Chapitre I: La ville de Lander.
En 2004, une ville du Wyoming nommé Lander, a environ 8 kilomètres d'une énorme réserve naturelle, le Sinks Canyon State Park. Moi, je m'appelle Zéphyr, avec mon fils Carlo, nous vivions dans une maison en périphérie, plus proche de la réserve. Mon fils y allait souvent y jouer avec ses copains au football grâce à un terrain qu'ils avaient débroussaillé et utilisaient les arbres comme poteaux du goal. Nous avons déménagés après le décès de sa mère, 4 ans auparavant. Nous sommes donc venus habiter ici pour avoir le calme et la sérénitée. La vie s'écoulait avec une simple routine. En été, des foules de touristes venaient pour chercher le bon air de la forêt et de cañions du domaine.
Chapitre II: La disparition.
En fin d'automne, presque l'hiver, il neigeait déjà et tous les soirs, une épaisse brume régnait, surtout dans la forêt. Mon fils et moi aimions attendre dans le transat dehors et écouter les bruits fascinants de la nuit provenant de la réserve. Le jour d'après, un des amis de Carlo est inexpliquablement introuvable et la mère de Jhonny, l'ami de Carlo, alla directement reporter cela à la police. Nous n'avions pas reçus plus d'informations, nous savions simplement qu'il avait disparut pendant la nuit. Carlo et ses copains ont cherchés aux alentours de leur endroit dans la forêt, mais n'y trouvèrent rien d'apparent. La police a fouillée le village, en vain. Le garçon avait complètement disparut, sans laisser aucune trace , qe ce soit des traces de lutte, face a des kidnappeurs ou qu'il laisse un mot, disant qu'il part vivre autrepart, ce qui était fort improbable pour un enfant de 11 ans, d'une région rurale. On le commémora dans l'église et une tombe fut créée a son effigie. Sa mère ne vint pas a l'église, certaine que son garçon reviendraiit et qu'elle puisse le serrer dans se bras.
Chapitre III: La première chasse
Par une journée ensolleilée, je voulais apprendre mon fils a chasser comme mon père m'as appris quand j'avais 12 ans. Ce jour là, il faisait chaud pour cette saison, environ 12 degrés. Nous sommes donc partis vers la réserve. J'avais apporté ma carabine. Une fois arrivés, nous nous sommes postés près d'une clairière que nous traversions fréquamment pour se rendre au cañion. Je l'avais expliqué comment recharger, bien viser et toute les mesures de sécuritée, il ne lui manquait plus qu'un entrainement qui serait aussi peut-être son dîner.Il avait vite apris et pouvait tirer de manière précise. Une demi-heure plus tard, il commençait a faire noir et la brume épaisse et le froid réapparurent. Enfin, un daim bondit dans la clarière et aussitôt, une détonation sourde provint du fusil. La balle avait atteint l'animal directement entre ses deux yeux, un coup de chance, mais pas au point qu'il aurait complètement raté la cible sans sa précieuse chance.Il était prêt pour en faire un loisir. Quand on rentraient, j'entendis un bourdonnement, presque un murmure, ou plutôt "des" murmures. Le lendemain, Carlo fonça chez ses copains leurs apprendre ses récents exploits. IL y passa la journée et quand il commença a faire noir, et j'appelais la mère de l'ami de Carlo, ou il avait principalement resté avec ses autres amis. La maison était juste à 5 minutes. Je lui dis que Carlo devait maintenant rentrer car il commençait a faire tard, elle me répondit qu'il était partit il y a une demi-heure ...
Chapitre IV: Cela...
Je commençai à m'inquiéter, il n'était pas logique que Carlo va à la réserve naturelle tout seul, même si il y allait presque tout les jours pour chasser, il n'y allait jamais seul, il disait qu'il sentait une présence malveillante y emmaner. Il avait un peu peur des bois et il n'y allait donc jamais seul. S'il voulait dormir chez un copain, il aurait appelé pour me demader ou s'il était dans le village, quelqu'un l'aurait rapporté ici. Je parti donc à sa recherche dans les bois. Hurlant son nom, je commençait a avoir la nausée, puis ,j'entendais les mêmes murmures qu'auparavant, cette fois-ci plus fortes et précises. Je me retournai et je vis une chose que je ne pus catégoriser. C'était une forme humanoïde mais ce n'était défénitivement pas un humais. On aurait dis qu'il portait un costard, mais sa particularitée, c'était ses bras; pendant presque jusqu'au sol. Dans l'une des mains de la créature, était les habits de mon petit Carlo, "pourquoi ORDURE, pourquoi me l'as tu enlevé, espèce de ..."Ai-je crié, je ne trouvai pas les mots pour l'insulter. Il me semblait déjà assez insultant comme il était. Et son visage, son horrible visage! Je ne l'oublierai jamais. Mais NON! Il n'avait PAS de visage! Pas d'yeux, ni de bouche, RIEN DU TOUT! Il a osé m'enlever mon Carlo... Et maintenant, il me hante! Il se cache dans n'importe quelle ombre, peut être sous n'importe quoi, n'importe quand! Il apparait devant moi, personne ne me crois a cause de cette camisole mais c'est lui! C'EST CA FAUTE! Il m'a fait passé pour un fou, il se cache derrière moi a l'instant, on ne peut apprendre a vivre avec lui, mais j'ai appris que fuir ne servait a rien du tout, car une fois proche de sa victime, ce que j'ai appris être nommé le Slender-Man, ne lâche JAMAIS prise et le torture, il créé un lien mental qui le permet de le suivre pour toujours. Un jour, je disparaitrai avec ce monstre qui reviendra pour une nouvelle victime, que dès qu'il ... NON ! QUE CETTE CHOSE prends contact avec sa proie, il se l'approprie et l'invites a le rejoindre dans sa désolation ...
Chapitre V: Quelques informations sur le SlenderMan
L'histoire est terminée, nous passons à la partie éducative xp du SlenderMan, ou comme je l'appelles familièrement, Slendy. Les informations décrivant le SlenderMan sont vraies, et son lien mental avec l'hôte. Il peut prendre un apparence plus humaine ou une apparence plus arcahnéenne: voici quelques photos connues. Si vous ne voyez rien d'anormal, regardez de nouveau !
Nous voici à la fin de ce récit semi-fictif, Bonne Nuit ... *sourire maléfique*