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J'ai fait quelques échanges de technologie avec le Duc Leto, mes technologies militaires contre ses technologies écologiques. Je pourrais ainsi continuer le développement de mes villes, tout en lui fournissant un avantage militaire qui m'aidera indirectement puisqu'il est en guerre aussi contre Ecaz, donc si ses troupes sont meilleures, c'est autant de dégât qu'il fera en plus.
Le dernier colon que je comptais envoyer sur une plateforme rocheuse isolée dans le désert est terminé trop tard : mes carryals ont vu une frontière tleilaxu en approchant... je vais donc devoir me contenter d'une autre position moins intéressante.
L'ensemble de la planète semble maintenant colonisé. C'est maintenant que vont se jouer les grandes batailles qui vont déterminer qui dominera en fin de compte.
Je passe mon économie en 100% production de richesse : j'ai besoin de beaucoup d'argent pour finir de moderniser mes anciens spadassins, et je dois constituer un petit fond de réserve avant d'envahir des territoires ennemis, car la maintenance de mes troupes en dehors de mes frontières coûte cher.

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Ecaz me propose la paix, effrayé par leur cuisante défaite et l'invasion de leur territoire par les atreides. Je m'empresse d'accepter, et évite ainsi un long voyage pour envoyer mes troupes chez eux. A la place, je vais envahir les tleilaxu qui sont juste à côté, et que personne ne plaindra.

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Ma flotte de carryalls et son escorte de thopter est aux portes du tleilax. Je vise leur capitale en premier, et compte frapper fort. Je vois qu'ils n'ont pas encore la technologie pour protéger leurs villes avec des boucliers alors que mes propres soldats ont des boucliers personnels ! Ces ridicules tleilaxu vont regretter toutes ces années passées à me narguer avec des grotesques exigences en tribu ou technologies.

Mes ornis ont tôt fait de détruire les vieux gunships à suspenseur ennemi en position sur les hauteurs devant la capitale. J'y débarque massivement toute mon armée et commence le siège, tout en débarrassant les alentours des quelques troupes isolées prises au dépourvu. La première bataille s'annonce très facile.

J'ai envoyé mes frégates à suspenseur vers l'avant poste isolé dans le désert : il n'y a qu'une seule troupe de garde, j'arriverai peut-être à le capturer juste avec mes frégates d'escorte.

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Mes thopters ont pourchassé et écrasé l'aviation adverse. Sans bouclier, la ville tleilaxu a vu ses défense se faire anéantir rapidement par mon artillerie. Il est temps de lancer l'assaut au corps à corps !

New Bandalong est tombée. Les maitres gardes du tleilax n'ont rien pu faire contre mes spadassins équipés de boucliers spécialisés dans l'assaut de villes. J'ai laissé mes gardes à lance missile faire un sort aux quad ennemis pris au piège dans la ville.

Une fois dans la cité, je constate sa pauvreté en terme d'aménagements, ce qui n'est pas une très bonne surprise, mais également qu'un quart de la population est déjà toute acquise à la culture corrino. La proximité avec ma frontière a profondément influencé la population, ce qui me facilitera grandement la tâche pour assimiler les habitants. Leur allégeance aux tleilax ne sera bientôt plus qu'un lointain souvenir.

Vive l'Empereur !

Au siège impérial (qui n'est plus ma capitale, j'ai du la déplacer à garundah ridge, dont le site était bien plus apte au développement d'une grande ville commerciale), je termine enfin ma première légion de sardaukar, que je m'empresse de promouvoir "fanatiques" et "attaque de villes". Le monde tremblera bientôt devant les soldats de la peur. Vu ce que la telilaxu ont pris avec seulement des soldats de seconde zone, il est aisé d'imaginer avec quelle aisance des sardaukars feront tomber toutes les places fortes du pôle.