet6: fe80::5043:b090:0:0/10 Scope:Lien adr inet6: 2001:910:1090::1/64 Scope:Global […]
Sous Microsoft Windows
Carte Ethernet Marvell Yukon 88E8001 Gigabit Ethernet : Suffixe DNS propre à la connexion : zergy.lan Adresse IP : 192.168.2.2 Masque de sous-réseau : 255.255.255.0 Adresse IP : 2001:910:1090:2:c03:256d:9235:62e3 […]
On voit bien ici que les connexions disposent d'une adresse IP v4 (192.168.2.*) et d'une adresse IP v6 (2001:910:1090:*)
Les connectivités IP v4 et IP v6 sont utilisées selon les besoins.
Les adresses IP v6 en fe80:* sont des adresses de liens locaux, j'y reviendrai par la suite.
On entend souvent cette bêtise à propos de deux choses :
Les systèmes de Translation d'Adresses et Port Réseaux, aussi nommée PAT/NAT, sont un placébo trouvé vers la fin des années 1990 pour permettre à plusieurs ordinateurs d'un réseau local (adresses IP v4 de classes A, B ou C) d'être connecté à Internet avec une seule IP v4 publique.
Certains prêtent à ce système une sécurité puisque les machines à l'intérieur du réseau local ne sont pas directement joignables depuis Internet puisqu'on ne dispose que d'une IP publique.
Cependant, en IP v6, s'il est vrai que tous vos équipement auront une adresse IP v6 publique, les murs de feu de ces machines seront là pour bloquer les attaques, et n'oublions pas qu'un système de PAT/NAT n'empêche pas de se prendre des tuiles, la première faille dans un système informatique étant bien souvent l'utilisateur.
Mais réjouissons-nous, avec la disparition du PAT/NAT fini la redirection de port nécessaire pour jouer correctement.
Pour le problème de l'adresse MAC dans l'adresse IP v6 publique, c'est vrai si l'adresse est réglée automatiquement, et faux si vous la réglez à la main. Et vu qu'en IP v6 votre FAI vous donne gracieusement une plage d'adresses IP, à vous de choisir celle qui vous convient.
La plage des IP v6 utilisables sur internet vont de 2000:0000:0000:0000:0000:0000:0000:0000 à 9fff:ffff:ffff:ffff:ffff:ffff:ffff:ffff, c'est-à-dire :
On prend ici le fait que vous souhaitez juste vérifier que vous pouvez vous connecter au réseau Internet en IP v6, il vous faut :
Actuellement, en France, les quatre FAI suivants sont compatibles IP v6 :
Pour les autres :
Les matériels réseaux devant être vérifié pour le passage à IP v6 sont votre routeur -généralement la *box de votre FAI- et votre point d'accès Wifi si celui-ci est un élément à part du routeur.
Si vous utilisez votre *box en mode « Bridge » (mode simple modem ADSL) ou que vous n'avez qu'un simple modem (ADSL ou RTC) pour vous connecter, vous n'êtes pas concerné par cette section, en effet un modem utilise les protocoles PPP et ATM, et n'est donc pas concerné par des problèmes d'IP v4 ou IP v6.
C'est à l'équipement se trouvant derrière de faire la connectivité IP.
Aujourd'hui encore, bon nombre de modems-routeur ou routeurs grand public n'offrent pas de connectivité IP v6, faites attention lors de vos achats.
Pour ce qui est des box des FAI :
Pour tous les équipements et FAI, consultez la documentation fournie et mettez le micro-logiciel (firmware) à jour si besoin.
Les systèmes d'exploitation récents sont compatibles avec IPv6, par récent on entend :
Quelque soit votre système d'exploitation, le support d'IP v6 doit être activé par défaut, sauf sur Windows XP, voici comment faire pour celui-ci :
Connectez-vous à un site de test , il en existe d' autres .
Si en IP v4 votre FAI ne vous fournissait qu'une seule et unique adresse IP, en IP v6 vous avez droit à une plage complète, généralement, on vous attribue un /64, certains FAI comme FDN fournissent un /48.
Le problème étant de trouver moyen d'utiliser ces 2 64 (ou 2 72 , ou 2 80 ) adresses.
Mais outre la plage d'adresse IP v6 publique que vous fournit votre FAI, vous en trouverez d'autres, décrivons-les rapidement :
A présent que votre connectivité IP v6 à Internet est en place, vous pouvez tester si un serveur quelconque est lui aussi compatible, pour cela, il suffit d'avoir quelques petits outils.
Si vous utilisez le navigateur internet Mozilla Firefox, il existe l'extension « SixOrNot » qui vous indiquera si le serveur du site que vous visitez peut être joint en IP v6.
Ceux-ci n'étant pas installés de base sous Microsoft Windows voici la procédure pour les mettre en place :
Il faut ensuite ajouter le dossier d'installation à la variable PATH du système, pour plus facilement les utiliser.
Sous Windows XP et 2003 :
Sous Windows Vista et 7 :
Nous allons ici uniquement utiliser la commande « host » pour interroger un serveur DNS (ceux qui traduisent les adresses IP en nom intelligible et vice-versa) afin de savoir si un serveur dispose d'une IP v6. D'autres commandes comme « dig » sont fournies par ces outils mais ne sont pas décrites ici.
L'utilisation est très simple, il suffit d'ouvrir une invite de commande et de taper la commande :
host nomDuServeur
Exemple avec une machine compatible IP v6 :
host www.zergy.net www.zergy.net is an alias for enalys.zergy.net. enalys.zergy.net has address 80.67.176.144 enalys.zergy.net has IPv6 address 2001:910:1090:2::1
La commande nous répond que www.zergy.net est un surnom du serveur enalys.zergy.net et que l'adresse IP v4 ce celui-ci est 80.67.176.144.
Cependant, la réponse nous indique également que enalys.zergy.net dispose d'une adresse IP v6 qui est 2001:910:1090:2::1.
Exemple avec une machine non compatible IP v6 :
host www.aeriesguard.com www.aeriesguard.com is an alias for aeriesguard.com. aeriesguard.com has address 78.41.233.87 aeriesguard.com mail is handled by 30 mx2.celeonet.com. aeriesguard.com mail is handled by 25 mx3-cl.celeonet.fr.
La commande nous répond que www.aeriesguard.com est un surnom du serveur aeriesguard.com et que l'adresse IP v4 ce celui-ci est 78.41.233.87.
Les autres lignes indiquent quels sont les serveurs de messagerie utilisés par le domaine aeriesguard.com, rien ne concerne une quelconque compatibilité IP v6.
Ertaï, il va falloir arranger ça !
Merci à Ertaï pour les corrections.
17 réponses - il y a plus de 13 ans
Les sauvegardes de base de données ne sont pas toujours simple à effectuer, voici un petit script qui vous mâchera le travail.
S'il est possible de sauvegarder les bases de données de MySQL en se contentant de copier les fichiers contenant les bases, cette méthode est crado et peut se solder par un échec cuisant.
Il est largement recommandé d'utiliser l'utilitaire mysqldump pour cette tâche, cependant, l'utiliser manuellement pour sauvegarder les bases de données une à une n'est pas agréable, un oubli ou une mauvaise manipulation est vite arrivée.
Voici donc un petit script à utiliser avec cron pour sauvegarder toutes vos bases de données MySQL automatiquement.
A modifier selon votre convenance, attention, les droits de root sont nécessaires.
La présence du mot de passe root de MySQL dans ce fichier demande de mettre les droits les plus restrictifs possible.
#! /bin/sh -e ################################################################################ # # # LICENCE # # # # This program is free software: you can redistribute it and/or modify it # # under the terms of the GNU General Public License as published by the Free # # Software Foundation, either version 3 of the License, or (at your option) # # any later version. # # # # This program is distributed in the hope that it will be useful, but WITHOUT # # ANY WARRANTY; without even the implied warranty of MERCHANTABILITY or # # FITNESS FOR A PARTICULAR PURPOSE. See the GNU General Public License for # # more details. # # # # You should have received a copy of the GNU General Public License along with # # this program. If not, see <http://www.gnu.org/licenses/>. # # # ################################################################################ ################################################################################ # # # DESCRIPTION # # # # Ce script sauvegarde automatiquement les bases de données MySQL/MariaDB en # # utilisant la sauvegarde par base. # # # # # # VARIABLES # # # # - DATE : Date du jour, utilisé pour le dossier de sauvegarde des bases de # # données à sauvegarder. # # - MYSQLROOT : Nom de l'administrateur du système de gestion de bases de # # données, root par défaut. # # - MYSQLPASSWD : Mot de passe de l'administrateur du système de gestion de # # base de données. # # - BACKUP_DIR : Emplacement du répertoire de base pour les sauvegarde, un # # sous-répertoire portant pour nom la variable date sera crée pour contenir # # les sauvegarde du jour. # # - LOG_FILE : Fichier utilisé pour la journalisation. # # - LOG_FILE_DATE : Date de journalisation. # # - RETENTION : Temps de rétention des sauvegardes. # # - MYSQLDUMP_OPTS : Options utilisées par la commande mysqldump. # # # # # # FONCTIONS # # # # - logDate() : Ajoute la date aux messages de journalisation. # # - createLog() : Créer un fichier de journalisation et lui donne les droits # # corrects s'il n'existe pas. # # - createBackupDir() : Vérifie l'existance du répertoire utilisé par les # # sauvegardes du jour, le crée et lui donne les authorisations correctes le # # cas échéant. Voir les variables BACKUP_DIR et DATE. # # Quitte et retourne l'état de sortie 1 si le dossier n'existe pas et ne # # peut être crée. # # - backupPurge() : Utilise la commande tmpreaper pour suprimmer dans le # # dossier de base des sauvegardes -tel que défini par la variable # # BACKUP_DIR- celles dont l'âge est supérieur à celui défini dans la # # variable RETENTION. # # Quitte et retourne l'état de sortie 2 si les sauvegardes les plus # # anciennes ne peuvent être supprimées. # # - listDB() : Cette fonction liste les bases de données présentes avec la # # commande mysql pour lister les bases de données présentent dans le système # # de base de données que l'on souhaite sauvegarder. # # Quitte et retourne l'état de sortie 3 si les bases de données ne peuvent # # êtres listées # # Quitte et retourne l'état de sortie 4 si aucunes bases de données # # n'existe. # # - backupDB() : Supprime les sauvegardes présente dans le dossier du jour # # s'ils en existes puis utilise mysql afin de sauvegarder les bases de # # données du système de gestion de base de données que l'on souhaite # # sauvegarder. # # Il est possible de spécifier des options à la commande de sauvegarde via # # la variables MYSQLDUMP_OPTS. # # Quitte est retourne l'état de sortie 5 si une erreur se produit lors des # # sauvegardes. # # - backupCheck() : Cette fonction effectue un test afin de savoir si les # # sauvegardes se sont bien déroulées. Elle vérifie via la commande find # # couplé à la commande wc -l la présence de fichier dans le répertoire de # # sauvegarde du jour, si le résultat de cette commande est est plus grand # # que 0, elle utilise la commande du -ks si la taille totales des fichiers # # sauvegardé est supérieur à quatre kibi-octects, 4 kio étant la taille d'un # # dossier vide ou contenant des fichiers de taille nulle. # # Quitte et retourne l'état de sortie 6 si aucune sauvegarde n'a put être # # effectuée ou si la taille des sauvegardes est nulle. # # # # # # AUTEUR(S) # # # # - Collyer Cédric <collyer.cedric@zergy.net> # # # # # # DERNIER(S) CHANGEMENT(S) : # # # # - 23/10/2010 : Création du script et écriture de la documentation. # # - 21/02/2011 : Ajout de la suppression des répertoires vides dans la # # fonction BackupPurge(). # # - 24/10/2011 : Abandon du GZ, compression des dump en XZ. # # - 25/10/2011 : Mise au format ISO. # # # ################################################################################ # Initialisation de variables DATE="$(date '+%Y%m%d')"; MYSQLROOT="root"; MYSQLPASSWD="XXXXXXXX"; BACKUP_DIR="/home/shares/sauvegardes/MySQL"; LOG_FILE="/var/log/mysql-dump.log"; RETENTION="7d"; SHELL="/bin/sh"; PATH="/usr/local/sbin:/usr/local/bin:/sbin:/bin:/usr/sbin:/usr/bin"; MYSQLDUMP_OPTS="--routines --skip-lock-tables --events"; # Routine d'horodatage des logs logDate() { LOG_FILE_DATE="$(date +'%d/%m/%Y %H:%M')"; } # Mise en place des journaux. createLog () { if [ ! -f "$LOG_FILE" ]; then touch "$LOG_FILE"; chown mysql "$LOG_FILE"; chgrp adm "$LOG_FILE"; chmod 640 "$LOG_FILE"; fi } # Mise en place des répertoires. createBackupDir () { if [ ! -d "$BACKUP_DIR/$DATE" ]; then mkdir -p "$BACKUP_DIR/$DATE"; if [ $? != 0 ]; then logDate; echo "$LOG_FILE_DATE : Impossible de créer le dossier \ de sauvegarde." >> "$LOG_FILE"; exit 1; fi chown root "$BACKUP_DIR/$DATE"; chgrp staff "$BACKUP_DIR/$DATE"; chmod 770 "$BACKUP_DIR/$DATE"; fi } # Purge des ancienne sauvegardes. # Utilisation TMPReaper pour supprimer les sauvegardes vielles de plus de 8 # jours (cf $RETENTION pour changer) backupPurge() { tmpreaper "$RETENTION" "$BACKUP_DIR"; if [ $? != "0" ]; then logDate; echo "$LOG_FILE_DATE : Impossible de purger les anciennes \ sauvegardes." >> "$LOG_FILE"; exit 2; fi for olddir in $(ls "$BACKUP_DIR"); do if [ "$(du -ks $BACKUP_DIR/$olddir | awk {'print $1'})" -eq 4 ] then rmdir "$BACKUP_DIR/$olddir"; fi done } # Listage des bases de données. listDB() { BASE_LIST="$(mysql --user=$MYSQLROOT --password=$MYSQLPASSWD \ --batch --skip-column-names --execute='SHOW DATABASES;')"; if [ $? != "0" ]; then logDate; echo "$LOG_FILE_DATE : Erreur dans la commande de sauvegarde." \ >> "$LOG_FILE"; exit 3; fi if [ "$BASE_LIST" = "" ]; then logDate; echo "$LOG_FILE_DATE : Aucune base présente." >> "$LOG_FILE"; exit 4; fi } # Sauvegarde des BDD. backupDB() { for db in $BASE_LIST; do if [ -f "$BACKUP_DIR/$DATE/$db.sql.xz" ]; then rm -f "$BACKUP_DIR/$DATE/$db.sql.xz"; fi mysqldump $MYSQLDUMP_OPTS --user="$MYSQLROOT" \ --password="$MYSQLPASSWD" "$db" 2>> "$LOG_FILE" | xz -c\ > "$BACKUP_DIR/$DATE/$db.sql.xz"; if [ $? -ne "0" ]; then logDate; echo "$LOG_FILE_DATE : Attention erreur dans les \ sauvegardes." >> "$LOG_FILE"; exit 5; fi chown root "$BACKUP_DIR/$DATE/$db.sql.xz"; chgrp staff "$BACKUP_DIR/$DATE/$db.sql.xz"; chmod 660 "$BACKUP_DIR/$DATE/$db.sql.xz"; done } # Vérificarion des sauvegardes. backupCheck() { if [ "$(find $BACKUP_DIR/$DATE -type f | wc -l)" -gt 0 -a \ "$(du -ks $BACKUP_DIR/$DATE | awk {'print $1'})" -gt 4 ]; then logDate; echo "$LOG_FILE_DATE : Sauvegarde des bases terminé avec \ succés." >> "$LOG_FILE"; else logDate; echo "$LOG_FILE_DATE : Aucune base sauvegardées ou leur taille \ est de zéro." >> "$LOG_FILE"; exit 6; fi } main() { createLog; createBackupDir; listDB; backupDB; backupCheck; backupPurge; } main; exit 0;
7 réponses - il y a plus de 13 ans
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