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Posté
il y a plus de 12 ans
, modifié
il y a plus de 11 ans
par Kensukkke
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Tom est bon. Tom est généreux. Tom va souffrir. [Mais pas vos yeux, car cette histoire est désormais effacée.]
A little group of words, all alone in this lost reddish plain.
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Posté
il y a plus de 12 ans
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J'ai lu ça dans le bus, j'ai pas le temps d'écrire un commentaire complet, mais ce sera fait. :-P
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SpiceGuid
il y a plus de 12 ans
La vache ! Enfermé 3 jours ½ dans un bus
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Posté
il y a plus de 12 ans
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C'est la famille "qui aime bien châtie bien", c'est ce que disait toujours mon père (je ne l'ai pas assassiné , juste une petite baffe).
J'aime bien cette fiction :
- rien n'est cliché ou prévisible
- il n'y a pas de morale ou de twist final, sinon que la vie est belle
Bref, c'est sans effet tapageur, juste bien écrit, comme toute fiction qui se respecte.
Si j'avais une légère invraisemblance à reprocher, alors je dirais qu'un homme qui a bien la cinquantaine doit être encore chaud-bouillant pour massacrer 4 policiers
Fort heureusement ça n'enlève rien à la qualité du récit qui emporte le lecteur.
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Dragoris
Cerbère des Portes de la Fiction
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Posté
il y a plus de 12 ans
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J'avoue avoir eu du mal à comprendre la fin. Sa femme était à l'hôpital finalement ou pas ? Et quelle est cette histoire de frère ?
Sinon c'est assez emmené, ça se laisse lire facilement, bon rythme. Pourquoi as-tu écrit cette histoire, qu'avais-tu en tête ?
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Kensukkke
il y a plus de 12 ans
Hmmmmm, je crois que c'est venu d'une rédaction que j'avais eu à faire lorsque j'étais en seconde, il me semble, en littérature. Le sujet précis m'est sortit de la tête, mais ça avait un rapport avec "Aller à l'encontre de ses principes". J'avais écris une petite nouvelle relatant l'histoire d'un vieil anglais londonien en 1850 qui pour aller voir sa femme sur son lit de mort devait systématiquement détruire ses barrières morales. Pour que mon sadisme puisse se défouler, j'avais fais une fin du même genre, qui est apparemment un peu fouillis, je m'en excuse
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Posté
il y a plus de 12 ans
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Je ne sais pas si c'est le style du texte ou de l'affichage qui commence à me sortir par les trous de nez, mais j'ai accroché plusieurs fois à la lecture du texte, devant relire puis revenir où j'en étais. A partir de la cinquième fois, j'ai lâché l'affaire, je me suis laissé emporter par la violence aveugle de ce texte sans morale ni pitié, sans bien trop comprendre comment ça s'est goupillé exactement.
Et je crois que je me suis plus rapproché du personnage principal que je n'aurais pu avec une lecture rigoureuse
Sinon, j'ai buté sur "uni-sens". Je me suis demandé pourquoi tu n'avais pas simplement mis "à sens unique", je me suis même dit que tu avais dû oublier cette tournure pour mettre un mot aussi alambiqué, il ne m'est venu qu'après à l'esprit que tu avais pu mettre ce mot volontairement.
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SpiceGuid
il y a plus de 12 ans
La reconnaissance avait été unilatérale.
Kensukkke
il y a plus de 12 ans
Oh god, ce mot, j'en ai cherché mille et une variantes, et j'avoue en avoir trouvé pas mal. Pourquoi donc ai-je mis "uni-sens" et non pas quelque chose de bien plus approprié et de bien plus harmonieux -si l'on peut qualifier quoi que ce soit d'harmonieux ici- ? Premièrement parce qu'il me prend assez régulièrement de courtes crises d'anti-logique qui m'empêchent de réfléchir d'une manière posée et non-alambiquée, d'où certaines incohérences que je ne peux véritablement expliquer. Secondement, parce que, comme vous l'aurez peut-être remarqué, j'adore les mots de ce genre, tout simplement -de l'ordre du pro-spartiate ou de l'égo-écologie. Pardonnez donc ma folle et irraisonnable avancée dans les eaux profondes de la dégénérescence littéraire.
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