Au début du 16ème siècle s'ensuivit une longue période de paix, entachée par la réputation exécrable de Jane qui ne s'intéressait plus à la politique, et a dilapidé tout la prestige la nation en refusant de s'engager dans tous les conflits militaires mettant en jeu nos alliances.

Le Schisme (encore...)

En 1515, lassé par l'attitude de plus en plus scandaleuse des hautes instances catholiques, un nouveau schisme apparu (le premier souvenez vous c'était quand les évêques de rome avaient trouvé malin d'excommunier les popes de constantinople, qui eux-même s'étaient empressé de faire de même. Chacun considérant sa manière comme la vraie foi, et l'autre comme un dangereux hérétique, nous retiendrons dans l'histoire que de tous les courants chrétiens seuls les catholiques ont trouvé intelligent de rendre obligatoire le voeu de chasteté précédemment réservé à certains courant monastiques intégristes, ce qui ne plaide pas vraiment en faveur de leur bonne santé mentale, bref). Ce nouveau schisme fit apparaître un courant supplémentaire, appelé "protestants" par les catholiques orthodoxes (et non pas les orthodoxes chrétiens) alors qu'eux-mêmes évidemment ne se nomment pas des "protestants", mais en général plutôt des chrétiens évangélistes avec divers noms pittoresques. L'Histoire n'a pas retenu pourquoi diable est-ce que ces protestants n'ont pas décidé d'adopter les usages chrétiens orthodoxes, puisque cherchant une plus grande authenticité dans l'application de leur religion, il eût été logique qu'ils se rapprochent de leurs cousins restés à une version "première" de la religion chrétienne, dite des "septs conciles", en référence au fait qu'ils n'ont reconnu aucun des conciles postérieurs au septième, initiés par les pape des catholiques. Après les protestants, apparurent un autre courant, dit "réformé" (en réalité l'église protestante c'est la réformée, tandis que les protestants ici sont les luthériens, un courant minoritaire maintenant rattaché à la grande famille foisonnante des protestants - dits réformés, vous me suivez ? non ? bizarre. )

Et pendant ce temps, à Nagano, il neige.

Jane décédât finalement à un âge honorable, sans voir la fin des ces affaires religieuses, qui échurent à son fils Edward. En 1531, Edward, effrayé par la montée des tensions religieuses de toutes parts, a décidé de convertir l'Empire à la religion protestante (luthérienne, donc, bien que dans ce cas précis, il ai préféré adopter le terme "d'église anglicane", en faisant valoir la primauté de l'Empereur comme instance suprême légale et religieuse, une sorte d'Empereur-Pape. Ce n'est pas que edward lui-même fut particulièrement intéressé par les pratiques luthériennes, mais il dût faire un choix, devant le fait qu'ayant envie de répudier sa femme, il ne pouvait le faire avec l’assentiment du pape, et décida de surfer sur la vague protestante pour en profiter. A cette époque l'église anglicane n'est qu'une église catholique, mais au fil du temps, les petites gens ayant adopté les pratiques luthériennes, la noblesse fut bien obligée de faire de même, qu'elle le veuille ou non, ce qui fit petit à petit passer l'église anglicane dans la nébuleuse des églises protestantes (que les catholiques n'appellent pas "église" puisque d'après eux, l'église, ça ne peut être qu'eux, n'est-ce pas). Donc pour résumer, l'Empire a changé de religion parce que l'Empereur voulait coucher avec une autre femme que sa femme officielle. *Oups, j'ai vraiment dit ça tout haut ?*

Passant de nombreuses lois fondamentaliste pour durcir l'intolérance religieuse, Edward se lança ensuite dans un vaste mouvement de conversion forcées pour tenter de rétablir l'unité nationale. Il a vassalisé pise pour diminuer le nombre de provinces à maintenir dans le calme, et l'empire a profité de la sagesse des précédents conseillers qui avaient anticipé les problèmes possibles en construisant partout des tribunaux (avec un mot d'ordre : niquer tout le monde, plaignant et accusé, de sorte à ce que les gens comprennent vite qu'il valait mieux trouver des accords amiables, que de se retrouver au tribunal, ce qui a eu des résultats remarquables).

La deuxième guerre des roses

En 1542, dix ans d'efforts et de troubles plus tard, la réforme se terminait et les derniers hérétiques étaient finalement défaits, rejetés hors des frontières, exilés, dépecés, hachés menu. Les troubles finissants, Edward profita d'erreurs de cartes autour de gibraltar pour revendiquer l'andalousie et grenade, et attaqua castille, qui fut forcé de céder toute la côte sud, ainsi que les dernières provinces basques de la côte nord. Ce furent les dernières grandes guerres de conquêtes en europe, car les explorateurs de plus en plus nombreux rapportaient des merveilles du vaste monde, et l'Empire de Grande Bretagne, lassé des incessants conflits continentaux, meurtriers et pénibles, se tourna vers la mer, sont véritable domaine, et se lança à la colonisation du vaste monde.

Rapidement, il s'avéra que la colonisation était assez difficile, même dans des contrées aussi paradisiaques que les antilles, et l'Empereur commençât à envisager sérieusement de conquérir plutôt des provinces occupées par des peuples primitifs et païens, ce qu'il serait facile de faire passer pour une bienveillante oeuvre de charité et de diffusion de la civilisation (de toute façon, les cadavres ne parlent plus, ha ha ! ). -l'Histoire allait bien sûr les rattraper, mais à cette époque ils ne le savaient pas encore-

Lorgnant sur la conquête coloniale du riche mozambique, pour s'approprier au moins autant d'or que les espagnols n'en avaient trouvé au pérou, l'Empereur fit une dernière halte en europe contre navarre, dans le but d'en acquérir la vassalisation et permettre enfin le passage des troupes de gascogne en espagne, et obtint dans le même conflit que castille retire ses prétentions sur les anciennes provinces au blason frappé de la rose (castille a sottement tenté de défendre la navarre), ainsi que rien moins que la vassalisation du portugal, ou du moins ce qu'il en restait, ce qui donne à l'Empire la domination sans partage de toutes les antilles, de même que toutes les îles de l'Ouest de la méditerranée. Le dernier problème en europe restait en guyenne, car le perigord bloquait l'accès vers le sud à toutes nos troupes et vassaux du nord de la france. Le problème fut bientôt réglé définitivement avec l'annexion du perigord et du limousin, sans casus belli officiel et donc au prix d'un mécontentement général, en Angleterre et partout ailleurs, et la vassalisation du dauphiné, désenclavant enfin avignon, de même que celle de Naple, unifiant pratiquement toute l'italie derrière l'empire britannique. Il était temps de laisser l'Europe et tous ses tracas derrière nous.

Des Anglais au Zimbabwe

La Grande Bretagne ne fut pas la première à explorer les côtes Est de l'afrique, mais elle fut la première à y poser le pied fermement, en annexant quelques territoires sur des sauvages en 1591, tout en fondant les premières colonies européennes de l'océan qui allait devenir "indien", à Madagascar.

Pendant ce temps, ayant fait de st domingue une place tournante pour tout le commerce des denrées du nouveau monde, l'empire de grande bretagne raflait haute la main les monopoles de tous les nouveaux produits à la mode (coton, cacao, café, tabac, poisson... heu non, pas poisson, enfin, si pour le monopole, mais pas pour la mode)

Mais il fallut attendre quelques années pour que les explorateurs hardis poussent leurs investigations dans la jungle et permettent à la couronne d'absorber toutes les richesses du mozambique.

Heu... non pardon, "permettent à la couronne d'apporter la civilisation, la foi en le christ notre seigneur, la paix et la prospérité" à ces sauvages de barbares hérétiques et ... *la suite a été censurée pour ne pas choquer les lecteurs les plus sensibles*