CHAPITRE 5 : au court de l’eau

Saramette chancelât et sa jambe céda sous la douleur. Son entaille de 20centimètres risquait de s’infecté gravement et le sang n’arrêtait pas de coulé… La sueur commença a mouillé les poils noirs de Saramette, elle n’essayé pas de ce relevé mais elle se tourna sur le dos en crispant les mains sur les feuilles morte de la forêt et en regardant le ciel, est-ce une belle façon de mourir ? Néanmoins, son esprit refusait de se laisser mourir tant à cause des multiples questions que cette courte existence inachevée.

Sa vue commençait a ce brouiller et elle se dit : « Non, je ne dois pas mourir, pas comme ça ! Je dois me relever, je dois vivre ! Je ne dois pas sombrer dans les ténèbres à cause de cette bête blessure ! Je peux le faire, sans aide sa sera plus dure, mais je suis une dure a cuir pas une limace rampante attendant la mort proche, si je meurs à cause de cette entaille, je serai couverte de honte. » Elle tourna la tête et ce cria antérieurement : « JE DOIS ME RELEVER ! » Elle plissa le front comme pour ce donner du courage et appuyant sur ses bras, elle s’assit toujours en ce maintenant au sol à l’aide de ces membre…. Elle déchira un bout assez grand de son vêtement et l’enroula assez fort autour de sa jambe blessé pour arrêter l’hémorragie, elle ajoutât deux brindilles de chaque côté de sa quille. Elle se leva avec peine et s’appuyant sur une seul patte, arrache un bâton et, s’aidant de sa canne improviser, avança difficilement dans la forêt. Alors que le soleil était haut dans le ciel sans nuage, Saramette était aussi mouillé de sueur qu’un chat en temps de Pluit, elle sentait ces force diminué un peu plus à chaque pas! Arrivée à la rivière ou elle avait piqué le poisson a un pêcheur, ne pouvant pas faire ses incroyable saut, elle dut ce résoudre a sauté de pierre en pierre au risque de tombée dans la forêt en crue. Utilisant son stick pour sauter sur un pied de pierre en pierre ; elle y arrivait bien jusqu’à environ la quatrième pierre qui glissait fortement, elle y perdit son aide qui partit à l’eau et elle failli tomber !

Elle essaya en sautant sur son pied valide d’aller sur la pierre suivante mais n’ayant presque plus de force et pas assez de puissance dans sa jambe, elle tomba dans l’eau a quelque cm de la roche, elle planta ses griffes sur la pierre mais la force du courant arracha le bandage de sa jambe blesser et sa guibole recommença a saigner de plus belle. Le vent commença a ce levé ce qui obligea Saramette a plaqué ses oreilles sur sa tête et la force du courant augmenta de plus belle ; ses griffes commencèrent a glissé en laissant des marques profondes sur la roche…

Exténué, à bout de force, elle lâcha…. Elle se laissa porter par le courant, à cause de la force du courant, sa blessure s’aggravait de plus en plus jusqu’au rapide ou la douleur empira et Saramette ce débattu comme elle pouvait en sachant qu’elle ne pouvait plus bouger sa jambe transpercé mais la force des rapide était trop fort pour elle et le faisait que l’entrainer a travers l’eau…

Elle commençait à boire la tasse et fermé les yeux tellement qu’elle était épuiser, un poème qu’elle avait entendu d’un barde un jour, quand elle était petit ;

La vie commence liquide,

Puis suis son court le long d’une rivière,

Ou fond comme une chandelle,

Ou encore,

Continue comme un vol d’hirondelle,

Elle suit le destin comme un bateau,

Suivant le poisson dans l’eau,

Elle  peut ne pas voir la fin,

Comme un elfe Silvain,

Ou voir rapidement la fin,

Comme un homme,

Buvant trop de rhum.

Sa vision ce brouilla, une larme s’échappa de son œil gauche… elle ferma les yeux.