CHAPITRE 2 : rencontre avec l’hertinette
Saramette à la fois surprise et étonner, elle s’enfuie par la fenêtre et se réfugia sur la plus haute branche de l’arbre qui était à quelque mètre du foyer. Là, elle réfléchit pendant des heures couchées au contact de l’écorce du vieux elbuake, un type d’arbre connu il y a seulement quelque année dont la couleur vive de l’écorce était en harmonie avec les feuilles long, épais, doux et vert foncée du feuillage touffu. Elle finit par s’endormir vert le milieux de la nuit, elle s’enfuit et plongea dans ces rêve tendre et accueillante de son esprit. Pendant son profond sommeil, elle avait l’impression qu’on murmura à son oreille. Est-ce quelqu’un ? Est-ce le vent ? Un oiseau ? Elle ne sut le dire. Quand la chaleur douce et les rayons de soleil commençait à l’éclaira, Saramette ouvrir les yeux lentement mais surement, elle n’avait encore jamais aussi bien dormie au pars avant. Etait-ce le fait d’être en hauteur ? Était-elle fatiguer ?elle voulait des réponses, sur elle et sur sa race ! Après avoir retournée et retournée pour au final s’embrouiller avec ces questions sans réponses, elle décida de ce levé, elle s’assit d’abord lentement sur sa branche et se rendit compte qu’une hertinette (sorte cousine des fées mais sans pouvoir) siégée là. La première réaction de Saramette été de se frotter les yeux pour être sur qu’elle n’était pas en train de rêver ! L’hertinette commença car elle voyait que Saramette n’ouvrai pas la bouche et qu’elle ne sera pas la première a commencé :
« -bonjour, tu fais beaucoup de bruit la nuit…
-comment ça ? répondit Saramette étonné.
-bin, tu fais des hiiiii, aussi des hinnnnn ou des haaaaaa ou encore ronron de temps en temps. Ou sinon tu parles, c’est encore plus dur de dormie pour nous dans ce cas-là.
-ha…bah désoler, c’était donc vous les chuchotements ? Ces biens la première fois que j’approche l’une de vous vois d’aussi près, d’habitude, même la nuit, je vous vois assez loin et haut dans le ciel quand il fait humide et sans lune.
-C’est normal, on a peur des humains, quand il nous attrape, en gros, bin, ils nous m’martyrisent »
Saramette se retînt d’éclater de rire, cependant, un petit air amusé ce voyait dans c’est grand yeux clair et percant.
« -c’est-à-dire ?
- il nous met dans des petites cages, nous déshabillent comme ils le peuvent, nous donner juste un bout de mouchoir pour que nous nous façon un habit clair avec les moyens du bord et ils nous font faire des numéros de cirque, des fois, à cause de leur brutalité, on paire nos ailles ou elles se cassent…. Je me suis approchée de toi car malgré le temps qui change, quasiment aucun vont si haut pour le plaisir de dormir et il n'on pas un physique pareille.
-à, effectivement, ce n’est pas banal ce qu’ils vous font…le temps qui change, tu parles de la météo ?ou ces en rapport avec ton Age ?
- non, ce n’est pas en rapport avec la météo. Tu es curieuse… si je peux satisfaire ta curiosité en disant mon très jeune âge…j’ai 286 saison, pour toi, sa peut sembler long, mais en réalité ça ne l’ai pas pour nous. Si seulement certains dragoliens étaient encore en vie… comme la dragolienne de ma race, morte à cause de la guerre. »
Une lueur de curiosité se lisait dans Saramette qui s’empressa de répondre.
« -tu me parlé d’elle s’il te plait ?je suis intéressée, elle est morte à quelle âge ?elle est morte ou ?quand ?quelle était son drag…
-STOP, coupa l’hertinette, j’ai jamais vue qu’elle qu’un aussi intéresser par la dragolienne de ma race ! Bizarrement je sens que je vais prendre plaisir à te raconter son histoire… mais s’il te plait, me coupe pas et je te répondrais a je pense a toute tes question mais arête de m’en poser par la lune, je t’en prie !
-oui, désoler, je me suis laisser emporter par un flot de question…vas-y, je t’interromprais pas, du moins, pas inutilement je pense.
-ok, commençons…