Ertaï a écrit :

Autant pour moi.

el-popoche a écrit :

Ce n'est pas explicite, mais cet article a été repris de l'ancien forum. Si l'article n'a pas été anti-daté pour éviter qu'il ne tombe dans le fond du forum actuel, en revanche les commentaires sont datés de leur jour de ponte effective, d'où les durées impressionnantes. En l'occurrence, il s'agit de donner une chance à leur auteur initial d'éventuellement revenir sur leur avis en ayant la possibilité physique d'invoquer le temps passé.

Sa m'affiche sa > Aldareis : il y a plus de 6 ans (OMG !)

Je trouve GTO assez ... Humain. Il parle des problèmes de sociétés japonaise tout en restant humoristique.

Ce manga me faire délirer, un must, Onizuka est un veritable ... dingue!

Et pour ceux qui ne le savent pas il y a son enfance (aussi en manga) : Young GTO .

Je n'ai pas lu tous les bouquins, mais c'est le genre de de manga, où l'on est plier de rire jusqu'a la fin, tellement c'est drôle.

Par exemple, vous ne verrez surement jamais de votre vie un prof aussi cinglé, mais qui a aussi un coeur. Bref, les dessins sont bien fait et l'humour toujours au rendez vous, bref on ne s'ennuie jamais, et il y a parfois quelques passages psychologique qui montre bien parfois les problèmes des élèves.

Bref, c'est le genre de manga que tous lecteurs de manga se doit au moins de connaître.

Le bozokû étant le type de loubard faisant partie d'une bande à motos.

Le manga utilise également le terme "yankee" qui là désigne plutôt les rebelles qui se décolorent les cheveux et ressemblant ainsi à un américain (au japon blond est synonyme d'américain). Onizuka s'étant teint en blond, les autres le désigne comme un yankee.

À noter aussi que dans le manga (dont la période se veut actuelle) les bozoku et les yankee font figure de kitsch et n'existent presque plus.

Ha sans doute le plus grand et le meilleur manga de Fujisawa. Son humour ravageur et corrosif, les exploits surhumains d'Onizuka, les tronches pas possibles, les déboires d'Uchiyamada et ses Cresta, les élèves plus retords que possibles, tout nous appelle à venir passer du bon temps. Mais il ne faut pas croire (comme de souvent avec les meilleures oeuvres nippones) que GTO ne se résume qu'à son humour et ses situations embarassentes. Les grands "ennemis" d'Onizuka nourissent des personnalités complexes et ont des problèmes typique du Japon de maintenant. Mais là où Onizuka tire sa force, c'est que quand bien même il ne sait pas parfaitement lire, il sait écouter les élèves et les comprendre mais surtout il les aident quoi qu'il en coûte en mettant sa force et sa résistance surhumaine à contribution. Ainsi il gagne le respect petit à petit des élèves de classe réputé la plus horrible du lycée, redonnant le goût à l'école, voire même de la vie à ses élèves.