Kami-sama no memo-chou (le calepin de Dieu) nous introduit Narumi, un lycéen qui a été constamment balloté d'un endroit à un autre depuis son enfance (aussi connu sous le terme "personnage anonyme et sans passé hautement identifiable par les téléspectateurs". Ce dernier se retrouve malgré lui témoin d'une affaire d' enjo kosai (jeunes filles -lycéennes ou collégiennes- soutenus par des hommes plus âgés contre des faveurs sexuelles ou non) tournant mal. L'affaire est rapidement et discrètement réglé par une bande d'inconnus aussi mystérieux qu'excentriques.

Il pense ne plus revoir ces personnes mais c'est sans compter sa pétulante nouvelle camarade de classe qui réunit (fortuitement ou pas) notre beau monde. Les individus en question s'avère être tous des NEET, des jeunes chômeurs non-chercheurs d'emplois. Il rencontre alors Alice, la chef du groupe hikikomori qui tient une agence de détective et dont l'affaire actuelle est de retrouver une lycéenne adepte du enjou kosai et qui a disparu.

Mais attends si Alice tient une agence de détective et que les autres NEET y travaillent, ça veut dire que ce ne sont plus des NEET non ? Enfin bon en même temps j'ai complètement décroché lorsque Alice est partie dans sa tirade mystico-théologiste hacker lolz donc peut-être que j'ai raté un ou deux trucs...

Impressions : dense ! Au travers des enquêtes de notre agence de détective pas comme les autres #1337 on peut voir se profiler la possibilité d'une critique des travers de la société japonaise moderne ce qui peut s'avérer intéressant, pour qui est un tant soit peu intéressé bien sûr.