Version d'archive
Il y a des décennies, durant les siècles magistraux, dragons et dragoliens s’entendaient à merveille. Les dragoliens, ces êtres magistraux, étaient différentes races dotées de pouvoirs spéciaux. Des elfes, quelques rares nains, des hommes et très peu de chats ninjas ainsi que plusieurs races ce demandaient s’ils étaient dragolien… Hélas, très peu en était, très peu étaient nés avec ce don de vie éternelle et ces pouvoirs spéciaux.
CHAPITRE 7 : tombé sur une rencontre particulière…
C’est un bruit qui réveilla Saramette au petit matin, elle leva la tête et s’aperçut que c’était que Backerei qui avait marché sur une branche en courant. Il avait les cheveux tout ébouriffé et une vilaine griffure en dessous de l’œil. Il avait dans ses mains, 2 maigres lièvres, il les tenait par les oreilles. Il ne prêta pas attention a Saramette qui le regardait, il posa les lapins par terre et ramassa des branches qui était tombé près du pommier et vérifia que le bois était bien sec. Il allate près de la rivière et revint avec une petit pierre et un silex surement trouver dans le sable.
Il arracha un peu d’herbe et frotta ses main dessus pour les déshydrater, après tout cela, il mit le tas de branche sec sur le gazon en l’entourant de petit pierre et enfin rajouta l’herbe déshydrater, il frotta l’un contre l’autre le silex et la petit pierre produisant ainsi des petit étincelle et enflammant le tout, il jeta son outil dans le feu. Il prit 3 autre grosse branche du pommier, sortie un couteau de son vêtement de paysans. Etonner, Saramette battit des paupières ; un couteau dans un vêtement de paysans, qui l’eu crut ?
Il tailla les 3 branches en pointe et en planta 2 de chaque côté du feu, embrocha les lapins avec le dernier et le mit sur les 2 autres branche. D’un pas lent, il allât vers Saramette qui ne cessait pas de le regarder.
« -Sa va ?
-oui, j’ai bien dormie, mais toi, tu es allé ou pour cette griffure ? Elle la montra du dois en regardant d’un œil interrogateur Backerei.
-j’ai courue et je me suis pris une branche, j’imagine que tu les aurais préférer crue, mais bon, cuit c’est pas mal aussi, même pour toi.
-oui, je vais essayer, ma famille doit s’inquiéter terriblement, ma jambe, combien de temps a peu pré avant qu’elle soit en état? Faut que je les rejoigne.
-dans l’état qu’elle est, il faudra 1semaine, et encore ! Il te faudra de quoi t’appuyé, des sorte de béquille. Tu n’es donc pas la seule chatte ninja en vie ? dit-il vivement en s’asseyant à côté d’elle.
- si, mais j’ai apriori était adopté, j’ai été élevé par des humains…. Répondit-elle sèchement en besant les yeux au sol.
-Ha, fit-il en lui envoyant un triste regard, ça m’aurai étonné. Tu as de la chance d’être tombé sur des personnes bien, moi… je ne préfère pas en parlé.
-sa fait 5jour en tout que tu ma recueillis et soigné, ces beaucoup, crois-tu que si tu m’aide je pourrai retournée à mon village, qui s’appelait Dersestir ?
-houlà ! Sa fait une sacré route, ces a 9,3km ou plus, on en a peut-être pour 2jour ! Par le courant de la rivière, ta dut prendre moins d’un jour a arrivé ici mais à pied d’ici à la bas ! répondît-il, estomaqué. Et, bien que ça ne soit pas dans mes habitude surtout que tu ma accuser d’être avec l’empire, mais je vais quand même t’aider, beaucoup de race comme toi ou moi sont disparus, en esclavage etcétéra. Aider, ma race n’est pas comme ça ! Mais bon, après tout, on s’apprendra à ce connaitre au pire. D’ailleurs, je me souviens ou on est, à la plaine de Beraque.
-si loin ! Elle fit des grands yeux. Et, Mercie de m’aider surtout si ces pas dans tes habitude. Sa serai cool si on avait une carte… mais bon, j’imagine que nos sens de l’orientation suffirons ! Elle rit.
-pourquoi tu rigole ?
-car je suis en terre inconnus, et la, du coup, mes sens ne servent à rien ! En terre inconnus, je suis désorienté et je ne pourrai même pas retrouver la rivière si je suis à 1km à la ronde ! Elle continua à rire.
-à bin, on est mal barré alors ! Il poussa un long soupir et tandis sa main à Saramette.
-pas forcement maintenant, on pourra partir à la lune, non ?
-pas si tard ! Les lapins sont cuit, tiens… »
Il enleva le bâton, prit un des lapins et le donna a Saramette qui le mangea a pleine dent, il fit de même.
Quand Saramette fut rassasié et que Backerei eu finit, ce dernier enleva les bandages de Saramette et regarda la blessure à sa jambe. Elle regarda aussi, enlevé les bandes desserra son entaille et raviva la douleur.
Du sang sécher tout le long de celui-ci, la chair largement entailler, et on voyait l’os, pas étonnant qu’elle ne sentait plus rien… elle grimaça et Backerei soupira :
« -ça ne guérira pas plus vite si je ne recouds pas…mais je n’ai point fil ni aiguille….
- sa risque de m’handicaper tant que ça? C’est…moche mais bon, comme je te le répète, si tu m’aide ces faisable…
-Et je ne te contredit pas! Si tu veux retourner à ton village, en début de soirée, quand le soleil n’a pas encore dit son dernier mot avant de laisser place à la lune, on partira.
-bon d’accord, lâchât-elle. »
Il remit un bandage propre et brula le sale, le reste de la journée, les deux acolytes firent les affaires, les provisions, il chassa et aida Saramette à marcher… le moment était venue, il fallait partir…
Ils s’avançaient dans les bois en remontant la rivière, c’étaient une torture pour elle, la souffrance avait atteint son pic, le terrain était difficile, des troncs barraient parfois leurs route, soit ils la contournaient mais bien souvent ils étaient obligé de l’escalader, ce qui était une épreuve pour elle. Intéresser, elle regarda de nombreux arbres dont elle ne savait pas le nom, il y en avait de toute couleur et de toute sorte. Alors que la nuit était déjà bien avancer, ils s’arrêtaient sous un sapin, pour reprendre leur souffle, aussi pour boire et ce restaurer, ils avaient leurs front en sueur, des écorchures aux bras et au visage, Backerei était en moins piteux état que Saramette qui tremblai…
Ils reprirent leur route, la nuit s’achevait, combien ils avaient parcouru ? Saramette ne saurai le dire. Il fallait qu’ils ce reposes même si Backerei ne voulait pas l’avouer, la forêt était calme, mais, tout-à-coup, le sol s’effondra sur leur pied, ils tombèrent a 2,5métre de profondeur environ. Ils étaient entourées de nain, la chose qui semblai la plus improbable qu’il soit, tous les deux assis et sonné contre une paroi rocheuse. Ils entendirent des voix, vue des nains avec des yeux aussi rond qu’un œuf puis ils sentirent quelque chose des lourd les assommés.
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